Viol raciste : la victime voulait voler le sperme du violeur

Winnipeg, Canada : un homme mis en examen pour viol prétend avoir été forcé à la sodomie sur sa victime, accusant la jeune femme d’avoir voulu voler son sperme pour avoir un enfant métis.

Confronté à la question de savoir s’il pensait qu’une femme puisse tomber enceinte par une relation anale, l’homme aurait répondu « Je ne suis pas dans la profession médicale ».

Hilaire Ndyat, 42 ans, est originaire de la République Démocratique du Congo. Arrivé en 1996 à Winnipeg, dans le Canada anglophone, il est le directeur exécutif de l’association inter-culturelle Afro-aborigène de Winnipeg et impliqué dans de nombreuses organisations et comités de la ville.

Ndyat est accusé d’avoir violé une femme de son entourage dans son appartement en mars 2008. Il aurait versé de la drogue dans le verre de la victime avant de la violer.

S’exprimant en français pendant son procès, Ndyat prétend que c’est la femme qui l’a forcé à avoir une relation sexuelle avec lui. Il n’aurait pas pu refuser car « les femmes sont révérées dans sa culture et il ne savait pas comment réagir à ses avances ». [1]

Ndyat a affirmé sous serment qu’il avait résisté seulement lorsque la femme aurait retiré le préservatif et tenté d’avoir une relation anale avec lui.

« J’ai trouvé ça dégoutant. Je l’ai repoussée et couru vers la salle de bain pour me laver » affirme-t-il. « Dans ma culture, c’est taboo ».

Ndyat se serait ensuite inquiété en ne retrouvant plus le préservatif usagé et s’est alors souvenu que la femme lui avait confié son désir d’enfants métis.

« J’ai pensé qu’elle voulait le sperme d’un noir car elle avait mentionné auparavant qu’elle aimerait avoir des enfants métis. Elle m’a utilisé comme un donneur de sperme. » aurait-il déclaré en 2008 à la police.

Confronté à la question de savoir s’il pensait qu’une femme puisse tomber enceinte par une relation anale, l’homme aurait répondu « Je ne suis pas dans la profession médicale ».

« Sa version des faits est une insulte à notre intelligence et défie le sens commun » a déclaré le procureur. « Son témoignage ne fait aucun sens ».

L’avocat de Ndyat a plaidé la non crédibilité de l’accusation de la jeune femme et demandé l’acquittement de son client.

Hilaire Ndyat avait pourtant pris soin de se construire une image de parfait immigré venu d’Afrique, plusieurs sites internet locaux ayant à ce jour toujours des articles élogieux sur sa personne et son activisme associatif pour « aider d’autres immigrants [africains, ndlr] à s’installer à Winnipeg »

9 commentaires concernant l'article “Viol raciste : la victime voulait voler le sperme du violeur”

  1. Quand je vois toutes ces PAN dans la rue et dans le métro j’arrive même pas à penser que le mec à tour inventé, même en me forçant. On vit une époque de décadence incroyable…

  2. Ça me parait crédible, si ce n’est que le sujet est effectivement nul en biologie.
    Le sperme de noir est chose rare et le métissage est gage d’employabilité pour la progéniture. Dès lors, toutes les méthodes sont envisageables pour avoir un enfant métis, d’autant plus qu’ils sont plus vigoureux comme nous l’apprennent les juifs.

    Bon, je vais manger mes vigoureuses bananes des ile métisses.

  3. Comme dit UERSS, toutes ces PAN sont à gerber…

    Encore hier, j’en vois une blonde avec son […] made in Togo tout fier qui marche à coté, droit comme un i, la tete haute…. BEUUURK!

  4. Avec la marée noire africaine, c’est sur, l’Europe va accroitre son QI… 🙁

  5. la victime l’a forcé par sodomie accusant la jeune femme d’avoir voulu voler son sperme pour avoir un enfant métis.

    un enfant métis […] !!!! c’était donc ça leur secret de couleur !!!!! diantre …..Euréka on a trouvé

    une femme qui force un homme à la sodomie !!!!! Coluche disait  » violer c’est quand on ne veut pas mais moi je voulais  »

    repasse dans quelques siècles pour l’intelligence

    [[Modération : pas trop de vulgarité dans vos commentaires svp]]

  6. pffffff peine de mort et basta .Quand à son comité de soutien « expulsion » immédiate (du pays) et on les frappes d « indignité nationale » (déchu de leur nationalité).

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