Un billet consacré au fondateur de Solidarność trouvé sur le site de réinformation Nouvelles de France :
En février 2016, des documents récupérés chez la veuve du général Kiszczak, ancien ministre de l’intérieur du général Jaruzelski, venaient confirmer ce dont nombre de Polonais étaient convaincus depuis longtemps : avant de devenir le leader charismatique du syndicat Solidarité (Solidarność) puis le premier président élu de la Pologne démocratique, le Prix Nobel de la paix Lech Walesa (en polonais : Lech Wałęsa) avait été un informateur rémunéré au service du régime communiste entre 1970 et 1976. Mais l’intéressé lui-même contestait l’authenticité de ces documents, affirmant qu’il s’agissait de faux établis par l’ancienne police politique, le « Service de sécurité » (Służba Bezpieczeństwa, SB).
Le parquet polonais a donc demandé une analyse graphologique des documents aux mains de l’IPN, l’Institut de la mémoire nationale chargé d’enquêter sur les crimes communistes et nazis et aussi d’archiver et gérer les documents des organes de sécurité de l’État datant des années 1944-89. L’expertise a été confiée à l’Institut d’expertises judiciaires Sehn de Cracovie et les résultats, contenus dans un rapport de 235 pages, ont été annoncés en conférence de presse le 31 janvier dernier par le chef du service d’enquête de l’IPN : il ne fait aucun doute que les documents conservés pendant plus de deux décennies au domicile du général Kiszczak sont authentiques et que l’écriture et les signatures qui y figurent sont bien celles de Lech Walesa, alias agent TW Bolet (pour tajny współpracownik Bolek / collaborateur secret Bolek).
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Né en 1899, le roumain Corneliu Zelea Codreanu devint un chef nationaliste dont la figure rayonna par-delà les frontières de son pays.
« Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de cœur avec lui. Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. » (Journal communiste « L’Humanité » du 6 mars 1952)
Un texte de l’éminent africaniste Bernard Lugan :
Pendant des décennies, les autorités universitaires ont tourné en dérision les preuves d’une exploration viking plus poussée, qui montraient que leur présence ne se cantonnait pas à l’Anse aux Meadows.


Maurice Barrès est mort en 1923. Le document sonore ci-dessous est le seul où l’on peut entendre sa voix.