La commission pour lutter contre l’inceste sera présidée par Elisabeth Guigou, proche du pédophile Olivier Duhamel

Dans cette République, tout est à l’envers, y compris quand elle veut bien faire, à moins qu’elle ne veuille que faire semblant de bien faire…

Ainsi, une commission pour lutter contre l’inceste a été créée, et sur le papier, l’objectif est très louable car il s’agit de lutter contre ce fléau. Mais tout de suite, on reste interloqués quand on voit la composition de cette commission, à commencer par sa présidente, Elisabeth Guigou. Cette dernière a fait toute sa carrière dans la République et a atteint le Graal, devenant membre du Siècle en 1990. Parallèlement, puisque tout ce monde se côtoie, elle est devenue amie proche d’Olivier Duhamel, Président dudit Siècle, au point d’être invitée dans sa maison personnelle de Sanary-sur-Mer (Var). Or, ce dernier vient d’être violemment accusé de pédophilie, abusant de son beau fils. Dans une société saine, ces simples faits exigeraient que Guigou démissionne de ses fonctions (comment peut-elle être crédible ?). Mais non, c’est l’inverse qui se passe et elle s’accroche à sa commission, sans doute très lucrative, arguant qu’elle ne savait pas alors qu’elle s’est déjà rendue à titre privé dans la même maison où les méfaits ont eu lieu… D’ailleurs, une remarque : Il paraît très suspect qu’elle ne sût rien alors que manifestement tout le gratin était au courant des agissements du pédophile, y compris les parents de la victime, la mère (suicidée depuis), ainsi que le père, un certain Bernard Kouchner !

Elisabeth Guigou n’est du reste pas la seule dans ce cas, puisque le directeur de Sciences po, Frederic Mion,

a avoué même s’être parjuré, reconnaissant savoir depuis 2018 et non fin 2019 comme il l’avait dit précédemment. Sciences Po, dont Olivier Duhamel avait un rôle éminent Le Monde parle de « sorte de diva depuis plus de 30 ans ». Le mensonge pour couvrir des actes abominables semble être la conduite normale de ces gens là. Mais qu’attendre de Sciences Po, dont Mion est le successeur de Richard Descoings, ce dernier qui avait créé la discrimination positive en faveur des banlieues, c’est à dire au préjudice des Français de souche qui, eux, ont vu leurs frais de scolarité fortement augmenter ? Richard Descoings, mort à 53 ans aux Etats-Unis dans des conditions sordides, le nez plein de coke après avoir une relation sexuelle tarifée avec des hommes ! Evidemment, comme Guigou, Mion refuse toute démission.

Leur société est abjecte, et pour mieux comprendre on écoutera ce document, issu de Figaro, qui explique l’origine du mal.