Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.
La Transfiguration du Christ, sur le mont Thabor.
« Le contraste est grand entre la gloire du Christ au Thabor et l’anéantissement de son agonie et sa passion ; mais c’est le mystère même de la rédemption qui veut que le Christ porte le châtiment de nos péchés, connaisse la souffrance et la mort pour nous entraîner dans sa résurrection. Nous-même, avant de suivre le Christ dans sa gloire, nous avons à subir l’épreuve de cette vie ; dans des conditions de faiblesse qui demandent le constant secours de la grâce (Coll.), nous devons garder nos corps et nos âmes dans la pratique d’une vie sainte, susceptible de plaire à Dieu (Ep; post-comm.). »
Chaque année, une poignée d’églises, laissées à l’abandon, doivent être détruites. Mais d’ici 2030, 2.500 à 5.000 églises seront menacées d’être démolies ou vendues.
« La grue s’approche lentement de l’église. En quelques minutes, dans un silence assourdissant, le clocher du Genest-Saint-Isle (Mayenne) est désolidarisé de la structure. Pierre après pierre, l’église Saint-Sulpice, bâtie au XIXe siècle, se retrouve réduite en gravats. Désormais, les cloches ne sonneront plus dans ce petit village de Mayenne… Non loin de là, à La Baconnière, une autre église pourrait bientôt connaitre le même triste sort.
« À chaque fois qu’une église s’efface, c’est un fragment d’âme de la France qui s’évanouit. » Dans une indifférence médiatique totale, la lettre ouverte d’une centaine de parlementaires de droite résonne comme un avertissement. Alors qu’au Moyen Âge, les bâtisseurs détruisaient les édifices religieux pour en construire de plus beaux et de plus grands, désormais, en France, des églises sont démolies pour ne jamais être remplacées… Petit à petit, influencés par la cancel culture, certains élus, souvent encouragés par des associations et collectifs, laissent s’effacer toute trace de notre passé chrétien qu’ils ignorent ou honnissent tant.
« Le mois de Mars 1962 est le mois maudit de ces 8 années de terrorisme
Il sonne le glas de l’Algérie Française ; que pouvions nous encore espérer après ces sinistres pseudo-accords déviants qui ouvraient de façon irrémédiable la voie à l’abandon de cette terre Française entièrement façonnée par un peuple composé de multiples nationalités venues pour en embrasser une seule : Française ; ce peuple qui face aux difficultés gigantesques, à force de persévérance, de sacrifices parvenait à sortir ce pays de l’époque moyenâgeuse pour en faire la figure de proue de l’Afrique, mais aussi le fleuron de la France.
Il débute dans l’horreur, l’ignominie et va être le reflet de ce qu’est le FLN, cette organisation terroriste à qui l’Etat Français va faire cadeau d’un pays où il ne poussait que des cailloux et à qui l’on va remettre sur un plateau un territoire digne d’un Eldorado.
En janvier 1794, le général Turreau, responsable des « colonnes infernales », écrivait à la Convention nationale (c’était donc officiel) : « il faut prendre de grandes mesures, il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière national. »
Le , tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux républicains Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne.
Mais sur le chemin, ils sont attaqués et mis en fuite par les troupes royalistes et catholiques de Charette.
Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, doit se retirer.
Martincourt, un lieutenant de Cordellier, s’en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers le village des Lucs (alors divisé en deux paroisses : le Grand-Luc avec deux mille habitants et le Petit-Luc, avec une centaine d’habitants) avec l’intention d’y exercer des représailles.
Face à l’arrivée des colonnes, une partie de la population court se réfugier dans la chapelle du Petit-Luc alors qu’une autre partie a déjà été massacrée.
Les villageois ne sont guère en mesure de se défendre : la population présente compte principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans.
L’abbé Voyneau, curé du Petit-Luc, se présente alors aux soldats sur le chemin de la Malnaye : ceux-ci se saisissent de lui, le torturent et l’éventrent.
Martincourt, le chef des Républicains, décide de ne pas faire de quartier. La chapelle étant trop petite pour contenir toute la population, les soldats ouvrent le feu sur les personnes à l’extérieur, puis afin d’économiser les cartouches, lancent une charge à la baïonnette massacrant et achevant les blessés. Les survivants se barricadent à l’intérieur de la chapelle, les Républicains incendient alors l’église.
Un soldat républicain, nommé Chapelain, écrit dans une lettre :
« Aujourd’hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement. »
On retrouvera plus tard un document du curé du Grand Luc : « Lesquels noms ci-dessus — au nombre de 564 — des personnes massacrées en divers lieux de la paroisse du Grand-Luc, m’ont été référés par les parents échappés au massacre, pour être inscrits sur le présent registre, autant qu’il a été possible de les recueillir dans un temps de la persécution la plus atroce, les corps morts ayant été plus d’un mois sans être inhumés dans les champs de chaque village du Luc : ce que j’atteste comme trop véritable, après avoir été témoin oculaire de ces horreurs et exposé plusieurs fois à en être aussi la victime. Au Luc, ce 30 mars 1794. C. Barbedette, curé du Luc. »
Les noms des 109 enfants des Lucs-sur-Boulogne de moins de 7 ans, massacrés par les troupes républicaines, le 28 février 1794 :
Fabien Bouglé, spécialiste des politiques énergétiques (et auteur de deux bons livres sur ces questions), revient sur le scandale de la mise à mort d’EDF (aux frais du contribuable) :
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.
« La scène de la tentation, qui ouvre la vie publique de Jésus, proclame d’une manière saisissante, dans les évangiles, le renversement de situation qu’il va introduire dans le monde par son œuvre de rédemption. Là où Adam avait succombé, le Christ, nouveau chef de l’humanité, triomphe à jamais du pouvoir de Satan : à l’heure de la passion, le « prince de ce monde » sera jeté dehors. Placé en tête du Carême, au premier dimanche, l’évangile de la tentation proclame d’avance la victoire du Christ, qui doit être notre victoire. La liturgie du Carême est commandée par cette pensée ; elle est tout entière une liturgie de confiance. Le psaume 90, qui est par excellence le psaume de la confiance, fournit le trait et tous les chants de la messe, comme il fournira tous les versets de l’office jusqu’au temps de la passion. »
Dom G. Lefebvre
INTRODUCTION sur les dimanches de Carême
PUIS COMMENTAIRE sur ce 1er dimanche
par DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :
• 1796: Nicolas Stofflet, l’un des principaux chefs militaires vendéens, est fusillé par les républicains.
Avant de mourir, il donne sa montre à un soldat du peloton d’exécution, d’origine lorraine comme lui. Les républicains lui coupèrent la tête afin de l’exhiber dans la ville d’Angers…
• 1916 : les Allemands pénètrent dans le fort de Douaumont, pratiquement désert, considéré par l’état-major comme « impropre au combat » en 1915. Les Allemands réarment aussitôt le fort, la ligne de front se stabilisant aux alentours. Sa reprise par les Français coûtera près de 100 000 hommes. L’ossuaire de Douaumont, surmonté d’un feu perpétuel, renferme les restes de 300 000 combattants.
• ce même jour, le général de Castelnau, qui a reçu les pleins pouvoirs du général Joffre, confie au général Pétain le commandement de la région fortifiée de Verdun et des forces arrivant sur les deux rives. Il a une liberté complète de mouvement, et autant que possible, tous les moyens qu’il demandera.
• 1919:
à Tchita (Transbaïkalie), en présence d’un officier japonais, conférence, jusqu’au 28, entre Sémenov, le « baron fou » Ungern et des nationalistes mongols en vue de la création de la Grande Mongolie, du lac Baïkal au Tibet. Continuer la lecture de « C’était un 25 février… »
En ce mercredi des Cendres, l’équipe de Contre-Info souhaite à tous ses lecteurs catholiques un bon carême, dont vous entendrez peu parler dans les gros médias.
Le mercredi des Cendres marque le début du carême : 40 jours de jeûne et de pénitence (suivant l’exemple du Christ qui les vécut dans le désert) qui précèdent les fêtes de Pâques, point culminant de l’année liturgique.
Les catholiques se font « imposer les cendres » (c’est-à-dire marquer d’une croix sur le front), elles-mêmes produites à partir des rameaux bénis l’année précédente, ce qui évoque symboliquement la mort qui nous attend tous :
« souviens-toi, ô homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».
Pour des livres permettant de vivre au mieux cette période, voir ici.
« En 1805, par le traité de Presbourg, consécutif aux défaites d’Ulm et d’Austerlitz, l’Autriche fut contrainte de céder le Tyrol au jeune royaume de Bavière, totalement soumis à la tyrannie napoléonienne.
Les anciens droits des Tyroliens furent alors annulés par les Bavarois, qui exigeaient – entre autres – que les jeunes gens effectuent un service militaire de six ans dans les armées de celui auquel on n’a pas sans raison donné le surnom d’ «ogre corse». Les coutumes des Tyroliens et leurs pratiques religieuses étaient menacées : en particulier les pèlerinages, les processions et les manifestations extérieures de la foi furent interdits.
Le mécontentement de cette population si fortement ancrée dans la religion catholique et si attachée à la Maison de Habsbourg alla croissant et entraina en 1809 un mouvement de résistance armée, comparable à celui qui avait soulevé les provinces de l’ouest de la France en 1793. La figure centrale en fut un habitant de la vallée du Passeiertal, au Tyrol du Sud, Andreas Hofer.
De Diane Montagna, dans le journal catholique américain The Remnant :
« CITE DU VATICAN, 18 février 2023-L
e Remnant a appris qu’un document du Vatican est actuellement en cours d’examen par le pape François qui élargirait et renforcerait son Motu proprio Traditionis Custodes de 2021, affirmerait que la seule liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo [messe moderne, dite « de Paul VI » – NDCI], et réglementerait strictement les communautés ex-Ecclesia Dei.
Le Carême commençant signalons l’existence de quelques livres, utiles pour vivre au mieux cette période et progresser à cette occasion, et qu’on peut trouver dans la rubrique Carême / Pâques de la Librairie française (cliquer ici).
Signalons notamment le fascicule intitulé le Carême pour les jeunes, de l’abbé Boubée : une très bonne idée, à petit prix.
Ou encore l’excellent petit livre signé de l’abbé Troadec, Le Carême au jour le jour : il propose des « lectures et méditations quotidiennes pour prier seul ou en famille » durant cette période, afin de mieux « monter vers Pâques ».
D’un format et d’une présentation très pratiques, c’est un précieux soutien pour vivre chrétiennement cette période de 40 jours qui mène à Pâques.
Cyrille Dounot, docteur en droit et licencié en droit canonique, est interrogé par L’Homme Nouveau sur le scandale des affaires Philippe et Vanier. Extrait :
« La révélation de l’affaire qui entoure Jean Vanier et les frères Philippe consterne d’autant plus que tout était resté secret. Est-ce normal qu’un scandale comme celui-ci soit resté caché si longtemps ?
Contrairement à ce que l’on peut entendre à droite ou à gauche, tout n’était pas caché, tant s’en faut. Ce qui était caché au public était la motivation de la condamnation, chose conforme au droit canonique alors en vigueur, exposé dans le Code de droit canonique de 1917, prévoyant d’une part que les juges apportent chacun leur conclusion, qui « sont jointes aux actes de la cause et gardées secrètes » (can. 1871, §2), car ils peuvent changer d’avis avant de se prononcer collégialement, et d’autre part, que la sentence soit motivée (can. 1874, §4), mais cette sentence n’est pas forcément publique au sens où nous l’entendons aujourd’hui.
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.
« « Voici que nous montons à Jérusalem et que s’accomplira tout ce qui a été écrit par les prophètes au sujet du Fils de l’Homme » : c’est déjà l’annonce de la passion et de la résurrection, avec la guérison de l’aveugle-né, figure du salut de l’humanité (Év.). L’hymne enthousiaste de S. Paul à la Charité (Ép.) contribue à souligner dans la messe de ce dimanche toute la transformation surnaturelle que la rédemption du Christ doit opérer dans nos âmes, après les avoir arrachées aux ténèbres du péché. Dans beaucoup d’églises, pendant ces trois jours qui précèdent le Carême, on organise des prières publiques, avec exposition du Saint Sacrement, pour protester devant Dieu contre les excès auxquels on s’adonne à l’occasion du carnaval. »
« L’enseigne de chaussures aux 600 salariés, San Marina, actuellement en redressement judiciaire, fermera définitivement ses magasins samedi prochain.
Les boutiques de San Marina, actuellement en redressement judiciaire, fermeront définitivement samedi prochain. L’enseigne de chaussures aux 600 salariés est en redressement judiciaire.
Selon 20 Minutes, San Marina a annoncé la nouvelle à ses salariés lors d’une séance du comité social et économique (CSE) de l’entreprise. Depuis septembre, San Marina fait l’objet d’une procédure judiciaire de redressement ouverte par le tribunal de commerce. La fin de l’observation, obligeant une décision, est fixée au 22 mars 2023.
Depuis plusieurs mois, des enseignes iconiques du secteur (Kookaï, Cop.Copine, Pimkie…) sont dans la tourmente, avec parfois des liquidations judiciaires à la clef, comme pour Camaïeu. » (source)
L’une des principales causes de cette série noire pour ces enseignes, vous ne la verrez pas, ou presque, dans les grands médias.
C’est tout simplement que suite à la politique de haine anti-automobiliste des différentes autorités locales gaucho-escrologistes (dont Paris est l’archétype), il n’est plus possible de circuler sereinement et encore moins de se garer dans les centres-villes, là où se trouvent ces magasins.
C’est donc une part importante de la clientèle qui a dû renoncer à faire ses achats en centre-ville, au profit d’internet ou des centres commerciaux, dotés de parking.
De nombreux autres commerces souffrent de cet état de fait et périclitent petit à petit.
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