Agnès Buzyn menace : les enfants non vaccinés ne rentreront pas à l’école

Par contre pas de problèmes à ce que le gouvernement fasse entrer des « migrants » par dizaines de milliers alors qu’eux ne sont pas vaccinés et viennent de zone à risque d’un point de vue médical !

« Les enfants qui n’auraient pas reçu les onze vaccins obligatoires dès le 1er janvier prochain ne seront pas autorisés à entrer en crèche ou à l’école, a prévenu la ministre de la Santé. Cette obligation concerne les enfants nés à partir de 2018.

Si les parents qui refusent la vaccination ne seront pas condamnés, leurs enfants ne pourront en revanche pas être scolarisés. La ministre des Solidarités et de la santé a confirmé dimanche au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro que les enfants qui n’auraient pas reçu les onze vaccins obligatoires à partir du 1er janvier 2018 « ne rentreront pas à l’école ou en crèche », qu’il s’agisse d’établissements public ou privé.

La ministre, qui avait proposé dans un premier temps une clause d’exemption avant de faire marche arrière, a tenu à indiquer que certains pays avaient quant à eux mis en place des sanctions et que d’autres, comme les États-Unis, « où les vaccins ne sont soi-disant pas obligatoires », interdisaient l’entrée à l’école des enfants non vaccinés. » (Source)

Le «mouchard» informatique légalisé en 2011 par Sarkozy n’a « jamais été mis en œuvre »

La loi du 14 mars 2011 d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (dite LOPPSI 2) avait précisément légalisé la «captation de données informatiques (schématiquement, les logiciels espions)». Une disposition qualifiée par les auteurs de la note d’«éminemment stratégique» car elle permet aux autorités «de contourner le chiffrement en prélevant les informations directement sur le terminal de communication au moment de leur saisie». Au moment de leur saisie, c’est important, car à ce moment-là, elle ne sont pas encore chiffrées.

L’objectif, pour être tout à fait précis, était de permettre, «sans le consentement des intéressés, d’accéder, en tous lieux, à des données informatiques, de les enregistrer, de les conserver et de les transmettre, telles qu’elles sont stockées dans un système informatique, telles qu’elles s’affichent sur un écran pour l’utilisateur d’un système de traitement automatisé de données, telles qu’il les y introduit par saisie de caractères ou telles qu’elles sont reçues et émises par des périphériques audiovisuels».

La loi prévoit ainsi l’installation à distance ou via «l’introduction dans un véhicule ou dans un lieu privé, à l’insu ou sans le consentement du propriétaire ou du possesseur du véhicule ou de l’occupant des lieux», d’un «dispositif technique» type cheval de troie informatique, ou enregistreur de frappe (keylogger, en anglais). Pour être clair, tout ce qui est tapé sur les claviers des appareils espionnés est enregistré.

La disposition, initialement prévue «pour une durée maximale» de 1 à 4 mois, «renouvelable une fois», a depuis été étendue, mais «sans que la durée totale des opérations ne puisse excéder deux ans». La possibilité d’un «recours aux moyens de l’État soumis au secret de la défense nationale» a depuis, elle aussi, été rajoutée.

«Le texte semble s’être perdu dans les limbes»

Or, déplorent les auteurs de l’analyse, bien qu’introduite dans le Code de Procédure Pénale en 2011, cette disposition «n’a jamais été mise en œuvre, faute d’offre technologique» et ce, quand bien même «les services de renseignement ont développé des compétences en la matière, preuve qu’il n’existe pas d’obstacle technique».

Cette révélation, et ce «coupable oubli», sont d’autant plus étonnants que, soulignent les auteurs de la note, «les ministères de la Justice et de l’Intérieur, après plusieurs mois de travail, sont parvenus à un accord en mars 2017 afin de structurer l’offre étatique de logiciels espions au profit de la police judiciaire»:

«Le texte issu de ce consensus semble s’être perdu dans les limbes, victime de la fin du quinquennat. Sa publication est pourtant déterminante dans la mesure où il prévoit la création d’un service chargé de développer et de mettre à disposition des enquêteurs des solutions informatiques. Il devient urgent de le publier et de le mettre en œuvre.»

Source

Sécurité rentière : la « tourelle », le radar qui contrôlera tout sur les routes

Il fait partie du projet de loi de finances 2018 : pour continuer à améliorer le contrôle des infractions, le gouvernement va faire déployer un nouveau radar multifonctions. Dans les faits, cette « tourelle » pourra presque tout contrôler.

Ceinture, dépassement, smartphone, vitesse, distance de sécurité, plaque d’immatriculation, passage aux feux rouges… le futur radar baptisé « tourelle » pourra, en théorie, contrôler presque toutes vos infractions. Prévu dans le projet de loi de finances 2018, c’est-à-dire le premier budget du quinquennat Macron, cet appareil d’un nouveau genre va progressivement arriver sur nos routes. 455 radars « tourelles » doivent être déployés sur le territoire d’ici fin 2018. Nom de code : Mesta Fusion.

Cette tour, plus haute et plus fine que les radars fixes traditionnels, s’ajoute au déploiement de radars urbains qui viendront se greffer, comme leur nom l’indique, au mobilier des villes. Mais c’est bien le radar « tourelle » qui concentre toute l’attention. Dans les faits, toutes les fonctions de ce nouvel appareil ne seront pas utilisées. Si l’on en croit le document du gouvernement, ce dispositif de contrôle sera « installé dans une tourelle fixe afin de contrôler le franchissement des feux rouges, la vitesse ou le franchissement des passages à niveau ».

Source

Radio Courtoisie condamnée à 25 000 euros par le CSA

Le CSA (« Conseil supérieur de l’audiovisuel ») a rendu ces derniers jours son verdict suite à une enquête qu’il avait ouverte concernant des propos tenus à l’antenne de la radio dissidente.

L’institution avait dans le collimateur les émissions d’Henry de Lesquen (par ailleurs président de la radio de 2006 à juin 2017).
Le CSA s’en prend particulièrement à l’émission du 28 mars 2016, au cours de laquelle « l’un des invités a soutenu que l’Islam « est une religion épouvantable […] une religion de haine » » précise-t-il. « Ces propos n’ont par ailleurs suscité aucune réaction à l’antenne tendant à les modérer ou y apposer un regard critique », poursuit le CSA.

Continuer la lecture de « Radio Courtoisie condamnée à 25 000 euros par le CSA »

Général Piquemal : « L’identité de la France disparaîtra si un terme n’est pas mis à cette islamisation rampante qui est due à une immigration incontrôlée »

« L’immigration est massive, incontrôlée. Cela ira vers la disparition des Etats-nation et des populations … L’identité des grands pays et notamment de la France disparaîtra si un terme n’est pas mis à cette islamisation rampante qui est due à une immigration incontrôlée ».

Le général Piquemal est interviewé par Armel Joubert des Ouches

Christian Piquemal radié des cadres de l’armée

Continuer la lecture de « Général Piquemal : « L’identité de la France disparaîtra si un terme n’est pas mis à cette islamisation rampante qui est due à une immigration incontrôlée » »

Isère : prison et amende pour une tête de sanglier déposée devant une mosquée

De la prison et une amende pour une simple tête de sanglier déposée devant une porte… Pas de dégradation, pas d’injure, pas de graffiti, pas d’agression physique… La charia commence déjà à s’appliquer en France.

Deux jeunes habitants de Pont-de-Beauvoisin (Isère) ont été condamnés ce jeudi à 3 et 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu pour avoir accroché une tête de sanglier à la porte de la petite salle de prière musulmane de leur village.

Continuer la lecture de « Isère : prison et amende pour une tête de sanglier déposée devant une mosquée »

Les Républicains proposent d’interdire la diffusion du nom et la photo des terroristes…

…Sous peine de 15 000€ d’amende ! Sous prétexte d’éviter une gloire posthume aux terroristes, des députés du parti « de droite » Les Républicains ont déposé aujourd’hui une proposition de loi visant à interdire de révéler le nom des terroristes… Le véritable motif de cette proposition de loi liberticide est bien évidement à chercher ailleurs…

Proposition en PDF : ici

Edouard Philippe annonce un nouveau « plan de lutte contre l’antisémitisme » englobant « l’antisionisme »

Dans une synagogue pour le nouvel an juif ce lundi, le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé que l’État mettrait en œuvre à partir de 2018 un nouveau « plan pluriannuel de lutte contre l’antisémitisme » « pour la période 2018-2020 ».

Rendant hommage à Manuel Valls –présent lundi soir et très applaudi– et à son « plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme » de 100 millions d’euros lancé au printemps 2015, Edouard Philippe a annoncé le sien, dans la continuité du précédent.

Le chef du gouvernement a dû reconnaître que les « actes antisémites » ont baissé en 2016 (-58,5%), mais il s’est rabattu sur la « banalisation de l’antisémitisme et de sa forme réinventée (…) qu’est l’antisionisme » notamment sur les réseaux sociaux.
Continuer la lecture de « Edouard Philippe annonce un nouveau « plan de lutte contre l’antisémitisme » englobant « l’antisionisme » »

A bout de nerf, une mère gifle son enfant et se fait interpeller par la BAC…

Après avoir giflé son fils de deux ans, une mère a été jugée par le tribunal correctionnel de Perpignan. Elle a finalement été relaxée.

Une mère de famille âgée de 32 ans a été jugée par le tribunal correctionnel de Perpignan pour avoir donné une gifle à son enfant âgé de deux ans et demi. Hospitalisé pour une gastro-entérite, l’enfant refusait d’avaler ses médicaments. La mère a expliqué aux enquêteurs, puis à la barre du tribunal, qu’elle était à bout de nerf après 48 heures quasiment sans dormir à tenter de soigner son fils.

Une infirmière donne l’alerte

C’est une infirmière témoin de la scène, grâce à un hublot qui se trouvait sur la porte de la chambre, qui a donné l’alerte rapporte France Bleu Roussillon. Elle évoque un coup “violent”. La tête de l’enfant aurait été “projetée en arrière”. La mère, elle, a été placée en garde à vue par les policiers de la BAC.

Source

Le CNNum dénonce la « spirale sécuritaire infernale » de la France

A l’occasion de l’examen du nouveau projet de loi antiterroriste, le Conseil national du numérique (CNNum) alerte sur la « trajectoire sécuritaire » du gouvernement, qu’il juge « infernale ». Un article de notre partenaire La Tribune.

Le Conseil National du Numérique (CNNum) a beau être un organe consultatif du gouvernement, cela ne l’a jamais empêché de taper sur la main qui le nourrit. Sous François Hollande, l’institution alors présidée par l’actuel secrétaire d’Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi, n’avait pas hésité à critiquer les attaques du gouvernement contre le chiffrement ou la création du méga-fichier d’identité TES, jugé trop intrusif.

En début de semaine, le CNNum a fourbi son premier rappel à l’ordre contre la politique d’Emmanuel Macron, accusée de poursuivre la « trajectoire sécuritaire » du précédent quinquennat. Dans un rapport sévère intitulé « Prédiction, chiffrement et libertés », l’organe consultatif dénonce une « situation critique » sur le plan du respect des libertés individuelles à l’heure de la révolution numérique.

« Sécurité absolue impossible à atteindre »

Lire la suite…

Inéligibilité des auteurs de propos politiquement incorrects : le Conseil constitutionnel désavoue la LICRA

l’extrémiste Alain Jakubowicz, président de la LICRA

En juillet, la LICRA (officine communautaire promouvant la répression du « politiquement incorrect ») avait fait adopter par l’Assemblée nationale un amendement délirant, rendant inéligibles les Français condamnés pour propos « racistes, antisémites ou homophobes » (cf article de Jérôme Bourbon ici).

Mais voilà que le Conseil constitutionnel, coincé par les textes, vient de rendre un arrêt stipulant que l’amendement n’était pas compatible avec notre Constitution…

La LICRA enrage et exige, sur un ton menaçant, encore plus de soumission des mondes politique et judiciaire.

Continuer la lecture de « Inéligibilité des auteurs de propos politiquement incorrects : le Conseil constitutionnel désavoue la LICRA »

Toujours plus loin dans la folie : dix ans d’inéligibilité pour les propos “racistes, antisémites ou homophobes” !

De Jérôme Bourbon :

« La LICRA s’en est bruyamment réjouie, voyant immédiatement la portée de l’événement. Dans la nuit du lundi 24 au mardi 25 juillet 2017, les députés ont en effet intégré dans le code pénal sous la forme d’un amendement une peine d’inéligibilité pour les personnes déclarées coupables de « faits liés au racisme, à l’antisémitisme, au négationnisme, à l’homophobie et à toute forme de discrimination ». Alain Jakubowicz, président de la LICRA, plastronne : « Par ce vote, l’Assemblée Nationale a fait sienne une proposition portée par la LICRA depuis longtemps et dont l’aboutissement s’est concrétisé à la faveur des nombreuses rencontres que j’ai pu avoir, aux côtés de Mario Stasi et de Sabrina Goldman, avec la Garde des Sceaux et un certain nombre de parlementaires. Parmi eux, il faut citer
Jean-Michel Mis, député de la Loire, Olivier Dussopt, député de l’Ardèche, Pierre-Yves Bournazel, député de Paris, Thierry Solère, député des Hauts-de-Seine et Naïma Moutchou, députée du Val d’Oise dont l’engagement à nos côtés a été essentiel et déterminant. »

Les conséquences de cet amendement sont incalculables et vont encore réduire de manière effrayante la liberté d’expression dans notre pays.

Continuer la lecture de « Toujours plus loin dans la folie : dix ans d’inéligibilité pour les propos “racistes, antisémites ou homophobes” ! »

Jean-Marie Le Pen sera jugé pour avoir employé le terme « fournée »

La liberté d’expression se réduit en France comme peau de chagrin. Pour preuve, Jean-Marie Le Pen, qui, dans son libre journal avait employé le terme « fournée » va être convoqué par le tribunal car accusé de « provocation à la haine raciale ». En réalité, Le Pen critiquait les chanteurs politiquement engagés contre lui comme Guy Bedos ou Madonna, mais également Yannick Noah et Patrick Bruel qui, pour ces deux derniers, s’étaient engagés à quitter la France si le FN arrivait en tête des élections (ce qui fut le cas), mais qui ne mirent pas en œuvre leur menace. Invité à commenter les agissements de ces poltrons qui parlent mais n’agissent pas, Jean-Marie Le Pen, sur un ton railleur, avait utilisé une expression du langage courant et dit « oui, la prochaine fois on fera une fournée ». Il n’en a pas fallu plus pour être accusé… d’antisémitisme ! 

Bien que parmi les quatre chanteurs concernés, un seul soit juif -difficile donc de voir de l’antisémitisme-, Jean-Marie Le Pen est tout de même traîné devant le tribunal. Ce qui est révélateur, c’est le comportement de certains membres du FN, car le premier a avoir critiqué le président du FN n’est pas les ligues de vertu mais… Louis Aliot, le concubin de Marine Le Pen. Aujourd’hui encore et aux dernières nouvelles, les traditionnels Licra, UEJF, CRIF, etc, etc sont aux abonnés absents et l’avocat franco-israélien en pointe contre Jean Marie Le Pen est un certain… Gilles-William Goldnael. Or, Goldnael est l’avocat qui défend… Florian Philippot ! « Je me réjouis de ce renvoi puisqu’en raison de l’immunité parlementaire de Le Pen l’affaire avait un peu traîné » a dit cet avocat, également président de l’association France-Israël et qui prétend, sans rire, défendre la liberté d’expression (c’est en tout cas l’argument qu’il utilise quand il défend Philippot !)

Une famille des Pyrénées chassée de chez elle pour son soutien au FN

Elne, commune du Roussillon de 8500 âmes. Harcelée par un voisinage hostile, la famille LESTEVEN a dû fuir la cité « les abricotiers » laissant derrière elle toute sa vie, affaires personnelles, meubles, souvenirs. Au regard des menaces proférées entre autres par certains membres de la mosquée locale, le retour sur les lieux est devenu particulièrement risqué.

Afin de récupérer un certain nombre de biens, il est demandé au maire de la commune de bien vouloir sécuriser l’opération, ce qu’il refuse.

Devant l’inaction de ce triste élu, ce sont donc les Volontaires Pour la France (présidée par le général Antoine Martinez) du secteur qui sont venus prêter main forte à la famille. Vous pouvez faire un don à cette famille très modeste, dont la mère est invalide à 80%,  en cliquant ici.

Tyrannie française : un blogueur condamné à 6 ans de prison !

Boris Le Lay anime divers sites dont breizatao.com.
Il vit au Japon, car recherché par la police française suite à des condamnations judiciaires. Il vient à nouveau d’être condamné, à une nouvelle peine de prison de 32 mois fermes, ce jeudi par le tribunal correctionnel de Quimper. Au total, il est condamné à près de 6 ans de prison !

Mais pourquoi donc ? Pour « provocation à la discrimination, à la haine raciale et à la violence », « injures publiques et raciales » ou « menaces de mort » que le tribunal lui a attribuées.
C’est-à-dire uniquement des écrits, et qui ont surtout le tort d’être considérés comme politiquement incorrects !
Les médias du Système qui ont relayé l’information se sont bien gardés de citer les propos horribles qui lui ont valu des condamnations auxquelles échappent des dealers, des agresseurs violents ou même des violeurs !
La France s’était déjà illustrée en emprisonnant il y a quelques année un homme dont les recherches contredisaient l’« historiquement correct ». Maintenant, 6 ans fermes pour délit d’opinion ! C’est une véritable tyrannie (le terme dictature est trop gentil) qui se met en place.

Hodie mihi, cras tibi : aujourd’hui lui est lourdement condamné pour délit d’opinion, demain cela pourra être n’importe qui, et pour moins que cela. C’est la logique totalitaire.