Google : toujours plus loin dans l’espionnage de ses utilisateurs

Lu sur zdnet :

Le 2 mai 2013, Google a déposé un brevet au doux nom de « Policy Violation Checker » ou « Vérificateur de violations de politiques » dans la langue de Molière.

De quoi s’agit-t-il ? Si ce brevet surgit un jour sur le marché, il permettra aux entreprises de constituer une base de données répertoriant les phrases, mots, expressions jugées « problématiques » (aussi vague ce terme soit-il).

Ces mots damnés, qui pourraient engendrer la fuite d’informations confidentielles ou encore porter un préjudice quelconque à l’entreprise, seraient immédiatement repérés par le logiciel, dans un mail ou même un simple fichier word, qui proposerait à l’employé « fraudeur » une reformulation moins polémique.

Jusqu’ici il ne pourrait s’agir que d’un petit logiciel agaçant et donneur de leçons mais lorsque celui-ci s’adonne à la délation, son caractère légal devient beaucoup plus problématique. En effet, le « Policy Violation Checker » ne se contente pas de vous avertir de votre écart, il s’empresse d’en informer votre employeur ou encore le département juridique de l’entreprise.

Royaume-Uni : interdit d’enseigner pour avoir déclaré que « l’homosexualité est un péché »

Robert Haye, un professeur de science de 43 ans, a été interdit d’enseigner au Royaume-Uni. Motif ? Répondant à la question d’un de ses élèves du secondaire, il a déclaré en classe que l’homosexualité était un péché. Robert Haye a finalement perdu le recours qu’il avait engagé devant la Haute Cour de Londres.

D’abord suspendu de toute activité enseignante par l’Agence de l’enseignement, la sanction a été confirmée par Michael Gove, le ministre de l’Education britannique.

La Haute Cour, saisie de l’affaire, n’a pas davantage soutenu le professeur, soulignant notamment que l’école où enseignait Robert Haye avait un cahier des charges obligeant les professeurs à « fournir des informations positives sur l’homosexualité » en vue de « permettre aux élèves de récuser les stéréotypes négatifs et les préjugés ». La Cour a mis en avant les « valeurs britanniques modernes de tolérance » et la nécessité de « promouvoir la tolérance et le respect pour les droits, les religions et les croyances d’autrui ».

C’est sidérant. Le respect des personnes est une chose. Le jugement des actes et des comportements est autre chose. Sauf à vouloir imposer le relativisme comme religion d’État : tout se vaut, aucun jugement de valeur n’est donc permis.
Continuer la lecture de « Royaume-Uni : interdit d’enseigner pour avoir déclaré que « l’homosexualité est un péché » »

La police interpelle un terroriste en plein Paris

Dans la vidéo ci-dessous, l’interpellation d’un dangereux terroriste, sans doute lié aux attentats de Boston, mobilise de nombreux CRS. Sous son air gentil, la personne interpelée, qui cache bien son jeu, semble détenir sur elle une arme qui fait l’objet de toutes les attentions. Âmes sensibles s’abstenir. Certains passages sont en effet insoutenables…

Des innocents gazés dans le métro parisien !

Cette fois, les CRS ont gazé des innocents en plein métro parisien, station des Invalides. Lorsque l’exercice du pouvoir est détourné du bien commun et confisqué, il suscite un vent de révolte et ne dispose plus les citoyens à l’obéissance. Pour se faire respecter, il compense alors sa perte de légitimité par la violence de la force armée, dernier argument pour s’imposer. C’est exactement le processus qui se met en place depuis quelques temps en France :

Quand la République s’en prend à ses propres fils !

Hier, quatre députés UMP de l’opposition ont été interdit de rejoindre l’Assemblée nationale par un cordon de CRS. Sans doute projetaient-ils de miner l’hémicycle. Quand le gouvernement donne des ordres à ce point illégitimes qu’ils empêchent même les représentants du peuple de se rendre au parlement, lorsque la république s’oppose à ses propres élus, la situation devient cocasse. L’usurpation de pouvoir républicain dure certes depuis plus de deux cents ans, mais lorsqu’il s’en prend à ses propres enfants, c’est à mourir de rire… Peut être le signe que la cocotte minute est prête à exploser…

Les terroristes de Boston sont à Paris

Ils ont été retrouvés hier soir dans un fourgon de police. Manifestement, ils menacent la sécurité du pays et semblent en passe de renverser le régime… Contre-Info a pu filmer ces talibans au péril de sa vie :

On observe ci-dessous que les terroristes ne sont pas non plus terrorisés par les CRS :

***Attention : vidéos non disponibles. Article basculé en privé / RN ***

La gauche la plus bête du monde !

Prenant la parole pour répondre à une collègue écologiste, le sénateur UMP Bruno Retailleau a déclaré hier, dans l’hémicycle : « Nous n’avons pas la même couleur politique. D’autres couleurs non plus d’ailleurs, mais on peut s’entendre ». Qu’est-ce qu’il n’avait pas dit !

Depuis, la gauche dénonce un « dérapage ». Encore que pour déraper, il faut sortir d’un sentier balisé…reste à savoir qui met les balises. Mais la gauche moralisatrice à l’habitude de se prendre elle-même pour la mesure du bien et du mal, et c’est toujours à l’aune de son nombril qu’elle juge ce qu’il est autorisé de dire et ce qui ne l’est pas.

En l’état, le sénateur UMP est accusé du crime inexpiable de « racisme » ! Évoquer « d’autres couleurs » que la couleur politique, vous pensez… C’est très suggestif, hein ? Sauf que la sénatrice écologiste est blanche, comme monsieur Retailleau. Et que la seule couleur qui jure un peu chez cette dame, c’est la couleur de ses cheveux, teints en rouge ! Auxquels il faisait manifestement allusion…

Comme quoi, la gauche est très sensible au réflexe pavlovien. Quand elle entend le mot « couleur« , elle salive et elle sort du bois. Ne cherchez pas, c’est un comportement totalement irrationnel. Enfin, il faut bien faire feu de tout bois pour disqualifier son adversaire politique…

Quand l’Etat assume son caractère totalitaire

Dans la vidéo ci-dessous, un campeur est expulsé manu militari du jardin du Luxembourg, porté par 5 gendarmes et surveillants, et interdit de remettre les pieds dans le parc pendant 6 mois. Pourquoi ? Parce qu’il portait un sweat de La Manif Pour Tous ! Vous avez dit…totalitarisme ?

24 mars, un festival de violences policières

Ici, des salopards aspergent de gaz des gens venus simplement ramasser et secourir quelqu’un.

Il y a eu des démissions de préfets et de ministres pour moins que ce qui s’est passé dimanche dernier.

Par ailleurs, pour CI, c’est très clair : la « trentaine de policiers légèrement blessés » qu’a évoquée Valls n’a tout simplement pas existé, ou alors ce sont des policiers qui ont été incommodés par les gaz et gel lacrymogènes qu’ils balançaient eux-mêmes à tout va.

Les caméras de surveillance vont maintenant servir… à vous racketter !

Magnifique quenelle de la part des autorités, qui donnent une nouvelle vie à ces caméras installées prétendument pour la sécurité des citoyens !

A partir du 2 avril prochain ces caméras de la capitale permettront en effet de verbaliser discrètement les automobilistes.

La préfecture de Police de Paris l’a annoncé hier. Un nouveau système de verbalisation des automobilistes va s’appuyer sur les 1037 caméras déployées dans la capitale dans le cadre du « plan de vidéoprotection pour Paris » (sic).

En ligne de mire : le franchissement d’un feu rouge (ou orange ?), les stationnements dits « gênants » ou dangereux et la circulation dans une voie réservée, comme les couloirs de bus.

Comment ça marche?
Quatre agents assermentés disposeront d’une cinquantaine de caméras aux heures les plus chargées (7 heures-10 heures et 17 heures-20 heures). Ils suivront aussi la circulation sur treize axes régulièrement engorgés à Paris. (cf. la carte du Parisien)
Une fois l’infraction relevée, une photographie de cette dernière sera extraite de la vidéo et conservée. Dans un délai n’excédant pas un mois après l’infraction, un PV sera adressé directement au domicile du titulaire de la carte grise du véhicule par le centre national de traitement (CNT) de Rennes.

Les axes concernés
– rue de Rivoli (1er et 4e)
– avenue de l’Opéra (1er)
Continuer la lecture de « Les caméras de surveillance vont maintenant servir… à vous racketter ! »

Les priorités du gouvernement en cette période de crise : la lutte contre les propos « incorrects »

François Hollande a annoncé dimanche à Toulouse qu’il veillerait à « contraindre » les réseaux sociaux à « fournir » à la justice les « noms » d’auteurs de messages « racistes ou antisémites » sur la toile, lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah.

Fin janvier, la justice française avait ordonné à Twitter de communiquer les données permettant d’identifier les auteurs de tweets antisémites, à la suite d’une action intentée par l’Union des étudiants juifs de France. Depuis, l’UEJF a déploré que cette décision soit restée lettre morte.

« Les tribunaux les ont condamnés à transmettre les données permettant l’identification des auteurs de messages antisémitismes et je veillerai à les contraindre, ces réseaux, à fournir ces noms pour qu’il y ait dissuasion et répression« , a indiqué le président de la République.
Hollande aux ordres d’un petit lobby donc, alors que la France et la majorité des Français sont touchés par de vrais problèmes, graves, que le concubin de Trierweiler n’envisage même pas d’essayer d’enrayer.

« L’espace de liberté qu’est internet ne doit en aucun cas être utilisé à des fins de propagande, de haine », a-t-il insisté.

Evidemment, la propagande antichrétienne, antifrançaise, antiblanche, mondialiste, antinaturelle (notamment issue du gouvernement) n’est pas incluse dans ces propos du socialiste.

Source