Indexer l’intégralité des données relatives aux soldats morts pour la France, sur une base numérique collaborative inédite, avant le 11 novembre 2018, date de commémoration du centenaire de l’Armistice : c’est l’initiative lancée par le ministère des Armées en 2013, à travers le site memoiredeshommes . 1.325.000 fiches au total, à renseigner une à une !
Saisie par les internautes
Lancée dans une relative indifférence, la démarche correspondait à un choix fort du ministère : pour transcrire environ 18,5 millions de données (16 à 18 catégories d’information par soldat), l’Etat a fait le choix, et pris le risque, plutôt que de l’externaliser, de confier ce chantier de saisie aux internautes eux-mêmes, se réservant une fonction de contrôle, de supervision et de validation.Cinq ans après, le pari est gagné.
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Alors qu’une grande partie des catholiques de France s’arrache les cheveux à l’idée que l’on puisse être choqué de l’attribution du rôle de la sainte et héroïne nationale à une métisse bénino-polonaise, un billet détaché, « sans haine ni violence » de Pauline Mille pour 

Avec son projet d’amendement
Samedi, la chaîne de télévision publique britannique Channel 4 diffusera pour la première fois, à l’occasion de la journée de la mémoire d’Auschwitz, l’histoire d’une cinquantaine de survivants des camps de Birkenau et ailleurs qui ont décidé, après la fin de la guerre, de faire payer les Allemands pour ce que leurs semblables avaient subi. Réalisé par Avi Merkado-Ettedgui, le documentaire repose sur des enregistrements audio des témoignages de plusieurs comploteurs au cours des années 1980, et évoque ce fait ahurissant :
Un mémorial numérique vient de voir le jour grâce à la mobilisation et au travail de nombreux internautes passionnés par la guerre. Jean-Michel Gilot en est un peu le chef de file. À 48 ans, ce directeur de projet marketing en recherche d’emploi passe ses journées sur les pages internet des archives militaires dans le seul but de trouver des informations sur les poilus. Comme lui, nous révèle
Ariel Sharon, à l’image de tous les sionistes fanatisés, était prêt à tuer des centaines d’innocents pour neutraliser un seul opposant. La finalité de leur action légitime les moyens employés pour y parvenir. La similitude philosophique avec les idéologies les plus meurtrières du XXème siècle, est frappante. A noter : le Mossad avait un plan pour essayer de faire croire à un « incident » technique…
Un ami conservateur et médiéviste nous a confié avoir cru dans un premier temps à une blague du Gorafi. Toute la presse en effet ne résonne que de la promesse d’Emmanuel Macron à Thérèse May de prêter à l’Angleterre la tapisserie de Bayeux
