Hier, mercredi 17 avril, en Seine Saint-Denis, trois journalistes ont été attaqués par ceux que la presse appelle avec pudeur des « jeunes ». Ce sont en fait deux agressions distinctes, en deux points différents de la Seine-Saint Denis, qui se sont déroulées durant la même journée.
La première agression a eu lieu peu avant midi, à Sevran. Un journaliste de la chaîne d’information en continu BFM TV tournait un reportage devant l’école primaire Emile Zola où des enfants s’étaient piqués en jouant avec une seringue la veille : « il a été molesté par un groupe de cinq jeunes« , « a été blessé au visage« , et « sa caméra a été jetée à terre » a précisé la préfecture du département. Le journaliste a été conduit à l’hôpital.
Quant à la deuxième agression, elle eu lieu vers 17 heures, à Pierrefitte-sur-Seine. Ce sont cette fois deux journalistes de M6 qui ont été pris à partie alors qu’ils tournaient un reportage. Ils interviewaient le gérant d’un magasin d’alimentation de la ville, situé proche d’une cité sensible et victime de plusieurs braquages ces derniers mois. L’un des journalistes a reçu des coups sur le visage et souffre d’un hématome à l’oeil gauche.
Deux possibilités : ou bien la violence des banlieues se banalise, et la capacité d’indignation de la population s’estompe avec le temps qui passe. Ou bien s’opère une prise de conscience au sein de la population, et celle-ci prendra les moyens de reconquérir les territoires perdus de la nation. Ou bien on subit et on meurt, on bien on réagit.
Il reste que la deuxième solution suppose que les causes de la violence dans les banlieues ne soient plus ignorées ni occultées. Quand des territoires entiers sont dépourvus d’autochtones et que des bandes ethniques issues de l’immigration y règnent en maître, on ne nous fera pas croire que l’immigration de peuplement et de substitution est un mythe. Et on ne nous fera pas croire qu’elle n’est pas génératrice de violence. Et ce n’est pas en voilant la réalité par des éléments de langage -du type « des jeunes » pour désigner les immigrés- que la réalité elle-même cessera d’exister…
L’Etat d’Israël est connu pour être le refuge international de nombreux criminels en fuite. Mais on aurait pas forcément imaginé, au premier abord, qu’une racaille maghrébine puisse y être attiré.
« Parmi tous les commentaires sur l’évasion de Redoine Faïd (qui s’est échappé de prison ce samedi – NDCI), il y a un fait qu’on ne vous dira probablement pas. Ce gangster multirécidiviste, qui a commis un nombre incalculable de braquages et d’attaques de fourgons blindés, avec tirs à la kalachnikov sur les policiers, a été condamné au début des années 2000 à des peines qui auraient dû le maintenir en détention jusqu’en 2032. Mais il a été libéré en 2009.
Il existe un point commun entre les deux villes du Rhône, Saint-Laurent-de-Mure et Ecully, Veauche, dans la Loire, et Trévoux, dans l’Ain. Depuis la nuit de vendredi à samedi, les quatre distributeurs d’argent de leurs banques respectives ont été attaqués au gaz explosif. Des attaques qui ont entraînés des dégâts matériels importants, témoignant ainsi d’une hausse perceptible de la criminalité.
Un petit coup d’oeil à trois extrémités de notre doux pays, pour observer l’actualité locale.
Une proposition de loi, adoptée par les sénateurs, prévoit d’amnistier les syndicalistes qui s’adonnent à des détournements de fonds, du recel ou même des abus de confiance. « Ce texte pourrait permettre aux élus du CE de la SNCF et d’EDF-GDF actuellement devant la justice pour malversations de s’en tirer sans condamnation« , prévient en effet Pierre-Edouard du Cray, de l’association Sauvegarde Retraites.
Nous évoquions tout à l’heure l’insécurité grandissante dans l’un des quartiers de Lille, et les nouvelles mesures policières mises en place pour y faire face. Hé bien, dans la banlieue lilloise cette fois ci, dans la nuit du vendredi au samedi 23 février dernier, vers 5H00 du matin, les « Barbares »
A Lille, dans le quartier festif de Masséna-Solférino, l’insécurité galopante, la recrudescence des agressions et des vols,
L’agence International Christian Concern a fait parvenir une dépêche, en date du 14 février dernier,
Depuis l’ingérence de la France en Libye, tout va de mal en pis pour les chrétiens qui tentent d’y survivre. A l’aune d’une grille de lecture exclusivement idéologique, et au mépris des règles de la prudence élémentaire qui commandent d’envisager les alternatives possibles à la situation que l’on veut remplacer, ainsi que les conséquences possibles d’un tel bouleversement, la France a bousculé le fragile équilibre géopolitique de la région qui maintenait tout de même le pays en paix. C’est ainsi que la Libye a été abandonnée à des musulmans radicaux qui ont imposé la charia, en échange des ressources naturelles du pays…