Quinze ans de réclusion pour un homosexuel pédophile qui diffusait ses viols sur internet

La cour d’assises de la Gironde a condamné mercredi Cédric Mallaurie, un éducateur socioculturel de 55 ans qui filmait ses viols et les diffusait sur internet, à quinze ans de réclusion criminelle pour les viols aggravés de mineurs âgés alors de 4 à 13 ans.

Une peine conforme au plancher des réquisitions — l’avocat général avait demandé « entre 15 ans et 20 ans d’emprisonnement — et qui a été assortie d’une interdiction à titre définitif d’exercer un métier en contact avec des enfants et d’un suivi socio-judiciaire. Continuer la lecture de « Quinze ans de réclusion pour un homosexuel pédophile qui diffusait ses viols sur internet »

Après l’intox médiatique de France 2, la répression policière de l’Etat ripoublicain?

Bien que le mouvement Dies Irae n’ait jamais eu aucune activité illégale, surfant sur l’émoi qu’a provoqué l’émission de France 2, le procureur de Bordeaux vient d’ouvrir une enquête à leur encontre.

Rappelons qu’aucun des faits exposés dans ce reportage ne sont répréhensibles. Mêmes les propos choquants de « Ludo le lourdeau » ne peuvent être poursuivis. Les lois visant les propos racistes ne concernent que les propos publics. Les propos de ce Ludo sont strictement privés puisqu’ils ne s’adressaient qu’à son interlocuteur. De plus, il ignorait qu’il était filmé.

On se demande ce que le procureur va bien pouvoir sortir de son chapeau pour tenter d’incriminer les jeunes gens de Dies Irae ?

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« Les infiltrés »: la réponse de Dies Irae

L’émission « Les Infiltrés » qui a été diffusée mardi 27 avril, remet gravement en cause l’association Dies Irae et son Président Fabrice SORLIN. Une multitude d’accusations diffamatoires ont été portées à ce jour, accusations qui ne proviennent que d’une seule source : l’agence CAPA et France 2.

Au mépris des règles les plus élémentaires, aucun média n’a pris la peine d’interroger DIES IRAE ou son président au sujet de ces graves accusations prenant pour argent comptant les affirmations étayées dans le reportage « les infiltrés ».

Préalablement, il convient également d’indiquer que concernant « l’infiltré », le dénommé Mathieu MAYE, dont nous attendons toujours qu’il justifie de sa qualité de journaliste, la société CAPA a prétendu qu’il était infiltré à compter de 2005. Il n’est pas inintéressant de noter que l’association DIES IRAE n’existe que… depuis 2008.

1- Sur le film en lui-même

Rappelons tout d’abord que […]
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Les Infiltrés : un cas d’école de désinformation

2ème partie
3ème partie
Suite à la diffusion du reportage « A l’extrême-droite du Père » sur France 2, il convient de revenir sur ce cas d’école de la désinformation journalistique. Sous couvert de « connaître la vérité derrière la façade », les commissaires politiques de CAPA ont construit de toutes pièces un « péril néo-nazi » imaginaire. Le but étant de salir encore une fois l’Eglise Catholique tout en stigmatisant la mouvance traditionnelle.

Voici quelques points que nous soumettons aux lecteurs de bonne volonté qui ont visionné ce brûlot pour démontrer que la thèse présentée dans cette émission ne tient pas la route :

– En dix mois d’infiltration, la taupe n’a jamais réussi à extorquer une seule parole provocatrice ni de la part du responsable de Dies Irae, ni de l’Abbé Laguérie, ni du directeur de l’école incriminée.

– Les seuls propos sulfureux de ce reportage viennent de simples militants de DI ou de jeunes élèves de 12 ans. Tous les autres propos (prêtres, profs, responsables DI) ne sont absolument pas choquants… surtout qu’il ne s’agit pas de propos publics mais de discussions privées. Ils ne peuvent être choquants que pour des racailles de journaleux politiquement corrects : Oui, De Gaulle a déserté ! Oui, les SS étaient une troupe d’élite de l’armée allemande ! Aucun historien sérieux ne peut dire le contraire. Continuer la lecture de « Les Infiltrés : un cas d’école de désinformation »

Affaire de Bordeaux, la grosse presse sent-elle le vent tourner ?

A en croire cet article de « 20 Minutes », incroyablement objectif pour un organe du système médiatique, on est en droit de se demander si les journaleux ne sont pas en train de se rendre compte que CAPA et France 2 ont joué avec le feu dans cette affaire.
D’après nos informations, de plus en plus d’observateurs avertis ne sont pas convaincus que le fameux Mathieu Maye soit réellement un journaliste « infiltré » comme le prétend CAPA. Les différentes déclarations inexactes et contradictoires qu’a fourni Laurent Richard, directeur de la rédaction CAPA, ainsi que les déclarations de Mathieu Maye faites au journaliste de Minute, semblent accréditer la thèse que ce monsieur Maye était en réalité un flic infiltré, un « barbouze » et que l’agence CAPA n’a fait que récupérer son « travail » pour ensuite le vendre à France 2.
Les services de l’Etat ripoublicain ont toujours introduits des agents provocateurs dans les mouvements politiques qu’ils voulaient décrédibiliser. Dans le cas de Bordeaux, il semblerait que CAPA ait fait un « deal » avec la police politique de ce régime.
Si cette thèse se confirme, la crédibilité de CAPA, Pujadas et France2 risque d’en prendre un sacré coup : une agence de presse soit-disant indépendante travaillant en collaboration étroite avec des barbouzes, ça fait désordre…

C’est avec attention que nous suivrons les suites judiciaires de cette affaire qui permettront peut-être de mettre en lumière certaines pratiques peu reluisantes de notre régime pseudo démocratique.

Arrêt sur Image parle de nous

Suite à nos articles sur l’affaire de Bordeaux, nous avons eu le grand plaisir d’être cités (et présentés de manière « curieuse ») par le site d’Arrêt sur Image de Schneidermann:

Plusieurs blogs traditionalistes ont aussi mis en cause ce journaliste, comme Contre-Info.com : « Méfiez-vous de ce type. Il se faisait appeler Mathieu Maye quand il a infiltré et filmé pendant plusieurs mois les milieux catholiques et nationaux de Bordeaux, en jouant les provocateurs. Cet agent pervers du système ne doit pas pouvoir réitérer son forfait ! Regardez-le bien et si d’aventure, vous le croisez dans un rassemblement, sachez qu’il y est pour nuire une nouvelle fois. »

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Lynchage médiatique : un site juif accuse Dies Irae de « nazisme » et de « pédophilie »

Suite à l’annonce d’une émission  des «Infiltrés » sur France 2, mettant en cause les catholiques traditionalistes de Bordeaux, le site israélien en langue française « JSS.com » met gravement en cause le mouvement Dies Irae:

Pour cette enquête qui se veut “tranchante”, des journalistes de l’agence CAPA ont infiltrés pendant un an un groupe dit “traditionaliste”, les Dies Irae. Comprendre intégriste. Ce genre de groupe qui forme de petits nazillons et qui apprennent aux mômes le salut nazi pendant que tonton vérifie ce qu’il se passe sous le pantalon.

On reconnait bien là, la haine des fanatiques juifs.

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France 2 s’en prend aux catholiques bordelais de l’IBP et de Dies Irae

Un reportage consacré aux catholiques proches de l’Institut du Bon Pasteur à Bordeaux sera diffusé mardi 27 avril à 22h55 sur France 2.
Ce magazine a pour titre « Les Infiltrés ». Il s’agit en fait d’un magazine produit par Capa Télévision pour le compte de France 2 et animé par David Pujadas.

Daniel Hamiche était invité au pseudo débat, mais vrai lynchage,  qui fera suite à la diffusion de ce reportage malveillant:

Les axiomes de base du reportage sont les suivants : traditionalistes = nazis ; écoles hors contrat = couveuses de fascistes ; prêtres en soutane = aumôniers de la L.V.F. La “reductio ad hitlerum” en quelque sorte…

Ce groupe Dies Irae, tel qu’on s’en fait une idée en visionnant le reportage – mais ce n’est qu’une idée, et c’est celle qu’on veut évidemment mettre dans la tête des téléspectateurs –, est composé d’extrémistes racistes formatés pour tuer les « Arabes » et les « Juifs » au nom de Dieu dans une improbable « croisade » et parce qu’ils sont « traditionalistes ». L’école hors contrat rattachée à la paroisse Saint-Éloi de Bordeaux est une fabrique de jeunes fascistes puisqu’on y entend des jeunes enfants chanter des chants ou proférer des propos antisémites. Cela, je dois l’avouer, m’a mis plutôt mal à l’aise. Quant aux prêtres desservant la paroisse ou attachés à cette école hors contrat, ce sont des “complices” avérés – au pis – ou inconscients – au mieux – de ces “racistes-fascistes-antisémites”.

Lire l’entretien complet de Daniel Hamiche sur Riposte Catholique
Lire l’article des Intransigeants sur cette affaire

Michèle Alliot-Marie : soumission totale à Israël

Lors du dîner du Crif de Bordeaux samedi dernier, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a fait acte de soumission totale au Crif et à l’Etat sioniste.
Pire, elle s’est vantée d’avoir donner des instructions pour criminaliser les opposants à la politique d’Israël.
« Je n’accepte pas que des personnes, responsables associatifs, politiques ou simples citoyens, appellent au boycott de produits au motif qu’ils sont kasher ou qu’ils proviennent d’Israël.
Je souhaite que le parquet fasse preuve de davantage de sévérité à ce sujet.
J’ai donc adressé une circulaire aux parquets généraux, leur demandant d’identifier et de signaler tous les actes de provocation à la discrimination.
J’entends que tous les auteurs d’actes soient poursuivis dès qu’ils auront été identifiés et notamment quand les appels auront été faits sur Internet.
A cet égard, je salue la détermination du parquet dans l’affaire de l’individu qui avait appelé au boycott de produits israéliens par voie d’affichettes dans un centre commercial de Mérignac.
Ses réquisitions ont été suivies dans la condamnation prononcée par le tribunal correctionnel de Bordeaux le 10 février dernier.
L’action du parquet de Bordeaux illustre ma détermination dans la lutte contre l’antisémitisme. »
Pourtant, le boycott, arme non-violente si l’en est, a toujours été présenté par nos médias comme un moyen de pression « démocratique » face à une injustice.
En criminalisant le boycott, la servile Michèle Alliot-Marie, nous supprime encore une liberté. Chaque jour qui passe confirme l’état de dictature dans lequel nous vivons.

1.000 euros d’amende pour avoir appelé au boycott de l’Etat sioniste

Le tribunal correctionnel de Bordeaux a rendu son délibéré mercredi 10 février 2010. Sakina Arnaud, a été reconnue coupable de provocation à la discrimination et à la haine raciale et condamnée à payer une amende de 1000 euros. Le 30 mai 2009, cette assistante maternelle avait été interpellée au magasin Carrefour de Mérignac après avoir collé un sticker sur une bouteille de jus de fruits produite en Israël.
Sur l’autocollant, on pouvait lire « Boycott apartheid Israël » ainsi que les logos de cinq marques israéliennes au-dessus d’un mur stylisé en code-barre avec une tache de sang.
Deux associations sionistes, « Avocat sans frontières » et la « Chambre de commerce France-Israël » s’étaient constituées partie civile et ont obtenu 1 euro symbolique chacune de dommage et intérêt. Le magasin Carrefour avait quant à lui déposé plainte pour dégradation.

Un mois de smic pour un simple autocollant, la république corrompue ne rigole quand il s’agit de défendre les criminels sionistes!

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