Dans son hommage à Jean Jaurès pour le centenaire de sa mort, François Hollande a oublié un certain aspect du bonhomme.
– Jean Jaurès, « La question juive en Algérie », 1er mai 1895, La Dépêche (quotidien de gauche de Toulouse, cité par Michel Winock, La France et les Juifs, Seuil, 2004) :
« Dans les villes, ce qui exaspère le gros de la population française contre les Juifs, c’est que, par l’usure, par l’infatigable activité commerciale et par l’abus des influences politiques, ils accaparent peu à peu la fortune, le commerce, les emplois lucratifs, les fonctions administratives, la puissance publique. […] En France, l’influence politique des Juifs est énorme, mais elle est, si je puis dire, indirecte. Elle ne s’exerce pas par la puissance du nombre, mais par la puissance de l’argent. Ils tiennent une grande partie de la presse, les grandes institutions financières, et, quand ils n’ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus. Ici, ils ont, en plus d’un point, la double force de l’argent et du nombre. »
– Jean Jaurès, Discours au Tivoli, en 1898 (cité par B. Poignant, « Ouest-France », 13 décembre 2005) :
« Nous savons bien que la race juive, concentrée, passionnée, subtile, toujours dévorée par une sorte de fièvre du gain quand ce n’est pas par la force du prophétisme, nous savons bien qu’elle manie avec une particulière habileté le mécanisme capitaliste, mécanisme de rapine, de mensonge, de corset, d’extorsion. »
Tiré de Paul-Éric Blanrue, Le Monde contre soi, Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme, préface de Yann Moix, Éditions Blanche, 2007
Source
Que pensent les actuels prétendants au trône de ces lois ?
Louis XVII, le fils et héritier de Louis XVI, est-il bien mort au Temple en 1795 comme l’affirme l’historiographie officielle (et la majorité des historiens), ou alors a-t-il été exfiltré et a-t-il fait souche (avec la lignée « Naundorff ») comme le pensent toujours d’autres ?

Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
Docteur en Histoire, Bryan Mark Rigg a étudié aux prestigieuses universités de Yale et de Cambridge. Né en 1971, il est de confession baptiste et d’ascendance juive. Cet écrivain américain effectua son service national dans l’armée israélienne, en tant que volontaire, avant de s’engager dans l’armée américaine.
le 31 décembre 1978, à Tours.




