Sylvain Saadoun, l’enseignant juif mythomane pourra continuer à enseigner

Sylvain SaadounHier, était jugé ce professeur de Marseille qui avait affirmé avoir été attaqué par deux jeunes se réclamant de Daech. Il a été établi qu’il avait inventé cette agression dans l’espoir de retenir son épouse qui souhaitait une séparation.

Mais la justice républicaine a fait preuve de mansuétude pour ce fils d’Israël : sa condamnation à six mois d’emprisonnement avec sursis ne sera toutefois pas inscrite sur le volet n°2 son casier judiciaire, pour lui permettre de continuer à enseigner.(sic)

Source

Un otage de l’Hyper Cacher a essayé d’escroquer des éditeurs parisiens et fuir en Israel

« J’ai vraiment été très con et je me suis fait chopé (sic), j’ai vraiment honte… » C’est ainsi, selon Le Point, qu’a réagi Patrick T, ami de « Jo » -ce dernier étant ex-otage de l’hyper Cacher de Vincennes-, après l’échec de sa tentative d’escroquerie d’éditeurs.

Tout a commencé quelques semaines après les attentats de janvier 2015. Patrick T., qui se fait passer pour un communicant, démarche les éditeurs avec son ami Jo qui aimerait faire publier son témoignage de la journée du 9 janvier. L’accueil est chaleureux et les directeurs de collection sont touchés par le récit de l’ex-otage. Les propositions d’à-valoir affluent : 20 000 euros ici, 30 000 là, 15 000 encore, mais avec un pourcentage plus important sur les ventes. L’intermédiaire, quinquagénaire verbeux, qui pose en lunettes de soleil sur son CV en ligne, insiste pour faire monter les enchères…

Du reste, on notera que les transactions entre BFM et le fonds social juif unifié font accélérer les choses. Il est vrai que ce fonds social a facilement obtenu 60.000 € de la chaîne car, paraît il, celle ci aurait mis en danger les otages… Cependant, officiellement, ce n’est pas l’argent qui motive nos 2 acolytes, et voici ce qu’ils diront, (C’est Jo, l’ex-otage qui parle, bien que le message aurait été écrit par Patrick) : « Je n’en fais pas une question d’argent. J’ai l’intention de redistribuer tous mes droits d’auteur financiers à l’association des victimes de l’Hyper Cacher et à ma synagogue… Pour moi, la meilleure offre financière sera celle qui fera le plus pour la synagogue et l’association des victimes. » Dans le même temps, notre homme, pour faire monter les offres, va jusqu’à falsifier la proposition financière de l’une des maisons avant de la faire suivre à une concurrente, et deux éditeurs ont mordu à l’hameçon.

Hélas, tout a capoté : Ces deux maisons d’édition appartiennent au même groupe, qui a pu se rendre compte de la supercherie. « Quand on a découvert le pot aux roses, explique un directeur de collection, Patrick T. nous a confié qu’il voulait faire signer un maximum de contrats à son auteur, il voulait d’ailleurs qu’on paie les deux tiers à la signature. Leur plan était d’empocher les virements et de fuir en Israël parce que, disait-il, il n’y a pas d’accord d’extradition. »

In fine, le témoignage de Jo sera quand même publié par un petit éditeur. Chutzpah oblige, il ne faut pas croire que notre aigrefin démasqué joue profile bas : Ainsi, nous dit le Point, lors de sa promotion, Jo n’a pas hésité à fustiger les gens malhonnêtes qui tentent de profiter du tragique attentat de l’Hyper Cacher…

Manuel Valls : « sans les Juifs de France, la France ne serait pas la France ! »


Lors de son discours hommage aux attentats de janvier 2015, le premier ministre de France, n’a cessé de complimenter les juifs (en insultant les Français) . L’Espagnol marié à une juive, va jusqu’à déclarer que les israélites sont l’essence même de notre nation.

« Car je l’ai dit avec mes mots, avec mon coeur, avec mes tripes, et je ne cesserai de le répéter parce que c’est une conviction profonde : sans les Juifs de France, la France ne serait pas la France ! » (Source)

Israël : Une vidéo d’extrémistes juifs célébrant la mort d’un bébé palestinien fait scandale

Filmée il y a une dizaine de jours dans un mariage, la vidéo montre des jeunes juifs orthodoxes qui dansent en brandissant des armes à feu et en faisant passer, en la poignardant, une photographie d’Ali Dawabcheh, le bébé tué avec ses parents dans l’incendie de leur maison.

Continuer la lecture de « Israël : Une vidéo d’extrémistes juifs célébrant la mort d’un bébé palestinien fait scandale »

L’appel à boycotter Israël déclaré illégal

Il n’y a plus aucun doute possible : le simple appel à boycotter des produits israéliens est totalement illégal en France. Et sévèrement puni. Deux arrêts de la Cour de cassation du 20 octobre, passés inaperçus en dehors des réseaux militants et des juristes spécialisés, font de la France l’un des rares pays du monde, et la seule démocratie, où l’appel au boycott par un mouvement associatif ou citoyen pour critiquer la politique d’un Etat tiers est interdit.

Concrètement, la Cour de cassation a confirmé la condamnation par la cour d’appel de Colmar de 14 militants du mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS) à 28 000 euros de dommages et intérêts aux parties civiles et chacun à une amende de 1 000 euros avec sursis. Il leur est reproché d’avoir, le 26 septembre  2009 pour les uns et le 22 mai  2010 pour les autres, participé à une manifestation dans un magasin Carrefour à Illzach, près de Mulhouse (Haut-Rhin), «  appelant au boycott des produits en provenance d’Israël  ».

Continuer la lecture de « L’appel à boycotter Israël déclaré illégal »

Suite à la manifestation du Renouveau Français devant le QG de BHL, hystérie sioniste !

Il y a quelques jours de cela, des jeunes Français du RF Paris ont commis l’innommable… Ils ont osé protester contre l’influence catastrophique de l’icône médiatico-politique Bernard-Henri Lévy ! (Voir ici)

Depuis, divers organes et officines extrémistes (UEJF, SOS Racisme…) s’excitent et se laissent aller à des propos délirants.

Par réflexe, ils assimilent automatiquement toute critique de BHL à de l’antisémitisme, comme ce dernier ne s’en prive pas, pour couper court à toute remise en cause de sa politique aux résultats monstrueux (dernièrement en Syrie).

Voici quelques échanges :

Pour Netanyahou « Hitler ne voulait pas exterminer les juifs mais les expulser »…


… Ce serait au contact de l’islam et du grand mufti de Jérusalem qu’il aurait décidé de les « exterminer » !

Afin de rester objectif sur une période de l’histoire, l’universitaire n’oublie jamais ce dicton plein de bon sens : « Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’Histoire ».
Ainsi, depuis 70 ans, les alliés répètent sans relâche que les nationaux-socialistes allemands avaient planifié méthodiquement l’extermination des Juifs d’Europe.
Mais depuis la loi « GayssotFabius » de 1990, la République interdit aux Français, sous peine de lourdes sanctions, de proposer d’autres hypothèses historiques.

Pour le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, il est temps de s’emparer de l’histoire pour justifier sa politique :

Dans un discours prononcé mardi devant le Congrès sioniste à Jérusalem, Netanyahou a fait référence à une rencontre en novembre 1941, en Allemagne, entre Adolf Hitler et le grand mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, haut dirigeant musulman dans la Palestine alors sous mandat britannique. « Hitler, à ce moment-là, ne voulait pas exterminer les juifs mais les expulser. Alors Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et a dit : « Si vous les expulsez, ils viendront tous ici » », en Palestine, a dit Netanyahou. « « Et qu’est-ce que je vais en faire ? », a demandé (Hitler). Il (le mufti) a dit : « Brûlez-les » », a déclaré Netanyahu.

Finalement selon le premier ministre juif, les arabes musulmans seraient à l’origine de la « shoah » !

Israël libère le palestinien Khader Adnane après 1 an de détention arbitraire

Alors qu’il n’était accusé d’aucun crime, Khader Adnane dirigeant du Jihad Islamique Palestinien (mouvement nationaliste de résistance), était détenu depuis un an par l’État juif. En Israël, le régime de la détention administrative permet d’emprisonner sans inculpation pour des périodes de six mois renouvelables indéfiniment.

L’État de Gaza un an après le massacre perpétré par l’armée juive

La bande de Gaza, aujourd’hui, est toujours un champ de ruines. Un an jour pour jour après le début d’une guerre de 50 jours, le blocus israélien empêche l’arrivée des matériaux nécessaires à la reconstruction des 18.000 maisons endommagées ou détruites. 100.000 Gazaouis n’ont pu réintégrer leur logement.