
A Grenoble, Adrien était aller son 26e anniversaire avec des amis, dans une boîte de nuit.
« La bande d’amis passe une bonne soirée même si une jeune femme du groupe est importunée par plusieurs individus. Au moment de quitter la boîte de nuit, Adrien voit son meilleur ami être pris à partie par les mêmes hommes sur le parking. Il décide de le rejoindre pour prendre sa défense. « Cela fait partie de son éducation. On ne peut pas rester brinquebalant devant l’agresseur de quelqu’un. Que ce soit son meilleur ami ou un passant. Ce n’est pas possible. Ce serait inhumain de ne pas porter secours », insiste la mère dans le Parisien.
En s’interposant, Adrien perdra la vie. L’un des agresseurs lui porte un coup de couteau en plein cœur. » (source)
Ci-dessous le témoignage de la mère d’Adrien : « Hier c’était les autres, aujourd’hui c’est nous. Et demain qui encore ?
Pas qu’à Grenoble, dans toute ville de France.
Y’en a marre ! »
Tout est bon pour détourner le Français des véritables problèmes de notre pays. La police déjà incapable de stopper les violences liées aux banlieues africanisées, serait désormais en mesure d’appliquer efficacement cette loi ? Cette mesurette ne changera rien au quotidien des femmes agressées dans la rue, mais elle alimentera la propagande du gouvernement en direction de la frange féministe de ses électeurs.
Clémentine Jallais pour 
Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.
Si d’autres grandes villes ont connu une nuit beaucoup plus chaud, Poitiers a tout de même été le théâtre d’incidents dans la nuit de dimanche à lundi. 
Il ne viendrait pas à l’idée de ce centriste bon teint de s’interroger sur les raisons de ces émeutes (raciales ?)… Il préfère visiblement faire passer les contribuables au tiroir-caisse pour réparer les conséquences désastreuses de l’invasion migratoire.
Quatre racailles ont été blessés, dont deux par balles, dans la nuit de jeudi à vendredi à Saint-Denis dans un quartier régulièrement touché par des violences en lien avec le trafic de drogue et des rivalités entre bandes.
Ce jeune, interpellé à Décines avec 9 400 euros en liquide, 40 bonbonnes d’héroïnes et un pain de résine de cannabis, a été relâché à l’issue de sa garde à vue, sans être inquiété par la justice. Son argent lui a même été restitué, selon le Progrès.
