Propos politiquement incorrects : Facebook donnera désormais à la « justice » française les adresses IP des utilisateurs

A gauche, le ministre antifrançais Cédric O

Le secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O (oui, c’est son nom : cet apparatchik socialiste puis macronien est métis asiatique), est très content.
Il est content car le géant Facebook, manifestement acculé par des pressions dont nous ne connaitrons pas le détail sonnant et trébuchant, a annoncé qu’il allait collaborer avec la « justice » rouge française et lui fournir tel un bon petit soldat les adresses IP des « auteurs de propos haineux ».

Cédric O est vraiment content car cette décision ahurissante est, croit-il bon de préciser, spécifique à la France. Magnifique ! Comprenez : il n’y a que la République française qui, parmi les démocraties occidentales, soit désormais suffisamment liberticide et hostile à la liberté d’expression pour avoir osé exercer pareille pression.

Évidemment le mot flou « haineux » sert à qualifier (et donc à criminaliser) les propos (et bientôt les pensées) qui ne collent pas avec l’idéologie gauchiste et cosmopolite qui domine actuellement le monde médiatico-politique.
Si vous exprimez votre scepticisme vis-à-vis des joies du remplacement de population en Occident, de la criminalité étrangère, de la propagande LGBT vers les enfants, de l’islamisation, etc. : soyez prudents dans le choix des mots !
Autrement, le Régime cosmopolite cherchera à vous pourrir la vie.

Il est temps de se révolter, non ?

PS : ceux qui veulent rester anonymes sur internet peuvent se doter d’un VPN (Virtual Private Network – réseau privé virtuel), qui masque votre IP. Assurez-vous que le VPN que vous choisissez ne soit pas situé dans l’UE et qu’il pratique une politique « no logs ».
« No logs » signifie que le VPN ne conserve pas vos données de connexion et qu’il est donc incapable de répondre positivement aux demandes de la police politique. NordVPN est un tel VPN par exemple.