la « Révolution culturelle » façon Républicaine, continue d’effacer progressivement de la mémoire collective le souvenir du moindre intellectuel, héros et homme public français qui pourrait être un signe de contradiction avec les dogmes de la religion droit-de-l’hommiste.
La demande vient d’Alexandre Vesperini, président du groupe PPCI (pro-Macron ex-LR) au conseil de Paris : après avoir supprimé le nom de Charles Maurras du livre des commémorations nationales 2018, annulé la réédition des pamphlets de Céline, il faudrait désormais débaptiser une rue du XIVe arrondissement de la capitale, qui porte le nom du philosophe Alain, de son vrai nom Emile Chartier (1868-1951). Selon cet élu, un journal intime de l’écrivain qui vient d’être publié montrerait des « accents antisémites » et des prises de position favorables à la collaboration, rapporte l’AFP. « L’Honneur de Paris, membre de l’ordre national de la Libération, est d’aller jusqu’au bout des choses », explique Vesperini.


L’histoire se répète indéfiniment, avec ses mêmes horreurs, ses mêmes secrets, ses mêmes pudeurs antiracistes et ses mêmes vies brisées. Les autorités britanniques viennent en effet de dévoiler ce qui pourrait être l’un des plus gros scandales sexuels du pays, rapporté par une longue enquête du journal The Mirror. Des gangs d’hommes indo-pakistanais (« asian » en anglais) réduisaient depuis plus de 40 ans des jeunes filles du prolétariat à l’état d’esclaves sexuelles. Il y aurait plus de 1000 victimes.

Le prédicateur accusé de multiples viols a bien obtenu un doctorat de lettres en islamologie arabe à l’université de Genève… En menaçant, en criant au racisme et en copinant avec l’extrême-gauche !
Alors qu’une grande partie des catholiques de France s’arrache les cheveux à l’idée que l’on puisse être choqué de l’attribution du rôle de la sainte et héroïne nationale à une métisse bénino-polonaise, un billet détaché, « sans haine ni violence » de Pauline Mille pour 

