Près de 70 ans après la fin du conflit, la traque des nationaux-socialistes continue

Vous trouverez ici la liste des nazis recherchés pour « crime contre l’humanité » et « crimes de guerre ».
Le centre Simon-Wiesenthal vient de lancer une campagne d’affichage dans les plus grandes villes allemandes pour inciter à la délation et faire condamner quelques vieillards sur des lois érigées à la fin de la Seconde guerre mondiale.
Pour motiver les troupes, l’organisation sioniste promet 25 000 € pour tout renseignement conduisant à l’arrestation d’un nazi en cavale… Et ça presse car « Nous n’avons plus beaucoup de temps. Deux ou trois ans au maximum » selon l’historien juif Efraim Zuroff.

Impossible d’en réchapper, même pour les innocents et les mourants : « En 2011, un ancien garde du camp de Sobibor, John Demjanjuk, avait été condamné à cinq ans de prison pour complicité de crime contre l’humanité. Malgré l’absence de preuves et de témoins, il avait été jugé, en tant que garde du camp, coresponsable des meurtres qui y furent perpétrés. Condamné à cinq ans de prison, il est mort un an plus tard, à 91 ans. » (Le Figaro)
C’est beau de voir tant d’humanité chez ceux qui nous ont « délivré  de la barbarie nazie ».

Depuis le procès de Nuremberg (1945-1946), 106 000 soldats allemands ou nazis ont été accusés de crimes de guerre. Parmi eux, 13 000 ont été jugés et la moitié condamnés.

Le « Moyen Age » n’a jamais cru que la Terre était plate !

Encore un mythe à détruire, concernant l’horrible « Moyen-Age » chrétien.

« Présentation : Christophe Colomb n’a jamais eu à démontrer que la Terre était ronde. Car tout le monde le savait déjà. Et depuis longtemps ! C’est ce que confirme l’ouvrage d’un historien américain, Jeffrey B. Russel, qui met à mal bon nombre d’idées reçues sur les géographes du Moyen Age et de l’Antiquité. Il commence par constater que les auteurs médiévaux affirment la rotondité de la Terre, comme le faisait Platon. Il examine ensuite l’apparition du mythe moderne selon lequel le Moyen-Age croyait la Terre plate. En fait ce sont des évolutionnistes libéraux américains qui ont créé de toutes pièces ce mythe aujourd’hui repris dans la presse et dans les manuels scolaires.

En cette année anniversaire de la découverte du Nouveau Monde, c’est un véritable déluge de publications qui s’abat sur nous ; à cette occasion, nombre d’idées reçues sont remises en question. L’une d’elles, selon laquelle les contemporains de Christophe Colomb croyaient que la Terre était plate, a trouvé son historien, Jeffrey B. Russel, dans un petit ouvrage décapant qui vient d’être publié aux Etats-Unis.

Considérons le cas de Christophe Colomb : les historiens ont depuis longtemps dénoncé la fable selon laquelle il aurait dû affronter les foudres des docteurs de Salamanque pour avoir osé prétendre que la Terre était ronde – sans quoi le passage des Indes par l’ouest était inconcevable. Certes, le découvreur a eu ses détracteurs et ses opposants, mais leurs arguments tenaient aux probabilités d’échec de l’entreprise.
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6 juillet 1962 : l’assassinat sordide de Roger Degueldre par la République, version De Gaulle.

[Mise à jour 22h50 : comme chaque année s’est tenue une émouvante cérémonie sur la tombe du lieutenant Roger Degueldre, à l’initiative du CNC, avec Roger Holeindre. Présence de militants du Renouveau français et de son directeur]delta1

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Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :

«  Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –

C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !
»

Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
« Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
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Le prix de la vérité

Excellent article de Thierry Meyssan pour le Réseau Voltaire, sur la notion d’espionnage/trahison :

« Alors que la presse internationale traite les informations d’Edward Snowden comme des révélations sur le programme PRISM et feint de découvrir ce que tout le monde pouvait savoir depuis longtemps, Thierry Meyssan s’intéresse au sens de cette rébellion. De ce point de vue, il attache beaucoup plus d’importance au cas du général Cartwright, également mis en examen pour espionnage.

Les fonctionnaires états-uniens, civils ou militaires, qui encourent 30 ans minimum de réclusion pour avoir révélé à la presse des secrets d’État US, sont-ils des « lanceurs d’alerte » exerçant un contre-pouvoir dans un système démocratique ou des « résistants à l’oppression » d’une dictature militaro-policière ? La réponse à cette question ne dépend pas de nos propres opinions politiques, mais de la nature de l’État US. Cette réponse change totalement si l’on se concentre sur le cas de Bradley Manning, le jeune soldat gauchiste de Wikileaks, ou si on y intègre le cas du général Cartwright, conseiller militaire du président Obama, mis en examen jeudi 27 juin 2013 pour espionnage.

Ici, un retour en arrière est nécessaire pour comprendre comment on passe de l’« espionnage » au profit d’une puissance étrangère à la « déloyauté » face à une organisation criminelle qui vous emploie.

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Obama en pèlerinage sur l’île de Gorée : mythes au service du mondialisme

Barack Obama s’est notamment rendu en famille à l’île de Gorée, au large de Dakar, « haut-lieu de mémoire de la traite négrière et sa tristement célèbre « maison des esclaves » » (sic) où l’ont précédé deux autres présidents américains, Bill Clinton et George W. Bush.

« C’est un moment très fort », a affirmé Barack Obama à Gorée, ajoutant : « Évidemment, pour un Africain-Américain, un président africain-américain, avoir la possibilité de visiter ce site, je pense, me donne plus de motivation pour défendre les droits de l’Homme à travers le monde ».

L’idéologie officielle des Droits de l’homme est en effet le nouvel Evangile du Nouvel Ordre Mondial, et fallacieux, il se fonde sur des forgeries.
Et justement, l’histoire de Gorée et cette « maison des esclaves » relève du mythe…

Voici ce que rappelait à ce propos Robert Faurisson, évoquant un article du Monde (pour une fois attaché à la vérité) :
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C’était un 28 juin…

1389 : bataille cruciale du « Champ des merles », dans la plaine de Kosovo, où les Serbes (menés par le prince Lazare) et leurs alliés croates sont vaincus par les Turcs.
La nouvelle parviendra jusqu’à Saint Denis, où on sonne le glas.

1914 : attentat de Sarajevo, où des extrémistes serbo-bosniaques tuent l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône d’Autriche-Hongrie. Cet événement dans la poudrière balkanique va déclencher la Première guerre mondiale.

1917 : jusqu’au 30 juin, congrès des Maçonneries alliées et neutres où sont jetées les bases de la Société des Nations (l’ancêtre de l’ONU), dont le franc-maçon Léon Bourgeois sera le premier président.

1919 : signature du Traité de Versailles dans la galerie des Glaces du château, entre les puissances alliées et l’Allemagne vaincue. Ce mauvais traité aura des conséquences calamiteuses. Le maréchal Foch dira en substance « il ne s’agit pas d’une paix mais d’un armistice de trentes ans ». Jacques Bainville l’analysera bien et de façon prémonitoire dans les Conséquences politiques de la paix : « une paix trop douce pour ce qu’elle a de dur, et trop dure pour ce qu’elle a de doux ».

1940 : Maxime Weygand, ministre de la Défense nationale et généralissime, dépose une note auprès du maréchal Pétain, affirmant qu’il faut changer d’urgence du régime : « il faut revenir au culte et à la pratique d’un idéal résumé en ces quelques mots : Dieu, Patrie, Famille et Travail ».

1944 : assassinat par un commando de FTP-MOI, à Paris, de Philippe Henriot, secrétaire national à l’Information de l’Etat français et célèbre éditorialiste de radio, qui ripostait avec une ironie déstabilisante sur Radio-Paris à la propagande gaulliste de Londres. Ce grand orateur nationaliste était bien dérangeant… Ses obsèques eurent lieu à Notre-Dame en présence du cardinal Suhard et d’une foule immense.

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Nicolas n’est pas le seul à être lourdement condamné pour des broutilles

Vincent Reynouard vient d’être condamné à payer à Laurent Sourisseau et à Charlie-Hebdo un total de 15 000 € de dommages et intérêts. Plus les frais de justice, une publication à ses frais dans « Libération » et six mois de prison avec sursis. Son crime ? L’historien a utilisé des desseins de Laurent Sourisseau pour illustrer une brochure. Dans cette vidéo, il dévoile les causes sociologiques de cette condamnation très lourde…

En 1945, pour les GI, la France était «un gigantesque bordel» où l’on pouvait violer les femmes

La chape de plomb sur les horreurs de la fin de la guerre serait-elle en train de se fissurer ?

En tout cas, la légende dorée des gentils libérateurs américains prend du plomb dans l’aile, même dans les médias du Système.
Il y a certainement eu beaucoup plus de viols de Françaises par les Américains que par les Allemands.

« Des soldats américains qui ont libéré la France en 1945, la mémoire collective n’a retenu que des souvenirs teintés de mélancolie; la saveur des chewing-gums ou de la première gorgée de Coca-Cola, le satiné des bas en nylon, les mots doux susurrés à l’oreille des jeunes filles avec un accent délicieusement étranger… Ces images d’Epinal cachent pourtant une réalité bien sombre, que l’historienne américaine Mary Louise Roberts révèle dans son nouveau livre What soldiers do, rapporte le quotidien allemand Die Welt.

L’armée américaine faisait miroiter un paradis terrestre à ses soldats pendant la Seconde Guerre mondiale, leur promettant que leur courage serait récompensé en nature par de lascives jeunes femmes une fois débarqués en France, au pire contre de l’argent:

«Les prix pour la “marchandise moyenne”, c’est de cette façon que le journal des GI Panther Tracks menait l’enquête à l’époque, démarraient à 150 francs; pour les services de femmes particulièrement capricieuses et de toute beauté, il fallait s’acquitter de 600 francs. Les Françaises étaient négociées entre soldats américains en tant que “cold cuts”: «tranche» –des morceaux de viande vivants, plus ou moins chers.»

Le journal de l’Armée américaine, Stars and Stripes, expliquait aux GI comment prononcer des phrases telles que «Tu es belle!» ou «Est-ce que tes parents sont à la maison?», tandis que le magazine Life présentait à l’époque la France comme «un gigantesque bordel dans lequel [vivaient] 40 millions d’hédonistes».

Comme l’explique Die Welt, les soldats américains sont vite passés aux yeux des Français du statut de libérateurs à celui d’occupants:
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Histoire : les bombardements alliés de 1944 en Normandie sont-ils défendables ?

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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard s’intéresse au Droit international (en vigueur en 1944) ainsi qu’aux préceptes de la morale afin de savoir si les bombardements alliés de 1944 au-dessus de la Normandie étaient, ou non, défendables.
Puis il cite une partie des protestations élevées en 1944 par les évêques afin de condamner les bombardements alliés meurtriers. Il rappelle ensuite comment, en 1945, les Alliés ont détourné l’attention des peuples de leurs crimes en orchestrant une gigantesque propagande autour des photos prises à la libération des camps. Enfin, il pointe du doigt les terribles conséquences actuelles de cette stratégie alliée qui, finalement, reposait sur un faux précepte moral : « la fin justifie les moyens ».

Oradour-sur-Glane : la contre-enquête

Dans cette vidéo, V. Reynouard expose les résultats de sa contre-enquête sur le drame d’Oradour-sur-Glane (sans cesse utilisé par la classe politique), le 6 juin 1944.

C’était un 8 juin 1959 : mort de La Varende

C’est à Paris que s’éteint le grand écrivain Jean Mallard, vicomte de La Varende, qui a longuement et magnifiquement décrit la géographie, l’histoire et les mentalités de la Normandie, où il était né le 22 mai 1887.

Monarchiste, La Varende dut démissionner de l’Académie Goncourt lors de la « Libération », victime de l’épuration comme une bonne partie de l’élite de notre pays.

Un grand auteur français qui mérite d’être connu.
Attention, le virus La Varende s’attrape facilement et l’on ne peut refréner ensuite l’envie de dévorer toute l’Å“uvre !

Une association lui est consacrée, Présence de la Varende.

Patrick Delon lui a consacré une biographie synthétique disponible ici. On peut trouver divers ouvrages de et sur La Varende ici, notamment son roman le plus emblématique, Nez de cuir, ainsi que les Manants du roi.

29 mai 1453 : chute de Constantinople, tueries, viols et sacrilèges. La fin d’un monde

Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople, accompagnée de massacres des civils, tueries, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.

« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.

‘… Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions’.

… Ils prenaient les trésors et les vases sacrés, dépeçaient les reliques et les jetaient au vent; ils exhibaient dans les rues puis dans leurs camps, le soir, des crucifix montrant le Christ coiffé de l’un de leurs bonnets rouges. De Sainte-Sophie, ils firent d’abord une écurie. Un nombre incalculable de manuscrits précieux, ouvrages des auteurs grecs ou latins de l’Antiquité, furent brûlés ou déchirés.

Les religieuses, violées par les équipages des galères, étaient vendues aux enchères. … ‘Cette cohue de toutes les nations, ces brutes effrénées, se ruaient dans les maisons, arrachaient les femmes, les traînaient, les déchiraient ou les forçaient, les déshonoraient, les violentaient de cent façons aux yeux de tous dans les carrefours’.

Pendant trois jours, ce fut aussi une terrible chasse et un immense marché aux esclaves. … Aucune bataille, aucune conquête n’avait jamais donné en si peu de temps autant de captifs. Ils furent vendus et revendus par la soldatesque puis par les mercantis de toutes sortes, séparés les uns des autres, promis aux travaux misérables jusqu’aux plus lointaines provinces du monde musulman.
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