Incroyable : condamnée pour avoir cité la Bible !

Afficher l'image d'origineL’ancien ministre Christine Boutin vient d’être condamnée en appel à 5 000 euros d’amende, après avoir été condamnée en première instance, pour avoir déclaré dans un entretien à la revue Charles en 2014 : « l’homosexualité est une abomination », reprenant le Lévitique !

Me Charles Bernier, l’avocat d’une association communautariste plaignante, fanfaronne : « Le prétexte qui consiste à se cacher derrière un texte religieux pour rejeter l’homosexualité est donc une défense vouée à l’échec, surtout quand on sait que les propos de Mme Boutin n’ont même plus cours au sein de nos temples et de nos églises. »

Ainsi, il faudrait selon ces extrémistes ne même plus « rejeter » ce vice si évidemment contre-nature, qui a toujours été condamné dans notre société !
En toute logique, bientôt l’interdiction de la Bible ?!

Le difficile chemin du politiquement correct tourne au ridicule

Le politiquement correct est mis à toutes les sauces et devient de plus en plus difficile à appliquer à cause de ses contradictions. Ce qui s’est passé sur la chaîne Canal + dans l’émission du Grand journal en est révélateur : Déjà, il faut savoir qu’il y a une nouvelle formule de cette émission avec de nouveaux présentateurs. On aurait pu penser que cela est une bonne chose, tant il est difficile de regretter le méphitique Yann Barthès. Hélas, après la première émission de cette nouvelle monture, il faut revoir son jugement, car elle semble réaliser l’exploit pourtant difficile de faire pire que la précédente… et d’ailleurs, ça en devient cocasse, tant on touche l’absurde.

Ainsi donc, de nouveaux présentateurs sont à la table du Grand journal. Parmi eux, une certaine Béatrice Boréale. Vous ne la connaissez pas, c’est normal, elle n’a aucun talent reconnu. Alors, pourquoi figure-t-elle dans cette nouvelle émission ? Tout simplement parce qu’elle se définit comme « trans » (sic), autrement dit, elle est née homme et se prétend femme. Ca suffit comme qualité pour être chroniqueur au Grand Journal. Pathétique… Histoire de pousser la provocation le plus loin possible, « Dame » Boréale arbore autour du cou une croix chrétienne. Quand on sait que le lobby LGBT ne cesse de fustiger l’Église, sans cesse accusée d’être homophobe ou on ne sait quelle tare à ses yeux, on voit le niveau de provocation et encore une fois, on en est presque à regretter l’ancienne formule, mais passons…

Là où ça devient cocasse, c’est ce qui s’est passé quand Ornella Fleury est intervenue. Cette dernière, normalement, doit parler de météo, mais elle n’a pu s’empêcher de faire des commentaires sur ses acolytes présents sur le plateau. Elle a d’abord vanné le remplaçant de Yann Barthès, un certain Victor Robert, à cause de son manque de notoriété. Puis ce fut le tour de « Dame Boréale » à être chambrée : Elle lui dit : «  Bonsoir monsieur-dame, enfin Brigitte » avant de poursuivre avec une phrase salace que nous ne reproduirons pas, mais qui souligne l’ambiguïté de l’identité sexuelle de ladite dame. Et depuis, on ne rigole plus du tout parmi le lobby LGBT, puisque l’AJL (association des journalistes LGBT) a saisi le CSA pour propos transophobes (sic)… Le communiqué de l’organisation en est presque schizophrène car d’un côté il félicite le Grand Journal pour la présence de Béatrice Boréale « pas en avant dans la visibilité des personnes trans » (sic), mais, dans le même temps, le morigène très sévèrement : « Ces remarques ne sont pas drôles, elles sont injurieuses pour la journaliste Brigitte Boréale et pour toutes les personnes trans. Elles nient le fait que Brigitte Boréale est une femme — sous-entendant qu’elle serait aussi, simultanément, un « monsieur ». » avant de conclure : L’AJL « souhaite que le CSA rappelle fermement à la chaîne Canal+ ses obligations en matière de lutte contre les discriminations et de respect de la dignité de la personne humaine, ainsi que son devoir de maîtrise de l’antenne. »

Plus que jamais, éteignez vos télévisions !

Le vice-président du MoDem arrêté pour s’être masturbé dans un magasin a proximité d’adolescentes

Robert_Rochefort_638_303Haut fonctionnaire et député européen, il a été chroniqueur sur Europe 1 et sur Radio Bleue. Actuellement, il tient une chronique dans le quotidien catholique La Croix et le magazine économique Challenges2. Il intervient régulièrement dans des émissions de débats tels C dans l’air sur France 5 ou On refait le monde sur RTL.

Une preuve supplémentaire du nombre de pervers qui fourmillent dans l’élite républicaine.

Voir l’article de l’Express.

« La joie de l’amour » ? Critique du dernier livre de Béatrice Bourges

Article de Christine DOL, paru dans le numéro 10 de l’excellente revue L’Héritage.
On peut se procurer ce numéro et les autres de cette revue que nous vous recommandons, en cliquant ici.

« Béatrice B, catholique divorcée remariée », Éditions Artège, 220 p., 14,9 €
« Béatrice B, catholique divorcée remariée », Éditions Artège, 220 p., 14,9 €

« À l’occasion de la XIXe assemblée générale ordinaire du synode des évêques sur la famille fin 2015, l’une des figures les plus radicales de la « Manif pour tous » a écrit un livre poignant : Béatrice B, catholique divorcée remariée. Suite à la publication de l’exhortation apostolique Amoris laetitia en avril dernier, cet ouvrage retrouve une réelle actualité. Ici, Béatrice Bourges ne traite pas du « mariage homosexuel », ni du « gender », ni des droits de l’enfant ;  ici, elle se confie en tant que catholique. Elle ouvre son cœur et nous donne un témoignage spirituel étonnant. Elle nous livre, en fait, à travers l’exposition de sa situation matrimoniale et sa relation avec Dieu et l’Église, sa vision de la famille.
Nous ne souhaitons ni remettre en cause la démarche sincère de Béatrice Bourges, ni la juger sur son chemin spirituel, qui ne concerne qu’elle et les siens et qui, souvent, n’est compris que par Dieu. Mais comme elle est un personnage public qui nous fait part de ses pensées, nous sentions la grave nécessité d’expliquer en quoi ce livre est, pour ce qu’il dit et fait croire, très inquiétant ; d’autant plus qu’il est représentatif de la pensée ambiante de beaucoup de chrétiens.

Une démarche spirituelle limitée

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Canada. Lors d’un hommage rendu aux victimes d’Orlando, le premier ministre québécois se fait agresser par un militant LGBT

Nous vivons dans une société où des communautés se sentent en permanence persécutées, pourtant (ou parce que ?) surprotégées par des lois spécifiques. Cela mène parfois à des situations cocasses, telle celle qui s’est déroulée à Montréal.

Ainsi, une veillée était organisée en hommage aux victimes d’Orlando, en présence notamment du premier ministre québécois. Jusqu’ici nous n’aurions rien à dire, tant le terrorisme nous répugne et il est normal de rendre hommage à ses victimes. Mais cet acte terroriste est systématiquement présenté comme homophobe, ce qui est beaucoup plus discutable. Ainsi, selon cette logique, les attentats de Bruxelles seraient avionphobes ou métrophobes et qu’en serait-il de l’attentat, par exemple, du Bataclan ? D’autant que l’auteur des faits, Omar Matten, musulman d’origine afghane, serait lui-même homosexuel.

Quoiqu’il en soit, la communuauté LGBT fait tout pour récupérer à son profit cet événement abominable et exige d’être présente à toute commémoration. Les autorités, ne sachant rien lui refuser, obtempèrent et c’est ainsi que lors de l’hommage de Montréal, un certain Esteban Torres, 20 ans, se définissant lui même comme « trans » eut la parole et ce à la même tribune que le premier ministre. Mais, pour des raisons que nous ignorons, (a-t-il pris ombrage de devoir parler après le premier ministre et pas avant ?), il a agressé celui-ci en lui lançant un objet.

Au bout de l’absurde : un « mariage » posthume célébré entre 2 hommes

Afficher l'image d'origineDeux messieurs, Mark Pace et Bertrand d’At de Saint-Foulc, devaient célébrer leur « union » le 6 juillet 2014.
Le second a cependant perdu la vie avant cette date, suite à une rupture de l’aorte.
Comme Mark Pace le raconte à La Voix du Nord, il a tout de même voulu « épouser » (sic) son ami à titre posthume.
Le mariage (uniquement civil, bien sûr) à titre posthume est une incongruité prévue depuis 1959 par le Code civil, une « procédure exceptionnelle », et possible uniquement sur autorisation de la présidence de la République pour « des motifs graves ».

Que croyez-vous qu’il se soit passé ?
François Hollande a signé les papiers nécessaires, sans qu’on connaisse les « motifs graves »…

Et une cérémonie a eu lieu le 28 mai à la mairie de Marcq-en-Barœul. Mark Pace porte maintenant deux noms.

Le délire idéologique de gauche se poursuit…

Source

Mondialisme et homosexualisme

Le président de la Banque mondiale Jim Yong Kim a indiqué, début mars, lors de la conférence Pride and Prejudice organisée par The Economist, que l’institution ne prêterait plus aux pays qui ne respectent pas « les droits LGBT ».

Par contre, les pays où les enfants sont exploités, pas de problème.

Source Faits & Documents n°412
cliquez ici pour acheter ce numéro consacré
notamment au dîner du CRIF 2016 (participants, discours)

Audrey Azoulay, nouveau ministre de la culture, veut ouvrir le «porno et la violence esthétiques» aux mineurs

azoulayA peine assise sur le trône de la sous-culture, Audrey Azoulay veut imposer la suppression de l’interdiction aux mineurs des films contenant des scènes de « sexe explicite » (sic) ou de très grande violence, au motif de leur « caractère esthétique ». En cela, le nouveau ministre ne fait que reprendre le flambeau de la catastrophique Fleur Pellerin, qui l’a précédée.

La « création artistique » a bon dos : « La lecture du rapport sur la classification des films remis et son accueil par le ministre de la Culture fait éclater au grand jour la volonté explicite du gouvernement de favoriser par la loi l’accès des mineurs à la violence et à la pornographie. Sous couvert de “création artistique”, et tout film se réclamera évidemment de cette création, il sera désormais possible de montrer n’importe quel contenu de sexe explicite aux mineurs », commente André Bonnet, de l’association «Promouvoir». Il s’agit bien là d’une dérive derrière laquelle l’action des lobbies est à peine voilée.

Reprenant le projet des mauvais conseillers de Fleur Pellerin, qui ont apparemment été maintenus dans leurs fonctions, Audrey Azoulay, veut modifier les critères sur lesquels repose l’interdiction des films aux moins de 18 ans : «Audrey Azoulay prétend s’appuyer sur les préconisations faites par Jean-François Mary, président de la commission de classification des  œuvres du Centre national du cinéma (CNC), dans un rapport qui lui avait été demandé par Fleur Pellerin. On prend les mêmes et on recommence, en réalité la ministre ne contrôle rien.

Azoulay s’appuie sur le rapport de Jean-François Mary (président de la commission de classification des  œuvres du Centre national du cinéma, le CNC), qui propose une nouvelle rédaction de l’article du code du cinéma. L’interdiction aux moins de 18 ans reposerait désormais sur la présence dans le film, «sans justification de caractère esthétique», de «scènes de sexe ou de grande violence» pouvant «troubler gravement la sensibilité des mineurs» ou «banaliser» la violence. La formulation est d’une telle hypocrisie, qu’elle révèle le sophisme filandreux de son auteur. Jusqu’où iront les vendeurs d’obscénités pour imposer leurs ordures à nos enfants ?

Source

Un enfant « transsexuel » de 4 ans a l’autorisation de changer de prénom en Espagne

Luken est devenu « Lucia ». Ce petit garçon de 4 ans vient d’être autorisé à changer de prénom par un tribunal en Espagne au motif de sa « dysphorie de genre » constatée par un médecin. C’est la première fois que le tribunal de Tolosa dans province de Guipuzcoa, au Pays Basque accède à une telle demande. L’enfant, qui demeure dans la petite ville d’Asteasu, se sent fille : la justice en a pris acte, gravant dans le marbre le prénom féminin par lequel il est habituellement désigné.

Il va sans dire que la démarche judiciaire est du fait des parents : ce sont eux qui ont saisi le juge en affirmant qu’il existe une « juste cause » pour passer outre au sexe biologique de leur fils. Ils fondaient leur demande sur la loi 3/2007 qui autorise le changement de prénom dans les registres d’état civil dès lors que la personne qui le sollicite peut justifier d’un diagnostic de dysphorie de genre à la suite d’un examen médical ou psychologique.
En Espagne, la justice donne raison à un enfant de 4 ans « transsexuel »

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Rome : manifestation monstre contre le mariage inverti

Ce samedi 30 janvier, le Circo Massimo a été envahi par une foule immense, débordant de toutes parts l’enceinte pourtant gigantesque du célèbre site antique. Les premiers arrivants ont pu s’installer par terre, jusqu’en fin de matinée, pour déjeuner dans une ambiance détendue et familiale. Puis les Italiens continuant d’arriver en masse, le Circo Massimo s’est retrouvé totalement saturé : les abords pourtant peu praticables, comme les voies attenantes, ont été eux aussi rapidement envahis. Plus de 1600 cars et des dizaines de trains spéciaux avaient été affrétés par les organisateurs pour permettre aux familles de participer à ce rassemblement historique.

Mobilisés contre le projet de loi Cirinnà, projet d’union gay autorisant notamment l’adoption par le conjoint de même sexe, les Italiens ont réclamé à nouveau le retrait du texte, comme ils l’avaient déjà fait le 20 juin à Rome lors d’une première manifestation qui avait rassemblé 1 million de personnes.

La justice ne voit plus de problème dans l’infidélité conjugale !

« Une décision de justice rendue juste avant Noël n’a pas fait grand bruit.

Elle est pourtant lourde de conséquences puisque, selon certains, cette jurisprudence pourrait faire disparaître l’article 212 du Code civil comportant l’obligation de fidélité dans le mariage.

Le député LR Patrick Devedjian, marié et père de famille, avait porté plainte contre Point de Vue qui avait fait état d’une liaison qu’il aurait eue avec Valérie Trierweiler. Affirmation qui portait selon lui « une grave atteinte à son honneur et à sa considération ».

Il a été débouté. Non que la Cour de cassation se soit prononcée sur la véracité des faits, mais elle a jugé que « l’évolution des mœurs […] ne [permettait] plus de considérer l’infidélité conjugale contraire à la représentation commune de la morale ». Et pour appuyer son raisonnement, a fait valoir que « l’adultère [avait] été dépénalisé depuis près de quarante ans ». Autrement dit, puisque l’adultère n’est plus un délit, il est légal. S’il est légal, il est moral. S’il est moral, il est normal.

Comme tout est simple.

N’importe qui peut donc affirmer dans ce domaine n’importe quoi, puisque l’acte est innocent, aucune réputation ne s’en trouvera entachée.

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Enfants de paires d’homosexuelles : « Toutes les études sont invalides »

« Toutes les études sont invalides » sur l’adoption d’enfants par des paires homosexuelles a expliqué le docteur Pierre Lévy-Soussan, psychiatre, psychanalyste et auteur de Destins de l’adoption. Il était l’invité de l’émission « Le Rendez-vous santé », présentée par Brigitte Milhau, sur LCI.