Une journaliste, qui parallèlement à Rivarol enquête sur la communauté dont « les Brigandes » sont l’expression musicale, publie un nouvel article comportant des témoignages très graves sur la mort d’une adepte, malade et non soignée, dont les jours auraient même été abrégés par d’autres membres selon un témoignage…
« S. s’est éteinte dans une maison minuscule de conte pour enfants. En pierre, encadrée par des branchages, une petite boîte à fantasmes. C’était le 18 octobre 2011, sur les hauteurs de la ville d’Hastière, au sud de la Belgique, où l’avait envoyée une secte. Elle n’est pas morte de son cancer de l’utérus stade quatre mais peut-être de dénutrition, les derniers instants de sa vie restent incertains.
Cette Belge de 39 ans, qui avait décidé de ne pas se soigner, ne se nourrissait plus depuis des jours. Elle pensait que son karma était de mourir et que les karma devaient s’assumer. C’est aussi ce que pensait le groupe dans lequel elle vivait depuis trois ans.