« Rappel : on ne bat pas un agresseur sans contre attaquer. Donc, rétablir les mots, rétablir les faits.
Il faut aller au bout de l’affaire Bilongo.
Toute la presse jeudi soir 3 novembre, affirmait que la phrase prononcée par Grégoire de Fournas était « qu’il retourne en Afrique », au singulier, en se fondant sur l’affirmation que c’était ce qui était écrit dans « le compte rendu officiel de l’Assemblée nationale » mis à jour, et que ce singulier visait, non un bateau et son chargement de migrants, mais le député LFI Bilongo.
Or, il est maintenant admis qu’il n’en est rien. Ce sont bien les migrants illégaux que Fournas invitait à retourner en Afrique.
Or, outre les invectives de la NUPES et du Modem pendant la séance, l’attaque contre Fournas a été reprise par le gouvernement, son chef, Elisabeth Borne, et le président de la république, Emmanuel Macron. Il s’agit donc d’un mensonge d’Etat, et, même, la presse y ayant contribué, d’un mensonge systémique. D’une manipulation, d’une machination politique que le député Bilongo a lancée en feignant de mal comprendre et en maintenant son point de vue après coup.
Il y a donc une très grave affaire Bilongo.
Grégoire de Fournas doit exiger des excuses de ce Bilongo, d’abord, puis de l’Assemblée nationale, puis des médias et de la classe politique complice, y compris bien sûr Elisabeth Borne et Emmanuel Macron. Et s’il ne les obtient pas, il conviendrait de lancer une procédure pour les traduire en Haute Cour. »
Des rassemblements ont eu lieu dans de nombreuses villes de France, suite au meurtre horrible d’une Française de 12 ans par des Algériens clandestins, afin de manifester écœurement et colère : « ça suffit ! » pense une part importante des Français, tandis que les autres n’en ont pas encore eu assez et restent confinés dans leur veulerie.
Mais voilà, ces rassemblements sont suspects – aux yeux de la caste politico-médiatique – d’être liés à l’« extrême-droite », c’est-à-dire aux patriotes français.
Les hypocrites accusations de « récupération et instrumentalisation politique » sont particulièrement odieuses :
1) D’abord parce qu’il ne s’agit pas d’un simple fait divers, mais du résultat d’une politique immigrationniste et laxiste qui dure depuis des décennies maintenant. On a donc le droit et le devoir d’en tirer des leçons et des conclusions politiques.
2) Ceux qui font semblant de s’offusquer sont les mêmes qui, au cours des 40 dernières années, nous ont inlassablement ressorti la carte magique de la Shoah, des camps, et l’éternelle musique du « plus jamais ça » pour contrer les aspirations nationalistes et identitaires ; les opposants au Système politique cosmopolite ont été ensevelis et balayés par les reductio ad hitlerum et des points Godwin brandis par l’empire médiatique, l’industrie du spectacle, et leurs adversaires politiques de tous bords.
Ce sont les mêmes faux indignés qui nous ont rebattu les oreilles pendant des mois avec la mort d’un homme (George Floyd) aux Etats-Unis, avec la mort d’un délinquant noir en France (Adama Traore), avec – jusqu’à l’obscénité – la mort par noyade d’un enfant migrant (Aylan) , toujours à des fins politiques.
Mais la mort atroce d’une petite Française (parmi de nombreuses autres victimes de francocides) n’a pas la même valeur à leurs yeux, et ils contestent même le droit à vouloir ne plus subir ce genre d’horreurs…
« L’UEFA a-t-elle été censurée? Le Daily Mail affirme que les autorités françaises ont fait pression sur l’instance dirigeante du football européen pour que celle-ci, le soir de la finale de la Ligue des champions, ne fasse aucune mention des faits de délinquance survenus autour du Stade de France.
D’après le média britannique, l’UEFA voulait évoquer ce sujet dans son communiqué diffusé le soir du fiasco, afin de décrire au mieux les graves incidents et d’expliquer la décision de retarder le coup d’envoi. Le texte qui aurait été imaginé devait alors préciser que la présence de délinquants avait aggravé le chaos autour du stade et conduit à l’utilisation de gaz lacrymogène.
Dans le communiqué finalement publié, et désormais indisponible sur le site de l’UEFA, le retard du coup d’envoi est simplement attribué à l’afflux de “milliers de fans qui avaient acheté de faux billets”. “Comme le nombre de supporters à l’extérieur du stade continuait à augmenter après le coup d’envoi, la police les a dispersés à l’aide de gaz lacrymogène et les a forcés à quitter le stade”, ajoutait aussi l’instance présidée par Aleksander Čeferin. […] » (source RMC)
Le géant Netflix, une plate-forme de diffusion de films et séries à la demande – quand il n’est pas occupé à diffuser de la pornographie, des blasphèmes envers le Christ, de la promotion du métissage, de l’homosexualité, de la théorie du genre, etc. –, aime présenter une image déformée et menteuse des peuples européens.
Ayant racheté les droits de la série Vikings, elle en a produit la suite et cela donne donc une reine (un jarl plus exactement)… noire.
Les jarls étaient bien évidemment blancs et masculins.
Le traître Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, n’avait rien d’autre à faire, après la manifestation parisienne contre la passe sanitaire organisée par Philippot, que de diffuser cela sur Twitter :
Il exhibe une photo floue, laissant entendre qu’une foule de personnes tendent le bras droit, dans un « salut nazi » (car le salut romain ou même fasciste n’existe plus : c’est forcément nazi…)
Or, comme les videos l’ont prouvé, il n’en était rien : ces quelques dizaines de jeunes tapaient dans leurs mains et alternativement lançaient leurs deux bras vers l’avant : un geste issu des tribunes des stades de football où il est très répandu :
Taper dans les mains et crier liberté ! voilà ce qu’il y avait sur la photo floue de M.Darmanin.
➡️ M.Darmanin a donc une nouvelle fois menti, et gravement diffamé.
Nous réfléchissons à une action en justice. ⤵️ pic.twitter.com/h8cvmYlvTK
A ce compte là, il est plus facile de dire que Macron est nazi :
De prétendus journalistes (mais vrais militants gauchistes), comme Edwy Plenel, le patron de Mediapart, les mêmes qui dénoncent régulièrement les fake news d’extrême-droite, n’y sont pas allé de main morte non plus :
Fabienne Sintes, longtemps pilier de France « Info » et maintenant de France Inter, persiste malgré les videos :
Bref, Darmanin, ministre de l’Intérieur et qui reçoit donc les rapport des agents du renseignement intérieur, est un guignol et, pis, une crapule de la pire espèce.
Ajout :
Interrogé sur France Info ce 20 janvier, Darmanin a persisté lui aussi, refusant de reconnaître son mensonge et versant dans la langue de bois la plus répugnante :
Pour Darmanin, frapper dans ses mains est donc désormais, si cela lui plaît, le signe que l’on est un nazi…
« L’AFP, l’Agence France Presse, qui détermine majoritairement ce qui va sortir dans toutes les rédactions mainstream de France en matière d’information, a été prise, ce n’est pas la première fois, en flagrant délit de fake news, dimanche 2 janvier 2022.
Evoquant une manifestation contre la tyrannie sanitaire à Amsterdam, l’AFP évoque ainsi, dans une vidéo Youtube « quelques dizaines » de personnes qui manifestent contre les restrictions sanitaires à #Amsterdam.
Problème : les images diffusées en direct sur les réseaux sociaux montrent plusieurs milliers de manifestants, et une répression impressionnante par les forces de l’ordre, qui n’ont pas hésité à lâcher des chiens sur les manifestants, frappés à coups de matraques. Des scènes qui auraient fait couiner les rédactions françaises si elles s’étaient déroulées sur d’autres sujets en Pologne ou en Hongrie….
Les gros médias, et notamment ceux qui relèvent de l’Etat (c’est-à-dire de l’argent des Français), s’adonnent depuis des décennies à la désinformation, par différentes techniques classiques (amalgame, insinuation, exagération, citations tronquées ou sorties du contexte, etc.), mais toujours dans un sens gauchiste, mondialiste, antitraditionnel, antichrétien et antinational.
Mais signalons tout de même, en passant, cet article diffusé par plusieurs médias d’Etat, d’une grossièreté telle dans la manipulation, que cela relève de la performance.
Les Français qui s’arrêtent au titre (la seule chose que l’on voit sur les réseaux sociaux), croient légitimement qu’un chasseur a abattu un homme, encore, et que la chasse c’est non seulement très méchant pour les animaux (mieux vaut en manger élevés en batterie et n’ayant pas connu la liberté ni parfois même la lumière du soleil…) mais très dangereux pour les humains : il est temps de l’interdire.
Ceux qui cliqueront sur le lien et liront la présentation/résumé de l’article se diront la même chose :
Mais ceux, à ce stade très minoritaires, qui pousseront encore plus loin, tomberont sur un paragraphe en caractères plus discrets :
« Il ne s’agit pas d’un accident de chasse mais d’un tir accidentel par des particuliers sur un terrain privé pour tuer des animaux domestiques » indique toutefois la préfecture. La victime était avec deux autres personnes sur un terrain privé. Un tir a touché le propriétaire du terrain, de l’autre côté d’un étang, indique la gendarmerie.
Bref, le titre et la présentation ne sont pas simplement exagérés, ils sont parfaitement faux.
Les gros médias, les mêmes qui prétendent faire la chasse aux fake news d’« extrême-droite », n’ont plus honte de rien.
« Emmanuel Macron n’a pas pu s’empêcher de démarrer son allocution avec la reprise du sketch éculé de l’énième reprise fantasmée de la pseudo-épidémie de Covid. Se grimant une fois de plus en petit VRP des laboratoires pharmaceutiques, il a annoncé sans surprise la 3e dose obligatoire pour les seniors si ceux-ci veulent conserver leur pass sanitaire. Pour les autres, ce sera sans doute pour bientôt, nous pouvons lui faire confiance.
Nous avons ensuite appris que, grâce à ses efforts, notre système hospitalier ne s’est jamais aussi bien porté. Les soignants à bout et les Français qui subissent la tiers-mondisation de la santé publique apprécieront…
Côté économie et emploi, tout va bien aussi, sachez-le. Grâce aux milliards d’argent public injectés et les mesures gouvernementales que le monde entier nous envie, nous sommes là aussi de sacrés veinards d’après notre Président de la République.
L’insécurité est en baisse, oui oui ; toujours grâce à son action déterminante que les Français peuvent constater chaque jour.
Enfin, avec un culot monstre, après avoir fait fermer la centrale de Fessenheim pour plaire au lobby Vert, Emmanuel Macron a annoncé la construction de nouvelles centrales nucléaires, alors que nous n’avons même plus le savoir-faire !
Cette allocution a consisté en un panégyrique bilan d’un candidat-Président bouffi d’autosatisfaction, promettant monts et merveilles, avec encore plus de dépenses publiques, pour – tenez-vous bien – l’horizon 2030 !
Merci à Emmanuel Macron d’avoir éclairé les Français les plus lucides sur la nécessité de le mettre hors d’État de nuire le plus rapidement possible, c’est ce à quoi nous devons nous atteler dans les mois à venir ! »
1– Remarquons d’abord que cet argument s’inscrit dans une stricte logique économique. À supposer qu’il soit vrai (nous démontrerons que ce n’est pas le cas), il devrait être mis en balance avec d’autres facteurs et d’abord avec les conséquences nuisibles de l’immigration en termes d’identité, d’éducation, de sécurité ou encore de budget.
Il en va de même pour les descendants d’immigrés non européens dont le taux de chômage cinq ans après l’entrée dans la vie active est deux fois plus élevé que celui d’un Français de souche (voir Immigration la catastrophe, que faire, page 46).
Quitte à garder le slogan « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire », il serait donc plus juste de l’adapter et d’affirmer « les nouveaux immigrés font le travail que les Français et surtout les immigrés plus anciens et les descendants d’immigrés ne veulent pas faire. »
Généralement, quand un torchon subventionné pose la question, c’est que la réponse est déjà prête et qu’il s’agit d’une préparation de l’opinion.
De son côté, BFM pose de plus en la question de la « nécessité » d’une « vaccination obligatoire ».
Réagissons si l’on ne veut pas qu’ils osent toucher aux enfants avec des produits en phase d’essai (qui semblent déjà engendrer un nombre non négligeable d’effets secondaires lourds) de laboratoires multicondamnés !
Magnifique.
Cet extrait confirme que nous avons affaire à des comédiens.
Il faut monter le son :
Incroyable ! Le préfet de Guadeloupe avant la conférence de presse dicte le ton à la directive de l’ARS, ne se sachant pas enregistré : « On adopte un ton grave et catastrophique ! » La politique de la PEUR ! Indigne ! ⤵️ pic.twitter.com/ZglEsNzApG
La duplicité de cette engeance est écœurante. Celui-ci, de BFM TV, vient pleurnicher sur le mauvais accueil qu’il a reçu à une manifestation anti « pass sanitaire », alors que finalement il se montre, lui, violent.
« Le fait est entendu : les reporters de BFMTV ne sont pas accueillis avec des colliers de fleurs dans les manifestations. Sur le plateau de la chaîne d’info, l’un d’entre eux, Igor Sahiri, est très mécontent. Alors qu’il se proposait de « couvrir » le rassemblement parisien anti-passe sanitaire, la foule l’a invité à quitter les lieux en compagnie de sa camerawoman, à grand renfort de noms d’oiseaux et d’insultes diverses. La frayeur de sa vie.
Il est important d’avoir conscience que Macron a franchi une étape cruciale avec son « Pass sanitaire » (même là, un anglicisme…).
Ses compères gouvernementaux ont affirmé pendant des mois qu’il n’y aurait pas de « vaccination obligatoire » face au Covid-19, mais c’est maintenant tout comme : pour aller dans les lieux culturels, les cafés et restaurants, les grands centres commerciaux, etc., et même pour certains afin de pouvoir se rendre à leur travail, de nombreux Français auront le choix entre des certificats de vaccination ou des tests PCR valables 48h et plus remboursés !
Une démarche totalitaire dans laquelle le pouvoir – perversion suprême déjà pratiquée chez les bolcheviques – force des citoyens (ici les employeurs, les restaurateurs, etc.) à contrôler eux-mêmes leurs concitoyens.
Les gros médias ont préparé l’opinion publique en suggérant pendant des semaines cette idée de vaccination obligatoire et en répétant ad nauseam que le variant Delta était très contagieux, plus contagieux que les versions précédemment servies. Or, ces médias ne rappellent jamais une autre donnée : s’il est plus contagieux, le variant Delta est officiellement moins virulent, moins létal. Cette omission systématique relève purement et simplement de la manipulation mentale, en vue de faire paniquer la population pour qu’elle accepte des mesures normalement inacceptables.
Quant à la vaccination, sans entrer dans le détail des controverses, il est parfaitement légitime, pour soi et les siens (surtout les jeunes), de s’en méfier : ces vaccins ou thérapies sont toujours en phase d’évaluation – on ne connaît pas les effets à terme (il y a des controverses en particulier pour les thérapies à ARN) – et sont proposés par des entreprises déjà multi-condamnées pour de graves scandales médicaux.
Par ailleurs, si ces vaccins sont efficaces et que les populations à risque sont déjà largement vaccinées, pourquoi craindre un engorgement des services de réanimation ?
Evidemment, il ne faut pas compter sur la « droite » sécuritaire pour comprendre quelque chose aux enjeux et proposer de véritables solutions. Robert Ménard illustre à merveille cette vision des choses :
Ce que Ménard et d’autres n’ont pas perçu, c’est qu’accepter ce système de Pass [sic] sanitaire et cette vaccination quasi-obligatoire, c’est précisément renoncer à une vie normale !
C’est la même chose pour l’insécurité ; prenons cet exemple.
La France devient petit à petit un coupe-gorge à cause de l’immigration massive qui, en plus, menace de lui faire perdre définitivement son identité.
Que proposent la gauche et la droite pour « retrouver une vie normale » ? Prendre le problème à la racine avec une très large remigration ? Non.
Elles proposent de mettre un policier derrière chaque citoyen, d’espionner son activité sur internet et installer des caméras absolument partout. Et elles osent présenter cela – ce que nos ancêtres lointains comme proches n’auraient jamais toléré – comme la « vie normale » !
Mais, à défaut de régler le problème de l’insécurité, cela permet au régime en place de surveiller et de réprimer plus facilement les dissidents.
Fin de la parenthèse.
Si le quart de ce que vont coûter les mesures gouvernementales avait été consacré plutôt à la création de nouveaux lits en réanimation, les mesures antisociales imposées depuis l’automne 2020 auraient été clairement inutiles et injustifiables.
Par ailleurs, le gouvernement fait mine d’ignorer l’existence de médicaments tels que l’ivermectine (pas chère…), dont de nombreux échos évoquent l’efficacité dans le traitement du Covid.
Mais il est légitime de penser qu’il y a des buts cachés. Les théories ne manquent pas.
En tout cas, ce qui se passe depuis mars 2020 et qui culmine avec ce « Pass sanitaire » constitue un formidable exercice d’ingénierie sociale et de contrôle social.
Il est capital de s’opposer au maximum à ce projet de société digne de la Chine communiste.
Il y a du potentiel de résistance, comme le montrent les très nombreuses manifestations qui ont lieu à travers la France samedi (plusieurs dizaines de milliers de personnes à Paris), en plein mois de juillet.
Henri Ménestrel
A Paris, plusieurs dizaines de milliers de manifestants, en plein mois de juillet
« Martin Steffens et Pierre Dulau voient dans notre époque actuelle un moment clé, celui du passage à un nouveau type de société en prenant occasion d’un prétexte sanitaire : l’apparition du virus « Sars-CoV-2. », le covid. Prétexte, oui, car derrière l’avalanche d’informations quotidiennes, les deux auteurs remarquent que les faits constatés et rigoureusement établis sont très souvent « ou bien rares, ou bien nombreux et discordants ». Il y a beaucoup de flou dans cette période : « les effets du virus sur la santé ne furent jusqu’à présent jamais tels que les remèdes envisagés dussent passer pour incontestables. Le doute demeure quant à savoir si les remèdes choisis (confinements, couvre-feux, annonces spectaculaires, pénalisation des écarts, restrictions radicales des libertés fondamentales…) ne sont pas pires que les maux. Le sentiment de « s’être fait avoir » traverse aujourd’hui l’esprit du plus honnête des hommes. » Si la présence d’un virus est évidemment constatée, il serait ridicule de l’équiparer à la peste noire ou au choléra, nous ne voyons pas de cadavres joncher les rues ni la population mondiale diminuer sensiblement. Richard Horton, le rédacteur en chef du Lancet, l’indiquait d’ailleurs en septembre 2020, « le covid-19 n’est pas une pandémie », loin de toucher le peuple entier, il n’est grave presque exclusivement que chez certaines personnes âgées ou fragiles. Ce qui donne de l’importance à ce virus, c’est que « les gouvernements choisirent de compenser par l’imagination et le conditionnement ce que l’expérience sensible ne pouvait offrir. Afin que la catastrophe n’eût pas lieu, on frappa catastrophiquement les esprits. » Par la peur instillée et les mesures de distanciation sociale, la société s’est trouvée radicalement modifiée.