Le général Dominique Delawarde est mort ce dimanche 11 mai 2025, à l’âge de 76 ans, soudainement (un AVC peut-être?)
« Il était l’un des 61 généraux à la retraite signataire d’une tribune controversée publiée en avril 2021 dans le magazine Valeurs actuelles . ll y interpellait le gouvernement et les parlementaires sur les dangers du «
délitement du pays», lié àl’islamisme,aux hordes de banlieueet la haine quiprend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Il avait par ailleurs été accusé d’avoir prononcé des propos antisémites en 2021 sur la chaîne CNews [voir ici].
Ex-élève du Prytanée de la Flèche, ancien Saint-Cyrien et à la retraite depuis le milieu des années 2010, le général Delawarde avait fait l’essentiel de sa carrière dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère. […] » (source)
Ces dernières années, le général Delawarde donnait volontiers des entretiens à des médias dissidents ; il partageait d’ailleurs avec eux un engagement en faveur de la Russie de Vladimir Poutine. Il avait aussi dénoncé à plusieurs reprises la gestion de la crise du Covid.
Repostons le passage médiatique qui l’a rendu célèbre et lui a valu la haine des médias et la vindicte du Parquet (qui n’a pas le temps de s’occuper de nombreux vrais problèmes). Il est indéniable que ce général avait, quoiqu’on pense du fond de la polémique, un véritable courage social (ce qui n’est pas fréquent chez les hauts gradés), il était franc, avec un regard honnête :
Repose en paix, mon général… #Delawarde #Qui pic.twitter.com/LTvDtcJt7i
— ∴ Le Crapouillot (@ElCrapouillot) May 13, 2025
Et revoici le commentaire que nous écrivions à l’époque (2021) :
Le général Delawarde, l’un des signataires de la fameuse « tribune des généraux », était invité dans l’émission « Morandini Live ».
Il est pris à partie par un certain Claude Posternak, « historien », « économiste », « publicitaire » (oui, tout ça et sûrement d’autres titres encore!), et surtout militant communautariste juif (comme le montre son compte twitter, obsessionnel), qui semble atteint de frénésie, sinon d’hystérie.
Celui-ci exige – avec le renfort des autres intervenants – que l’invité dise qui est, selon lui, « derrière la meute médiatique ». Bref, qui dominerait les médias.
Ces gens intiment à leur invité l’ordre de répondre.
Et, une fois qu’ils ont la réponse, la réponse qu’ils espéraient (le général dit sobrement « la communauté que vous connaissez bien »), c’est la crise de nerfs sur le plateau.
L’animateur interrompt brutalement l’entretien.
Ce général a répondu avec franchise, et courage (ou naïveté, ou inconscience, c’est selon). Comme le font les gens normaux, entre eux, au bistrot ou ailleurs.
Mais dans les médias, c’est autre chose.
On notera la perfidie, la méchanceté, l’hypocrisie de ces intervieweurs-procureurs.
Bon courage à ce général, qui va avoir des soucis, au « pays des droits de l’homme » et de « la liberté d’expression » (humour).
Quant à la question posée, nous nous garderons d’y réfléchir nous-même.
Personne ne domine rien, dans aucun domaine. Voilà.
Ah, si, les salauds de Blancs.