Suite à la manifestation du Renouveau Français devant le QG de BHL, hystérie sioniste !

Il y a quelques jours de cela, des jeunes Français du RF Paris ont commis l’innommable… Ils ont osé protester contre l’influence catastrophique de l’icône médiatico-politique Bernard-Henri Lévy ! (Voir ici)

Depuis, divers organes et officines extrémistes (UEJF, SOS Racisme…) s’excitent et se laissent aller à des propos délirants.

Par réflexe, ils assimilent automatiquement toute critique de BHL à de l’antisémitisme, comme ce dernier ne s’en prive pas, pour couper court à toute remise en cause de sa politique aux résultats monstrueux (dernièrement en Syrie).

Voici quelques échanges :

Pour Netanyahou « Hitler ne voulait pas exterminer les juifs mais les expulser »…


… Ce serait au contact de l’islam et du grand mufti de Jérusalem qu’il aurait décidé de les « exterminer » !

Afin de rester objectif sur une période de l’histoire, l’universitaire n’oublie jamais ce dicton plein de bon sens : « Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’Histoire ».
Ainsi, depuis 70 ans, les alliés répètent sans relâche que les nationaux-socialistes allemands avaient planifié méthodiquement l’extermination des Juifs d’Europe.
Mais depuis la loi « GayssotFabius » de 1990, la République interdit aux Français, sous peine de lourdes sanctions, de proposer d’autres hypothèses historiques.

Pour le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, il est temps de s’emparer de l’histoire pour justifier sa politique :

Dans un discours prononcé mardi devant le Congrès sioniste à Jérusalem, Netanyahou a fait référence à une rencontre en novembre 1941, en Allemagne, entre Adolf Hitler et le grand mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, haut dirigeant musulman dans la Palestine alors sous mandat britannique. « Hitler, à ce moment-là, ne voulait pas exterminer les juifs mais les expulser. Alors Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et a dit : « Si vous les expulsez, ils viendront tous ici » », en Palestine, a dit Netanyahou. « « Et qu’est-ce que je vais en faire ? », a demandé (Hitler). Il (le mufti) a dit : « Brûlez-les » », a déclaré Netanyahu.

Finalement selon le premier ministre juif, les arabes musulmans seraient à l’origine de la « shoah » !

Israël libère le palestinien Khader Adnane après 1 an de détention arbitraire

Alors qu’il n’était accusé d’aucun crime, Khader Adnane dirigeant du Jihad Islamique Palestinien (mouvement nationaliste de résistance), était détenu depuis un an par l’État juif. En Israël, le régime de la détention administrative permet d’emprisonner sans inculpation pour des périodes de six mois renouvelables indéfiniment.

L’État de Gaza un an après le massacre perpétré par l’armée juive

La bande de Gaza, aujourd’hui, est toujours un champ de ruines. Un an jour pour jour après le début d’une guerre de 50 jours, le blocus israélien empêche l’arrivée des matériaux nécessaires à la reconstruction des 18.000 maisons endommagées ou détruites. 100.000 Gazaouis n’ont pu réintégrer leur logement.

Marine Le Pen toujours plus loin dans le sionisme

 

Le parlement juif européen est un groupe de pression composé 120 parlementaires, et dirigé par des oligarques juifs d’Europe de l’Est. Il a pour objectif d’influer sur la politique de l’UE.
Mais que fait Marine Le Pen dans cette réunion ?

Au vu des tensions entre ce parlement juif européen et les autres lobbies juifs  (CRIF, CCLJ etc…) ce n’est pas sûr que la présidente du Front National se soit fait que des amis en allant ramper devant « les maîtres ».

Israël refuse l’aide humanitaire pour Gaza dans l’indifférence générale

La Flottille de la liberté III a échoué. Les deux millions de Gazaouies pris au piège ne recevront pas d’aide humanitaire.
C’est dans une totale indifférence de la communauté internationale qu’Israël a intercepté le “Marianne” et fait rebrousser chemin aux trois autres bateaux. Et c’est dans la prison de Givon à Ramla que les militants de la cause palestinienne du “Marianne” ont été amenés.

L’effondrement de la Syrie vue par Israël : « notre situation dans le nord n’a jamais été aussi bonne »

L’armée arabe syrienne est au bord du gouffre… Elle enregistre des défaites et des pertes catastrophiques. Il se pourrait qu’elle s’effondre totalement d’ici quelques mois. Tout dépend de ce que décideront les occidentaux, Israël et les monarchies sunnites qui entrainent, arment et financent l’avancée des rebelles. En attendant Israël n’a jamais été autant en sécurité comme en témoigne cet article Alyatexpress-News.com :

La forte implication du groupe terroriste chiite (Hezbollah) dans la guerre civile syrienne et l’effondrement de l’armée syrienne en termes stratégiques implique de plus en plus la présence d’Israël sur la frontière nord a déclaré le chef  d’état-major adjoint, le général Yair Golan.

« En fait, l’armée syrienne a cessé d’exister », a déclaré Golan, qui a déjà servi en tant que chef du Commandement du Nord des Forces de défense israéliennes (FDI).

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Israël veut faire condamner les européens qui nient la légitimité de État !

L’État d’Israël qui massacre des civils palestiniens et qui arme et soigne les terroristes en Syrie continue de pleurnicher sur l’antisémitisme. Lors du 5e Forum mondial pour la lutte contre l’antisémitisme (rien que ça), organisé par le gouvernement israélien au Palais des Congrès de Jérusalem du 12 au 14 mai dernier, un plan de lutte a été rédigé à l’adresse des européens.

En voici un extrait :« L’adoption d’une définition juridique formelle de l’antisémitisme. Cette définition inclut les attaques contre la légitimité de l’État d’Israël et la négation de l’Holocauste. Le renforcement de la législation contre l’antisémitisme et la formation de la police à mieux faire respecter les lois existantes. Les ministères de l’Éducation en Europe doivent promouvoir l’éducation à la tolérance religieuse et la préservation de la mémoire de l’Holocauste. »

Bordure protectrice : « L’idée de base était : si vous repérez quelqu’un, tirez (…) Qu’il constitue ou non une menace immédiate n’était pas le sujet »

Leur récit, cru et dérangeant, éclaire d’une lumière froide les coulisses de l’opération «Bordure protectrice». Plus de soixante militaires israéliens déployés l’été dernier dans la bande de Gaza, simples soldats ou officiers, ont raconté «leur» guerre à l’ONG Breaking the silence. Ces témoignages, livrés sous couvert de l’anonymat et publiés lundi matin, retracent les circonstances dans lesquelles un incessant déluge de feu a été projeté par Tsahal contre des quartiers résidentiels, apparemment pour se protéger d’un ennemi insaisissable. Plus de 2200 Palestiniens ainsi que 72 Israéliens ont été tués durant ces 51 jours de guerre. «Les règles d’engagement transmises aux soldats sont les plus permissives jamais portées à notre connaissance», affirment les responsables de Breaking the silence, qui dénoncent «une politique de tirs indiscriminés» et accusent l’armée d’avoir agi en violation de son propre Code d’éthique.

A en croire la majorité des dizaines de conscrits et de réservistes interrogés par l’ONG, la principale consigne diffusée à la veille de l’incursion fut de ne jamais hésiter à ouvrir le feu pour réduire le risque auxquels ils allaient être exposés. La distinction entre civils et combattants, au cœur des règles de droit international en temps de guerre, aurait ainsi été partiellement abolie. «L’idée de base était: si vous repérez quelqu’un, tirez», raconte un sergent-chef de l’infanterie israélienne, qui fut déployé dans le nord de l’enclave. «Qu’il constitue ou non une menace immédiate n’était pas le sujet», ajoute-t-il, avant de préciser: « Si vous tuez quelqu’un à Gaza, ce n’est pas une catastrophe ». Un autre militaire, affecté à une unité de blindés engagée à Deir el-Balah, complète: « Les ordres étaient: Dès que vous voyez quelqu’un autour de vous, disons dans un rayon de zéro à deux-cents mètres, il est mort. On devait partir du principe que tout individu évoluant dans notre zone d’opération ne pouvait pas être un civil. »

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Poutine lève l’interdiction de livrer des missiles S-300 à l’Iran

 Il en fallait pas plus à l’axe américano-sioniste pour s’affoler… En effet ces missiles sol-air pourraient poser quelques problèmes à des  belligérants qui se sont habitués à massivement bombarder des zones avant d’envoyer des troupes au sol.

Le Kremlin est revenu sur l’annulation en 2010 d’un contrat visant à équiper Téhéran de missiles anti-aériens. La décision avait été prise à l’époque dans le cadre des sanctions frappant l’Iran en réponse à son programme nucléaire.

Nouveau revirement à Moscou. Le président Vladimir Poutine a signé ce lundi un décret annulant l’interdiction faite à son pays de fournir à l’Iran les missiles S-300.

En 2010, son prédécesseur Dmitri Medvedev avait interdit la livraison de ces armes antiaériennes, dans le cadre de la résolution 1929 de l’ONU sanctionnant Téhéran pour son programme nucléaire controversé.

La Russie et l’Iran avaient signé un accord d’un montant de 800 millions de dollars en 2007 en vue de la livraison de cet équipement. Après l’interdiction, Téhéran avait saisi la Cour internationale d’arbitrage à Genève (Suisse) pour réclamer à Moscou quatre milliards de dollars à titre de dédommagement.

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Les USA continuent de maintenir Israël sous perfusion

Netanhyahu crache à la figure d’Obama en s’invitant aux États-Unis sans passer par la Maison Blanche mais les contribuables américains vont continuer à se faire racketter pour financer l’État juif. Cet incident diplomatique montre bien qui est le patron. Depuis 1948 les citoyens américains ont donné plus de 234 milliards d’aide à Israël.

La Maison Blanche a démenti lundi envisager une baisse de l’aide américaine à Israël en raison des tensions avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu sur les négociations avec Téhéran sur le nucléaire.

Des médias israéliens ont évoqué une possible réduction de l’aide américaine existante à l’Etat hébreu et des hésitations de Washington sur le financement de programmes tels que le système d’interception de missiles balistiques «Arrow 3».

«Ces informations sont fausses», a déclaré Bernadette Meehan, porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC).

M. Netanhyahu doit s’exprimer mardi devant le Congrès américain, une démarche qui a provoqué la colère de la Maison Blanche d’autant qu’elle a été – fait sans précédent – tenue à l’écart de la préparation de cette visite.

Lundi, devant le congrès du principal lobby pro-israélien américain (Aipac), M. Netanyahu a longuement mis en avant la solidité des liens entre son pays et les Etats-Unis. «L’annonce de la fin de la relation avec les Etats-Unis est non seulement prématurée mais fausse», a-t-il lancé. Source : journaldemontreal.com

Le Congrès américain, une autre Knesset ?

L’Etat d’Israël, Etat particulièrement agressif comme en attestent aussi bien les bombardements des civils palestiniens l’été dernier qui ont fait plusieurs milliers de morts, que plus récemment le bombardement en territoire libanais (et donc à l’encontre total du droit international) de membres du Hezbollah, semble bénéficier d’une impunité totale. Ce n’est pas nouveau puisque certaines résolutions de l’ONU ne sont toujours pas appliquées dans l’indifférence générale concernant ce pays (telle par exemple, la résolution 497 qui remonte à 1981…) et il faudrait alors se poser la question de savoir pourquoi cet Etat est au-dessus des autres. Nous vous livrons le point de vue de Michel Colomès paru dans Le point et qui permet de comprendre :

« C’était lors d’un des nombreux bras de fer du président Carter avec le Premier ministre israélien Menahem Begin, avant que le président des États-Unis ne réussisse à le forcer à signer la paix des braves avec l’égyptien Anouar el-Sadate. Déjà, le lobby juif du Congrès américain avait mis tous les bâtons possibles dans les roues du projet en essayant de faire capoter le rapprochement, arrachant à un ambassadeur de France qui avait servi aux États-Unis, cette exclamation : « Mais ce Congrès, c’est une autre Knesset ! »

La remarque pourrait resservir telle quelle aujourd’hui avec l’invitation surprise à Benyamin Netanyahou, lancée par John Boehner, le leader de la majorité républicaine de la Chambre des représentants, à venir s’exprimer devant les deux chambres réunies. Une invite rendue officielle au lendemain du discours sur l’état de l’Union du président des États-Unis et qui constitue évidemment un camouflet à un Obama manifestement pris de court et publiquement contré sur l’un des points les plus délicats de son allocution : son souhait que les parlementaires américains n’entravent pas, en votant de nouvelles sanctions contre l’Iran, les délicates négociations qui déboucheront peut-être sur des garanties suffisantes de Téhéran d’abandonner ses ambitions de se doter de l’arme nucléaire et sur le retour de ce pays dans le camp des nations fréquentables. (…)

« Si (Obama) espère que nous resterons apathiques et sans rien faire alors qu’il concocte un mauvais accord avec l’Iran, par l’enfer il se trompe » s’est exclamé John Boehner. Et avec le nouveau chef de la majorité du Sénat, le républicain Mitch Mc Connell, il a annoncé que les deux chambres allaient mettre en place de nouvelles sanctions. « Qu’Obama le veuille ou non. » C’est là la confirmation que le Congrès, issu des élections de novembre, s’aligne sur les thèses belliqueuses de Netanyahou – qui viendra sans doute répéter devant les parlementaires américains qu’il faut lui donner les moyens de détruire les centres de recherche iraniens qui travaillent sur le nucléaire.

La date de cette visite à Washington, prévue le 3 mars, a toutefois donné à Obama le prétexte idéal pour ne pas recevoir ce chef d’un gouvernement étranger, qui, au mépris de toutes les règles diplomatiques, accepte l’invitation du Parlement, sans que ni la Maison-Blanche ni le Département d’État aient été avertis. « Comme le veut notre pratique, a dit le porte-parole du Conseil national de sécurité, Bernadette Mechan, nous ne recevons jamais les chefs d’État à proximité d’une élection pour ne pas interférer dans le processus démocratique d’un pays étranger. » Or, les élections israéliennes auront lieu quinze jours plus tard. »

Lire la suite sur Le point.

On notera qu’en France aussi ce lobby juif sioniste est particulièrement puissant puisque le premier ministre se déclare lui-même éternellement lié à Israël (par sa femme), et, autre exemple, ce post que nous avions publié en son temps.