Syrie : trahison du président du Conseil des ministres

Alors que la presse aux ordres nous rabache les oreilles qu’un coup dur a été porté à l’état syrien avec la défection Riad Hijab, le Réseau Voltaire livre une analyse sensiblement différente.

Se sentant démasqué, le président du Conseil des ministres syriens, Riad Hijab, a été exfiltré par l’OTAN vers le Liban, dimanche 5 août 2012.

L’agence de presse nationale syrienne (SANA) n’a pas rendu compte de l’événement, se contentant de signaler qu’il avait été « démis de ses fonctions ».

La Syrie étant un régime présidentiel (comme les États-Unis), les ministres sont nommés directement par le président de la République et cette vacance n’a pas d’incidence sur le reste du gouvernement. Le président Bachar el-Assad a demandé à l’un des quatre vice-présidents du Conseil, Omar Ghalawanji, d’exercer les fonctions de président du Conseil des ministres.

Le chef de l’Armée syrienne libre a annoncé que M. Hijab avait fait défection avec d’autres ministres. La télévision syrienne a montré des images panoramiques de la réunion du Conseil des ministres sous la présidence d’Omar Ghalawanji afin que chacun puisse constater que nul ne manque à l’appel. En outre, le ministre des Biens cultuels –dont le nom avait été cité par une agence de presse- a fait une déclaration à la télévision sur un sujet secondaire afin de mettre un terme aux rumeurs de la presse occidentale le concernant.

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50 ans après le 19 mars 1962 !

Communiqué du Renouveau français :
« Dans quelques jours sera fêté – dans un déluge de mensonges – le cinquantième anniversaire du soi-disant « cessez-le-feu » en Algérie.
Le Renouveau français organise à Paris une manifestation « non au 19 mars 1962 » :
rendez-vous le 19 mars 2012 à 19h30, place Valhubert (en face de la gare d’Austerlitz), pour une manifestation aux flambeaux.
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Terroristes antifrançais reçus en grandes pompes

Zohra Driff-Bitat est vice-présidente du sénat algérien. Dans les années 50, terroriste du FLN, elle faisait partie du « réseau bombe » tout comme Djamila Bouhireb, auprès des Yacef Saadi et Ali la Pointe, les tueurs de Français.
C’est par exemple elle qui a posé la bombe au « Milk bar » rue d’Isly à Alger : 3 jeunes femmes tuées et 12 blessés graves dont plusieurs enfants qui mangeaient des glaces.
Le 2 juillet 2011, cette sorcière a été reçue en France en grandes pompes, invitée avec une forte délégation par Claude Domezeil président du groupe d’amitié France-Algérie au Sénat Français ;
Déjeuners avec Bernard Derosier, député du Nord, avec Jean-Marc Sauve, vice-président du Conseil d’état.
Entretiens avec Philippe Richert du ministère de l’Intérieur, Patrick Ollier ministre auprès du Premier ministre, Gérard LArcher, président du Sénat, Michel Vauzelle, président du Conseil régional, Jean-Noël Guérini président du Conseil Général et, enfin, Jean-Claude Gaudin, sénateur-maire de Marseille.
Réception chez Mme Yvette Mathieu préfet des Alpes de Haute-Provence.

Jean Claude Gaudin a été pris à partie par des pieds noirs en colère le 15 août 2011 à Carnoux lors des festivités de l’Assomption. Alors qu’il venait de déposer une gerbe au monument aux Morts, des habitants lui ont vivement reproché d’avoir reçu le 1er juillet en mairie Zohra Drif.
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LIESI : les cas grec et la trahison des chefs d’Etat

La journée de dimanche en Grèce a donné lieu à un immense rassemblement de la population dans le centre d’Athènes. Qui est à l’origine de cette manifestation non-violente ? Les « Indignés », un mouvement alternatif de résistance fédéré sur internet et calqué sur une campagne du même type en Espagne. Selon la police, plus de 50.000 personnes se sont rendues dans la soirée sur la place Syntagma (de la Constitution), juste en face du Parlement, en chantant « Voleurs, voleurs » à l’adresse des députés et du gouvernement.

Ce rassemblement survient le surlendemain d’un accord du Premier ministre Georges Papandréou avec les créanciers du pays pour une rallonge financière en échange d’un contrôle accru sur les dépenses du pays et de nouveaux sacrifices budgétaires.

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