
Le 2 septembre, à Marseille, un Arabe de 35 ans attaquait et blessait 5 personnes à coups de couteau, avant de menacer une patrouille de police qui était venue à sa rencontre.
Il s’est avancé vers elle en brandissant ses grands couteaux, malgré les avertissements. Les policiers ont été évidemment contraints de lui tirer dessus. On peut voir la video de la fusillade sur internet, et elle ne laisse aucun doute sur le bien-fondé des tirs des policiers.
Il n’a pas survécu, ce qui a épargné aux Français une longue et coûteuse procédure judiciaire, ainsi qu’un coûteux séjour en prison, avant qu’il soit relâché pour pouvoir recommencer.
Mais ce qui s’est passé ensuite est ahurissant :
Le ministère des affaires étrangères tunisien a annoncé, dans un communiqué, avoir convoqué le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis pour lui faire part de sa « vive protestation ». Le ministère a précisé lui avoir demandé « de transmettre aux autorités de son pays le fait que la Tunisie considère cet incident comme un meurtre injustifié, et attend de la partie française toute la rigueur et la célérité nécessaires dans l’enquête ». (source)
Pour qu’un petit pays ose ainsi – au lieu de se confondre en excuses – se plaindre de la mise hors d’état de nuire de ses criminels les plus furieux en dit long sur la considération dont jouit la France dans le monde : un paillasson pour ceux qui la submergent et pour ceux qui la voient de l’extérieur.
Il aurait fallu le laisser tuer les policiers et poignarder d’autres personnes jusqu’à ce qu’il se lasse ?!
Cela en dit aussi long sur la mentalité des dirigeants de ce petit pays musulman présentés comme raisonnables…