La délinquance et la criminalité ne cessent d’exploser, partout en France. Nous l’avons vu à Dijon où Tchétchènes et Algériens réglèrent leurs comptes il y a un mois, ou autre exemple, une ville réputée tranquille comme Besançon est aujourd’hui le théâtre de règlements de comptes entre dealers, etc. Une autre façon de s’en convaincre est de faire la recension des principaux actes criminels survenus ces derniers jours dans la ville de Bordeaux, ville également réputée tranquille il y a encore quelques années. Il s’agit d’une liste qui n’est pas exhaustive puisqu’elle ne comprend que les faits remontés par la presse !
—> Un jeune homme blessé d’un coup de couteau dans une rixe Source
—> Un homme d’une trentaine d’années attaqué à la gorge à la machette Source
—> Trois étudiants attaqués à coups de couteau, insultés et intimidés Source
—> Attaque à la machette sur un jeune homme de 17 ans lors d’une transaction entre particuliers Source
—> Coups de feu et main tranchée Source
D’une manière générale, depuis juin, la magazine Valeurs actuelles a recensé 47 blessés, dont 26 par arme blanche !, une carte en ayant même été réalisée !
Femmes et enfants battus au sein du foyer durant le ramadan : +120% ; Rixes et disputes causant des blessures : +400% ; Voies de fait, agressions : +320% ; Vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; Rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; Nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%. Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’Institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3.004 individus. L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes. On se demande pourquoi…
« Cinq personnes ont été mises en examen à Lille (Nord) pour « vols en bande organisée et avec armes » et ont été écrouées dans le cadre de l’enquête sur un gang responsable de quatorze braquages commis contre des bijouteries, des marchands d’or et de fabricants de métaux précieux dans le nord-est de la France, a-t-on appris mardi de sources judiciaire et policière.