Après le refus du Front national et du FPÖ autrichien de s’allier avec le mouvement nationaliste hongrois au Parlement européen, le président du Jobbik ne mâche pas ses mots.
Dans un entretien au quotidien Magyar Hirlap, Gabor Vona déclare :
« Le Jobbik ne forme pas d’alliance avec les partis sionistes, comme le Front national français et le Parti de la liberté [FPÖ] autrichien, pour de simples raisons financières. »
Alors que le gouvernement américain feint de s’inquiéter de l’avancée des djihadistes de l’EIIL en Irak (entrainés par les services occidentaux), Obama a demandé au Congrès d’autoriser un budget de 500 millions de dollars pour « entraîner et équiper » l’opposition modérée armée en Syrie. Si les mots « opposition modérée » et « armée » sont antagonistes, il n’existe plus en Syrie une opposition modérée. Les hommes qui combattent Bachar el-Assad sont soit des djihadistes, soit des mercenaires.
Lorsque Barack Obama déclare au Congrès : « Ces fonds aideront les Syriens à se défendre, à stabiliser les zones sous contrôle de l’opposition, à faciliter la fourniture de services essentiels, à contrer les menaces terroristes et faciliter les conditions d’un règlement négocié » c’est un mensonge ! Ils entraineront et armeront des djihadistes en Syrie pour combattre le gouvernement et se battre contre l’EEIL en parallèle.
Alors qu’une polémique montait autour de la présence de soldats algériens lors du défilé du 14 juillet, l’Algérie a confirmé qu’aucun de ses soldats ne se rendrait sur les Champs-Élysées tant que …
Depuis deux jours d’importantes manifestations nationalistes ont lieu en Pologne, en protestation face à la corruption du gouvernement.
Ce lundi, entre 1000 et 2000 personnes ont manifesté à Varsovie pour exiger la démission du gouvernement, avant d’être brutalement dispersés par la police. Krzysztof Bosak et Robert Winnicki, dirigeants du mouvement Ruch Narodowy ont été arrêtés.
Quelle est l’étincelle qui a déclenché ces événements ?
Le magazine Wprost a publié ce samedi 14 juin 2014 un enregistrement réalisé dans un restaurant, au sein duquel le dirigeant de la Banque centrale Marek Belka a déclaré au Ministre de l’intérieur Bartlomiej Sienkiewicz en juillet 2013 qu’il aidera le gouvernement à sortir des problèmes financiers, si ce dernier licencie le Ministre des finances de l’époque Jacek Rostowski. Celui-ci a été remplacé quatre mois plus tard. Le Premier ministre Donald Tusk nie le fait que cette décision a été la conséquence de la conversation. La Banque centrale est supposée être indépendante du gouvernement et ce genre de comportement est interdit.
Notons que le Ministre de l’intérieur Bartlomiej Sienkiewicz est en charge des services secrets et n’arrive pas lui-même à se protéger d’enregistrements réalisés à son insu.
Richard Rockefeller (65 ans), fils du milliardaire et haut dirigeant mondialiste David Rockefeller, s’est tué vendredi matin dans l’Etat de New York, quand le petit avion qu’il pilotait s’est écrasé peu après son envol, selon un porte-parole de la famille.
Il était seul à bord. La cause du crash n’a pas encore été établie. L’avion a percuté plusieurs arbres, a manqué de peu une maison habitée, avant de s’écraser au sol et de se disloquer, selon les autorités.
Richard Rockefeller revenait de l’anniversaire de son père, qui fêtait ses 99 ans.
Les sunnites radicaux de l’« Etat islamique en Irak et au Levant » (EEIL), très actifs en Syrie, ont entamé une progression spectaculaire vers Bagdad, prenant plusieurs grandes villes ces jours-ci (comme Mossoul, 2e ville du pays, ou Tikrit, d’où était Saddam Hussein). Ils profitent de la division de l’Irak entre sunnites et chiites (sans parler des Kurdes).
Un prêtre témoigne (dans une lettre visible en fin de cet article) : « La plupart des habitants de la ville ont déjà abandonné leurs maisons et fui dans les villages où ils logent à la belle étoile, sans rien à manger ni à boire. Les groupes islamistes assassinent petits et grands. Les cadavres, d’après les témoins, se comptent par centaines. Ils sont abandonnés dans les rues et dans les maisons sans pitié. Les forces régulières et l’armée ont fui elles aussi la ville, ainsi que le gouverneur Al Nujaifi. Plus de trois mille familles, chrétiennes et musulmanes, ont déjà quitté la ville vers les villages de Tel Keif, Bartella, Qaraqosh et autres. »
C’est maintenant Bagdad même qui est menacée, ainsi que les villes de Kerbala et Najaf – saintes aux yeux des chiites ; ce qui a poussé le grand ayatollah Ali Al-Sistani (autorité suprême des chiites irakiens) à appeler ses ouailles à rejoindre l’armée régulière pour contrer l’avancée des jihadistes.
Notons qu’en s’emparant de la province de Ninive et de sa plaine, les sunnites tiennent à leur merci les catholiques syriaques qui peuplent cette plaine ; la ville de Qaraqosh pourrait tomber. Comment, puisqu’il y a des gardes armés chrétiens?
D’une part ceux-ci sont trop peu nombreux et comptaient sur un premier cordon défensif de Peshmergas kurdes, qui en fait ont laissé passer les sunnites, en raison de calculs stratégiques propres.
Les chrétiens ont donc raté le coche de l’autonomisation de leur défense, en 10 ans.
Par ailleurs, le clergé occidental en charge de l’OEuvre d’Orient, loin d’avoir encouragé la création de milices locales (au contraire), appelle désormais l’armée irakienne à ne pas lancer de contre-offensive et à négocier avec les sunnites. Plus qu’une erreur naïve, c’est une trahison.
Le désordre qui a été installé par les USA et leurs alliés en Irak, en déboulonnant le laïc autoritaire Saddam Hussein, n’a pas fini de s’aggraver et de s’étendre à la région.
On pourrait d’ailleurs se demander si l’embrasement de tout ce coin du globe dans une guerre interminable sunnites/chiites (impliquant donc l’Iran) et – au passage, au détriment des chrétiens – n’entre pas dans les calculs de l’axe USA-Israël.
L’avocat Nikos Kouzilos est le septième député du mouvement nationaliste Aube dorée à être jeté en prison depuis septembre dernier.
En plus d’emprisonner des députés, la dictature se fait désormais remarquer en incarcérant, sans motif valable, des avocats. Le militant nationaliste, âgé de 37 ans, est accusé, après neuf mois d’enquêtes, d’avoir participé à la direction d’une « organisation criminelle », à savoir un mouvement légal dont aucun dirigeant n’a jamais été condamné.
Les juges le soupçonneraient en réalité simplement d’avoir été présent lors d’une manifestation contre un squat d’extrémistes en janvier à Athènes. Un autre député s’est vu imposer un contrôle judiciaire extrêmement sévère : il ne peut plus quitter son domicile sauf pour aller à l’hôpital, ou au parlement.
Trois supporters algériens, debout sur le capot d’une voiture de la police municipale de Sion, pendant que des agents sont occupés à gérer la circulation. La scène, digne des banlieues de Marseille, s’est déroulée samedi soir aux abords du stade valaisan de Tourbillon, après la victoire de l’Algérie contre l’Arménie 3 buts à 1 (match de gala). « Ce n’est pas le comportement le plus intelligent, mais il ne constitue pas une infraction pénale, dès lors qu’il n’y a pas eu de dégât au véhicule » explique le commissaire Bernard Sermier, qui a renoncé à déposer plainte. « De plus, les supporters étant de nationalité étrangère, leur identification serait compliquée. Nous n’allons pas perdre davantage de temps sur cette affaire. »
Le commentaire joint à la photo, massivement échangée sur les réseaux sociaux depuis deux jours, est pourtant sans équivoque : « La Suisse nous appartient. »
Ces dernières années, la carte de la violence du Brésil s’est modifiée. L’essor économique de Bahia, État du nord-est, attire désormais les trafiquants de drogue.
Criblé de quatorze impacts de balles, le corps d’un jeune homme de vingt ans gît dans la rue. Des badauds regardent avec détachement les policiers mettre le cadavre dans un cercueil. L’enquêteur Bruno Ferreira de Oliveira explique que « des hommes l’ont suivi avant de l’abattre ». Un fait bien commun. À Bahia, chaque mois, trois cent cinquante-quatre personnes meurent dans les mêmes circonstances.
Le sud-est, dominé par les mégapoles de Rio de Janeiro et Sao Paulo, est réputé pour son extrême violence, les enlèvements et les fusillades. Mais d’après une étude de José Maria Nobrega, professeur de science politique à l’université fédérale de Campina Grande, le taux de criminalité a baissé de 47 % entre 1999 et 2009. En revanche, le nord-est connait le phénomène inverse.
« Pour certains, il avait restauré la démocratie dans son pays, pour d’autres il avait liquidé sans scrupules l’héritage de Franco. Epuisé par des opérations successives, Juan Carlos de Borbon, 76 ans, a renoncé au trône le 2 juin par la voix de son premier ministre conservateur Mariano Rajoy, et ce au profit de son fils Felipe, jusqu’ici prince des Asturies. Son objectif: sauver la dynastie. C’est vers son cousin, héritier des traditions carlistes et légitimistes espagnoles, le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme que nous nous sommes tournés immédiatement. La réponse fut brève et cinglante: « L’abdication d’un usurpateur qui a renié sa parole donnée sur l’Evangile lors de sa prestation de serment ne m’a jamais ému ni soucié. »
Ce serment, Juan-Carlos l’avait prêté le 21 novembre 1975 devant les Cortes (le Parlement espagnol), le lendemain de la mort du Caudillo et la veille de son couronnement. Il jurait ainsi de respecter les lois fondamentales du 26 juillet 1947, celles d’un Etat autoritaire, nationaliste et catholique dont Franco était le régent et par lesquelles ce dernier avait le libre choix de son successeur, écartant le régent de la Communion carliste traditionaliste, le prince Xavier de Bourbon-Parme, héritier politique des droits de la branche aînée des Bourbons, et l’aîné des héritiers d’Alphonse XIII, Alfonso de Borbon (1936-1989), père de l’actuel prince Luis-Alfonso, chef de la maison de Bourbon. Mais loin de se satisfaire d’un pouvoir absolu – c’est-à-dire indépendant mais non pas sans limites –, dès novembre 1976, Juan-Carlos entame des réformes libérales qui conduiront à des élections parlementaires démocratiques en 1977 et à une Constitution en 1978. Cette évolution du régime espagnol vers la démocratie représentative est dès lors considérée comme une trahison par une bonne partie de l’armée.
Christian Harbulot, directeur de l’Ecole de Guerre Economique et auteur du récent livre « Sabordage – Comment la France détruit sa puissance » (164 p. Ed. Thermos, disponible ici) revient sur les enjeux du traité transatlantique, et sur la nécessité pour les pays européens de « couper le cordon » avec les Etats-Unis.
A l’antenne de TV Libertés, le colonel Hogard (ER), alors en poste au Kosovo pendant le conflit entre l’OTAN et l’UCK contre les Serbes, révèle un crime de guerre de l’armée britannique : des SAS ont attaqué une colonne de réfugiés serbes.
C’est à 21’35, et c’est en écho à son livre L’Europe est morte à Pristina (disponible ici).
Un crime de guerre, méconnu et impuni, par ceux qui se battent et attaquent des peuples au nom des droits de l’homme.
« Le groupe sanguinaire Boko Haram, de mouvance salafiste, qui revendique la création d’un État islamique dans le Nord du Nigeria, serait-il une construction des États-Unis servant à justifier une intervention au Nigeria ? Ainsi, Boko Haram ne serait qu’une répétition du fameux le 11 septembre, qui a permis, en 2001, l’invasion de l’Afghanistan et du puissant Irak de Saddam Hussein.
Alain Chouet, officier du renseignement français, ancien chef de poste de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à Damas, avance dans la publication numérique Mondafrique (certainement avec l’approbation de ses supérieurs, dont celui de Hollande) que « Boko Haram est un monstre utile ». Concernant le chef de Boko Haram, Aboubakar Shekau, Chouet demande s’il est « un fou, un drogué irrationnel, un ancien chef de bande ? Les média l’ont décrit ainsi. Mais je l’ai entendu sur des vidéos faire ses revendications dans un arabe classique parfait. Ce qui est loin d’être commun en Afrique. »
Le groupe armé Boko Haram existe depuis 2002. Mais, aujourd’hui, il ressemble à une armée de milliers d’hommes. Or, un fou drogué et inculte ne peut pas gérer une telle rassemblement.
Avec l’enlèvement, à la mi-avril, de 223 étudiantes, Aboubakar Shekau donne même l’impression qu’il inscrit sa mouvance dans une logique internationale. Cette action terroriste a nécessité une importante organisation et a entraîné un coût économique.
Le propos est passé quasiment inaperçu. Dans son édition du 27 avril 2014, le journal L’Opinion évoquait le vieux conflit israélo-palestinien. Et citait Elie Barnavi, ancien ambassadeur d’Israël en France, expliquant que Barack Obama se trouve « coincé par le Congrès et par le lobby juif » !
L’extrait de l’article :
Selon l’historien Elie Barnavi, ancien ambassadeur d’Israël en France, seuls les Etats-Unis pourraient imposer une solution politique, mais, dit-il, « ils n’ont pas fait le boulot ! Le secrétaire d’Etat John Kerry s’est contenté de se balader entre Ramallah et Jérusalem. Il n’a même pas pu obtenir un accord-cadre… Coincé par le Congrès et le lobby juif, Barack Obama n’a tout simplement pas la force politique pour le faire. »
« Le 18 mai 2014, après sa victoire aux Masters 1000 de Rome, le n° 2 mondial de tennis d’origine serbe, Novak Djokovic, s’est exprimé au sujet des inondations qui ravagent actuellement l’ex-Yougoslavie, ayant provoqué la mort de plus de trente personnes et contraint des dizaines de milliers de personnes à évacuer leur maison : « C’est une catastrophe avec des proportions bibliques, je ne comprends pas que les médias internationaux en parlent si peu. »
Et pour cause ! Le projet Haarp, arme de destruction massive et climatique entre les mains des Illuminati, serait bien, une fois de plus, à l’origine de ces catastrophes.