Les Infiltrés : un cas d’école de désinformation

2ème partie
3ème partie
Suite à la diffusion du reportage « A l’extrême-droite du Père » sur France 2, il convient de revenir sur ce cas d’école de la désinformation journalistique. Sous couvert de « connaître la vérité derrière la façade », les commissaires politiques de CAPA ont construit de toutes pièces un « péril néo-nazi » imaginaire. Le but étant de salir encore une fois l’Eglise Catholique tout en stigmatisant la mouvance traditionnelle.

Voici quelques points que nous soumettons aux lecteurs de bonne volonté qui ont visionné ce brûlot pour démontrer que la thèse présentée dans cette émission ne tient pas la route :

– En dix mois d’infiltration, la taupe n’a jamais réussi à extorquer une seule parole provocatrice ni de la part du responsable de Dies Irae, ni de l’Abbé Laguérie, ni du directeur de l’école incriminée.

– Les seuls propos sulfureux de ce reportage viennent de simples militants de DI ou de jeunes élèves de 12 ans. Tous les autres propos (prêtres, profs, responsables DI) ne sont absolument pas choquants… surtout qu’il ne s’agit pas de propos publics mais de discussions privées. Ils ne peuvent être choquants que pour des racailles de journaleux politiquement corrects : Oui, De Gaulle a déserté ! Oui, les SS étaient une troupe d’élite de l’armée allemande ! Aucun historien sérieux ne peut dire le contraire. Continuer la lecture de « Les Infiltrés : un cas d’école de désinformation »

Affaire de Bordeaux, la grosse presse sent-elle le vent tourner ?

A en croire cet article de « 20 Minutes », incroyablement objectif pour un organe du système médiatique, on est en droit de se demander si les journaleux ne sont pas en train de se rendre compte que CAPA et France 2 ont joué avec le feu dans cette affaire.
D’après nos informations, de plus en plus d’observateurs avertis ne sont pas convaincus que le fameux Mathieu Maye soit réellement un journaliste « infiltré » comme le prétend CAPA. Les différentes déclarations inexactes et contradictoires qu’a fourni Laurent Richard, directeur de la rédaction CAPA, ainsi que les déclarations de Mathieu Maye faites au journaliste de Minute, semblent accréditer la thèse que ce monsieur Maye était en réalité un flic infiltré, un « barbouze » et que l’agence CAPA n’a fait que récupérer son « travail » pour ensuite le vendre à France 2.
Les services de l’Etat ripoublicain ont toujours introduits des agents provocateurs dans les mouvements politiques qu’ils voulaient décrédibiliser. Dans le cas de Bordeaux, il semblerait que CAPA ait fait un « deal » avec la police politique de ce régime.
Si cette thèse se confirme, la crédibilité de CAPA, Pujadas et France2 risque d’en prendre un sacré coup : une agence de presse soit-disant indépendante travaillant en collaboration étroite avec des barbouzes, ça fait désordre…

C’est avec attention que nous suivrons les suites judiciaires de cette affaire qui permettront peut-être de mettre en lumière certaines pratiques peu reluisantes de notre régime pseudo démocratique.

Arrêt sur Image parle de nous

Suite à nos articles sur l’affaire de Bordeaux, nous avons eu le grand plaisir d’être cités (et présentés de manière « curieuse ») par le site d’Arrêt sur Image de Schneidermann:

Plusieurs blogs traditionalistes ont aussi mis en cause ce journaliste, comme Contre-Info.com : « Méfiez-vous de ce type. Il se faisait appeler Mathieu Maye quand il a infiltré et filmé pendant plusieurs mois les milieux catholiques et nationaux de Bordeaux, en jouant les provocateurs. Cet agent pervers du système ne doit pas pouvoir réitérer son forfait ! Regardez-le bien et si d’aventure, vous le croisez dans un rassemblement, sachez qu’il y est pour nuire une nouvelle fois. »

Source

Voici la taupe qui a infiltré la communauté tradi de Bordeaux

Méfiez-vous de ce type. Il se faisait appeler Mathieu Maye quand il a infiltré et filmé pendant plusieurs mois les milieux catholiques et nationaux de Bordeaux, en jouant les provocateurs.

Cet agent pervers du système ne doit pas pouvoir réitérer son forfait !

Regardez-le bien et si d’aventure, vous le croisez dans un rassemblement, sachez qu’il y est pour nuire une nouvelle fois.

Source