« Un paysage audiovisuel en mutation. À compter du 6 juin prochain, les téléspectateurs devront user de leur zappette pour retrouver leurs programmes préférés. C’est en effet à cette date qu’ils découvriront une toute nouvelle numérotation des chaînes de télévision, conséquence de la fermeture par l’Arcom de C8 et NRJ 12, de la décision de Canal+ d’arrêter sa propre diffusion sur la TNT et de l’arrivée de deux nouvelles chaînes privées.
Loin de l’image de sympathique Noir joyeux qu’il cultive devant les caméras, si le comédien (très médiocre mais très promu) Omar Sy n’était malgré ses millions qu’une racaille comme les autres ?
La raison ? Les agents de sûreté auraient demandé à la personnalité préférée des Français (étude Ifop 2025 réalisée pour le JDD) de museler son chien [un American Staff – NDCI] au départ du train comme l’exige la SNCF. Après un premier esclandre d’Omar Sy au départ, notamment des menaces de mort et des insultes proférées à l’encontre des agents sur le quai, les problèmes auraient continué à bord du train.
Il est reproché à Omar Sy d’avoir répété les faits de menaces et d’outrages, cette fois à l’encontre des contrôleurs, devant les autres voyageurs de la voiture. De son côté, la SNCF confirme qu’il y a bien eu « une altercation et des propos menaçants tenus par Monsieur Sy« . La société ferroviaire assure que des poursuites seront engagées. […] » (source)
Un comportement (molosse non tenu en laisse, agressivité, insultes, menaces, etc.) – dont l’enquête dira s’il est avéré – assez emblématique d’une certaine frange, non ?
Une émission (« faites entrer l’accusé ») était consacrée ces jours-ci au violeur en série Lassana Coulibaly, dit « le violeur aux chaussettes ». De 2002 à 2005, ce représentant de la « diversité » séquestra et viola (ou agressa sexuellement) douze femmes âgées de 19 à 57 ans, en pénétrant dans leur domicile. Il tient son surnom du fait qu’il bâillonnait en général ses victimes avec une chaussette, usant aussi de câbles, de rallonges ou de cordons qu’il trouve sur place…
Revenant donc sur cette affaire, l’animatrice interroge Jean-Christophe Riboulet , qui en était juge d’instruction.
Alors que « la liste des victimes s’allonge » et que la police était en possession d’un portrait-robot, le juge s’est refusé à alerter la presse : « Non parce que d’abord je ne voulais pas stigmatiser la population noire» explique-t-il…
Un comportement criminel motivé par l’idéologie antiraciste. Que de crimes ont été commis, ou permis, en son nom !
La déclaration, en video :
Je regardais en replay « faites entrer l’accusé » consacré au violeur en série Lassana Coulibaly, dit « le violeur aux chaussettes ».
Frédérique Lantieri interroge le juge du TGI de Clermont-Ferrand, Jean-Christophe Riboulet : « au bout de tant de viols, pourquoi n’avez-vous pas… pic.twitter.com/8WCd4XejdQ
Le général Dominique Delawarde est mort ce dimanche 11 mai 2025, à l’âge de 76 ans, soudainement (un AVC peut-être?)
« Il était l’un des 61 généraux à la retraite signataire d’une tribune controversée publiée en avril 2021 dans le magazine Valeurs actuelles . ll y interpellait le gouvernement et les parlementaires sur les dangers du « délitement du pays », lié à l’islamisme , aux hordes de banlieue et la haine qui prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs . Il avait par ailleurs été accusé d’avoir prononcé des propos antisémites en 2021 sur la chaîne CNews [voir ici].
Ex-élève du Prytanée de la Flèche, ancien Saint-Cyrien et à la retraite depuis le milieu des années 2010, le général Delawarde avait fait l’essentiel de sa carrière dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère. […] » (source)
Ces dernières années, le général Delawarde donnait volontiers des entretiens à des médias dissidents ; il partageait d’ailleurs avec eux un engagement en faveur de la Russie de Vladimir Poutine. Il avait aussi dénoncé à plusieurs reprises la gestion de la crise du Covid.
Repostons le passage médiatique qui l’a rendu célèbre et lui a valu la haine des médias et la vindicte du Parquet (qui n’a pas le temps de s’occuper de nombreux vrais problèmes). Il est indéniable que ce général avait, quoiqu’on pense du fond de la polémique, un véritable courage social (ce qui n’est pas fréquent chez les hauts gradés), il était franc, avec un regard honnête :
Et revoici le commentaire que nous écrivions à l’époque (2021) :
Le général Delawarde, l’un des signataires de la fameuse « tribune des généraux », était invité dans l’émission « Morandini Live ».
Il est pris à partie par un certain Claude Posternak, « historien », « économiste », « publicitaire » (oui, tout ça et sûrement d’autres titres encore!), et surtout militant communautariste juif (comme le montre son compte twitter, obsessionnel), qui semble atteint de frénésie, sinon d’hystérie.
Celui-ci exige – avec le renfort des autres intervenants – que l’invité dise qui est, selon lui, « derrière la meute médiatique ». Bref, qui dominerait les médias.
Ces gens intiment à leur invité l’ordre de répondre.
Et, une fois qu’ils ont la réponse, la réponse qu’ils espéraient (le général dit sobrement « la communauté que vous connaissez bien »), c’est la crise de nerfs sur le plateau.
L’animateur interrompt brutalement l’entretien.
Ce général a répondu avec franchise, et courage (ou naïveté, ou inconscience, c’est selon). Comme le font les gens normaux, entre eux, au bistrot ou ailleurs.
Mais dans les médias, c’est autre chose.
On notera la perfidie, la méchanceté, l’hypocrisie de ces intervieweurs-procureurs.
Bon courage à ce général, qui va avoir des soucis, au « pays des droits de l’homme » et de « la liberté d’expression » (humour).
Quant à la question posée, nous nous garderons d’y réfléchir nous-même.
Personne ne domine rien, dans aucun domaine. Voilà.
Ah, si, les salauds de Blancs.
Aveuglée par son idéologie égalitariste, la bureaucrate socialiste Elisabeth Bornstein s’apprête à détruire un peu plus le système éducatif français au nom de ses lubies.
« Encourager les filles à faire des maths, c’est le nouveau cheval de bataille d’Élisabeth Borne. La ministre de l’Éducation nationale a dévoilé mardi, dans un entretien donné aux Échos, un plan d’ampleur pour rééquilibrer la part de filles dans les filières scientifiques, du collège aux classes préparatoires, sous-représentées dans ces voies.
Il faut reconnaître que les études récentes ne sont guère encourageantes. Si, à l’entrée en CP, les filles ont un niveau en maths égal à celui des garçons, dès le CE1, leurs résultats baissent : seules 53 % des filles savent additionner contre 68 % des garçons, selon une étude du ministère de l’Éducation nationale de 2024. La dernière enquête TIMSS (Trends in International Mathematics and Science Study), publiée en décembre 2024, alerte sur un fossé grandissant entre filles et garçons en mathématiques dès la fin du primaire, l’un des écarts les plus élevés de l’Union européenne.
Rien ne s’arrange en terminale, où elles sont moins nombreuses à choisir le combo gagnant maths-physique (37 %), qui ouvre pourtant le plus de portes sur Parcoursup. Et même en prépa scientifique, elles choisissent plus volontiers des prépas axées sur la biologie que sur les mathématiques. Une fois dans la vie active, elles sont encore moins à s’orienter dans les domaines de l’ingénierie et de l’industrie, auxquels elles préfèrent les secteurs de la santé et du social.
C’est donc dès le collège que la ministre entend agir. Dans un entretien accordé à France Inter ce mercredi, elle a dévoilé un plan global. Il prévoit notamment des aménagements de classe en 4e et 3e, l’instauration d’une parité en spécialité mathématiques au lycée (où les filles représentent actuellement 42 % des effectifs), un encouragement accru à choisir l’option mathématiques expertes (aujourd’hui suivie par 33 % des lycéennes seulement), et surtout, des objectifs clairs pour féminiser les classes préparatoires.
Élisabeth Borne ne parle pas précisément de quotas mais d’objectifs cibles. Ce qui revient un peu au même dans la novlangue de l’Éducation nationale. Elle déclare : « Chaque classe préparatoire scientifique devra compter 20 % de filles en 2026, puis 30 % en 2030. » […] » (source Le Figaro Etudiant)
Incohérente comme tous les partisans de la Subversion – qui vantent le respect des « différences » (la diversité) quand il s’agit de faire submerger la France par l’immigration (et donc d’effacer la différence française) –, la compère de Bayrou et Retailleau ne supporte pas les différences naturelles entre hommes et femmes.
Si les filles ont – en général – moins d’appétit pour les mathématiques que les garçons, c’est notamment pour des raisons biologiques (chose insupportable à concevoir pour les gens de gauche). Et si cette différence de goût s’accentue au fil du collège, c’est simplement, et justement, parce que sous l’action grandissante des hormones à la puberté, les garçons et les filles se distinguent davantage dans leurs goûts et leurs capacités.
Il s’agit évidemment de tendances générales, il y aura toujours un nombre non négligeable de filles qui seront intéressées par les mathématiques par exemple, et y seront douées.
Le compte officiel de la Commission européenne publie sur X un message avec pour slogan « Pensez futur » et mots-clefs « Prochaine génération UE », montrant un Noir tenant son enfant métis.
Le projet (le génocide des peuples blancs par métissage) est au moins clairement annoncé…
Vendredi matin, un Malien a été assassiné de nombreux coups de couteau dans la mosquée de la Grand-Combe, près d’Alès (Gard), par un homme qui aurait tenu des propos hostiles à l’islamisme.
Ce qui écoutent France Info par exemple, n’auront entendu (jusqu’à samedi soir inclus) à propos du suspect que son prénom, Olivier, et sa nationalité, « française ». Pas d’autres détails. Chacun, sauf les plus avertis, imaginera donc un Gaulois.
Or, nonobstant ses papiers français (qui ne veulent plus rien dire), il vient de Bosnie, et il a une tête de Rom :
C’est de la désinformation pure et simple, comme d’habitude.
Les gros médias et politiciens parlent aussi de « racisme », sans que cela n’ait a priori rien à voir :
Il s’agit là d’une façon de stigmatiser fourbement l’opposition au Grand Remplacement, car celle-ci serait elle aussi « raciste ».
« Cet acte tragique n’est pas le fruit d’une soi-disant islamophobie rampante, mais d’un chaos migratoire que nos élites ont organisé. Aboubakar et Olivier ne se seraient jamais croisés si chacun était resté dans son pays d’origine. C’est l’immigration qui tue, pas la France éternelle. » (source)
Notons que la gauche, qui se précipite pour manifester contre « l’islamophobie » à l’occasion de ce meurtre, n’a jamais manifesté pour le moindre francocide…
Mais les larmes d’un Mélenchon – vieux roublard à la fin d’une longue carrière de politicien – à la manifestation LFI de ce dimanche ne semblent pas sincères : on sait bien qu’il fait assaut du clientélisme le plus crasse envers les millions d’immigrés musulmans qui colonisent la France, espérant récolter leurs voix après avoir perdu celles des couches populaires françaises.
Rappelons d’ailleurs ce que déclarait Mélenchon avant d’opter pour cette nouvelle stratégie électorale :
L’administration a l’origine de ce visuel n’a-t-elle pas eu l’idée de la faire contrôler par quelqu’un ayant de simples rudiments en matières d’armes ?!
Ici, on voit une munition entière qui sort du canon (avec sa douille!) alors qu’il n’y a évidemment que la balle qui est en réalité propulsée ; balle qui d’ailleurs doit avoir le diamètre du canon, sinon elle partirait dans tous les sens.
Il y a quelques jours un très important incendie attirait l’attention des Français vers Paris :
« Le bâtiment est complètement ravagé. Un centre de déchets dans le nord-ouest de Paris, à proximité du palais de justice, a pris feu un peu avant 20 heures lundi 7 avril, sans faire de blessés. L’incendie s’est déclaré dans les locaux du Syctom, le service public de traitement et de valorisation des déchets ménagers de 82 communes de la région parisienne. Plus précisément, les flammes ont démarré dans une zone de stockage intermédiaire de papiers et cartons, mais l’origine du sinistre reste à confirmer, précise un communiqué de presse du Syctom. » (source)
Mais dans la foulée, on entend que, en ce qui concerne les larges nuages de fumée noire s’élevant pendant des heures :
Face à l’ampleur des volutes de fumées noires qui ont survolé la capitale, le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a assuré ce mardi 8 avril sur France 2 qu’il «n’y a pas de problème de toxicité de l’air», ajoutant y faire «très très attention, évidemment». «Nous avons des protocoles pour pouvoir suivre ce type de situation et prendre toutes les mesures le cas échéant s’il était avéré qu’il y avait une toxicité dans l’air», a de son côté affirmé la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, sur BFM TV. »
Et France Info de poster, avec son orthographe à elle :
Il faudrait savoir…
Si un incendie avec des fumées pareilles ne présente aucune menace pour la santé, peut-être qu’on pourrait lâcher un peu la bride aux Français, en particulier avec leurs feux de bois domestiques ? Ou avec les voitures ?
A moins qu’on puisse douter de la parole gouvernementale et médiatique sur cet incendie-là ?
Oups, encore un homme incarnant la « vertu » – selon les fausses valeurs de la société moderne – qui se fait attraper par la justice, mais rassurez-vous, quasiment pas condamné…
On découvre dans un entretien du Figaroavec deux journalistes qui ont enquêté sur la prostitution de très jeunes filles le parcours de l’une d’elles :
« Clara a vécu dans l’un des pires foyers de Marseille, le Peps 13. C’est le seul qui accepte toutes les filles, même celles qui ont été renvoyées d’autres structures ou qui se sont prostituées. Cette adolescente d’origine bulgare a eu une vie cabossée. Elle a été abandonnée par ses parents, a été trimballée dans plusieurs familles d’accueil. Ce sont ses amies du foyer qui la poussent à se prostituer et elle se laisse embarquer. Puis elle se rend compte que l’une d’elles la force, la frappe, la menace. Alors elle se révolte et porte plainte contre un de ses clients… un homme de 50 ans, qui dirigeait une organisation humanitaire pour les demandeurs d’asile. Auprès d’elle, il se faisait passer pour un médecin et la payait en cocaïne.
C.A. Lors du procès, le client niait en bloc les rapports sexuels et la minorité de Clara. Alors le procureur a montré une photo d’elle en petite robe à fleurs ; il était impossible de penser qu’elle était majeure, on aurait dit qu’elle sortait de l’école primaire. Au final, le client n’a écopé que de dix-huit mois de prison avec sursis, dont six mois de sursis probatoire. Les peines sont toujours particulièrement faibles, alors que l’on devrait parler de viol, les victimes n’ayant pas 15 ans. Or, les clients, qui viennent de tous milieux, ont la même défense : ils disent ne pas savoir que la prostituée était mineure. »
En janvier 1794, le général Turreau, responsable des « colonnes infernales », écrivait à la Convention nationale (c’était donc officiel) : « il faut prendre de grandes mesures, il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière national. »
Le , tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux républicains Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne.
Mais sur le chemin, ils sont attaqués et mis en fuite par les troupes royalistes et catholiques de Charette.
Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, doit se retirer.
Martincourt, un lieutenant de Cordellier, s’en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers le village des Lucs (alors divisé en deux paroisses : le Grand-Luc avec deux mille habitants et le Petit-Luc, avec une centaine d’habitants) avec l’intention d’y exercer des représailles.
Face à l’arrivée des colonnes, une partie de la population court se réfugier dans la chapelle du Petit-Luc alors qu’une autre partie a déjà été massacrée.
Les villageois ne sont guère en mesure de se défendre : la population présente compte principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans.
L’abbé Voyneau, curé du Petit-Luc, se présente alors aux soldats sur le chemin de la Malnaye : ceux-ci se saisissent de lui, le torturent et l’éventrent.
Martincourt, le chef des Républicains, décide de ne pas faire de quartier. La chapelle étant trop petite pour contenir toute la population, les soldats ouvrent le feu sur les personnes à l’extérieur, puis afin d’économiser les cartouches, lancent une charge à la baïonnette massacrant et achevant les blessés. Les survivants se barricadent à l’intérieur de la chapelle, les Républicains incendient alors l’église.
Un soldat républicain, nommé Chapelain, écrit dans une lettre :
« Aujourd’hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement. »
On retrouvera plus tard un document du curé du Grand Luc : « Lesquels noms ci-dessus — au nombre de 564 — des personnes massacrées en divers lieux de la paroisse du Grand-Luc, m’ont été référés par les parents échappés au massacre, pour être inscrits sur le présent registre, autant qu’il a été possible de les recueillir dans un temps de la persécution la plus atroce, les corps morts ayant été plus d’un mois sans être inhumés dans les champs de chaque village du Luc : ce que j’atteste comme trop véritable, après avoir été témoin oculaire de ces horreurs et exposé plusieurs fois à en être aussi la victime. Au Luc, ce 30 mars 1794. C. Barbedette, curé du Luc. »
Les noms des 109 enfants des Lucs-sur-Boulogne de moins de 7 ans, massacrés par les troupes républicaines, le 28 février 1794 :
Une anecdote révélatrice, parmi toutes celles qui sont exposées chaque semaine en France envahie avec la complicité de l’Etat :
« Un Tunisien de 28 ans en situation irrégulière est suspecté d’avoir violé une femme au Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne). La victime présumée a été retrouvée en culotte et ligotée sur un trottoir par des ambulanciers jeudi 19 décembre. Elle leur avait expliqué qu’elle avait recueilli un sans-abri pour la nuit, selon une source proche du dossier. » (source)
« Helly Hansen » est une célèbre marque de vêtements, qui existe depuis 150 ans.
Mais le délirant député LFI Antoine Léaument croit que le porte-parole du très républicanisé RN est en fait un vrai nazi…