Boris le Lay est exilé politique au Japon depuis des années ; il a dû fuir le « pays des droits de l’homme »
Facebook, dont on sait qu’il paie très peu d’impôts en France, ne cesse de faire preuve de servilité vis-à-vis du pouvoir. Ainsi, il vient de supprimer sans explications la page de Boris Le Lay, qui comptait pas moins de 135 000 « fans », et ce après avoir supprimé hier des dizaines de comptes nationalistes en Grande-Bretagne.
Du reste, en lisant l’article du Monde, on y apprend que Boris Le Lay a été condamné une dizaine (!) de fois par la justice en 8 ans (de 2011 à 2019). Précisons ici que l’origine de ces condamnations n’est rien d’autre que des écrits, bref Boris Le Lay a été condamné une dizaine de fois pour délit d’opinion en France.
Où est l’esprit « Charlie » ? Apparemment nulle part pour les opposants au Système !
Par ailleurs, on apprend dans le même article que le blogueur dissident fait l’objet de 13 (treize !!!) mandats de recherche, d’une « notice rouge » d’Interpol et d’une fiche S.
La plupart des terroristes ne sont pas autant recherchés !
Fielleux, le quotidien de gauche cite les autres accès au public que Boris Le Lay a recours, vraisemblablement en espérant que ceux-ci soient à leur tour inaccessibles : son compte Twitter, son compte Youtube. Le blogueur est également présent sur le réseau VK, ainsi que sur le réseau Minds. Enfin, le journal officiel du Système accuse, sans la moindre preuve, Boris Le Lay d’être derrière le site Democratieparticipative.club qui suscite la fureur de la justice et du gouvernement depuis novembre dernier (mais, du reste qui est toujours présent).
Alain Soral (avec bonnet) et son avocat Damien Viguier, réputé pour son niveau.
« L’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné, lundi 15 avril, à un an de prison ferme assorti d’un mandat d’arrêt pour négationnisme.
M. Soral, 60 ans, avait été jugé à Paris pour contestation de l’existence de la Shoah et avoir publié sur son site des conclusions litigieuses de son avocat dans une autre affaire. Son conseil, Damien Viguier, a été condamné à 5 000 euros d’amende pour complicité, en raison du contenu de ces conclusions.
Le parquet avait requis six mois de prison ferme contre M. Soral, et 15 000 euros d’amende contre Damien Viguier. »
Soral a donc été condamné à davantage que ce que réclamait le parquet.
Il devrait toutefois faire appel et éviter ainsi, au moins jusqu’au verdict de l’appel, l’incarcération.
La France, « pays des Droits de l’homme », persécute depuis quelques décennies (début des années 80) ceux – les chercheurs en particulier – qui s’interrogent sur le récit actuel de la « Shoah ».
« Amazon paie des milliers d’employés à travers le monde pour écouter les conversations des utilisateurs de son assistant personnel Alexa. Objectif : améliorer son outil, précise Bloomberg.
La police est débordée et, faute de moyens, laisse des délits voire des crimes impunis.
Cependant, dans certains domaines (ceux qui touchent aux tabous modernes), elle sait faire preuve d’une rare ténacité et utiliser des moyens à outrance, quand bien même l’infraction paraît vénielle.
Ainsi, elle a enquêté pendant quatre ans pour retrouver… l’auteur d’un tweet contenant « des insultes et des menaces de mort à caractère homophobe » à l’encontre d’un élu parisien, activiste LGBT ! ( « quatre ans d’investigations pointues » nous dit le journal qui relate cette affaire, sans détails sur le contenu litigieux lui-même).
Les victimes de délits et/ou crimes qui ne voient pas l’enquête les concernant avancer savent pourquoi et connaissent maintenant les priorités républicaines !
En déplacement dans les Hautes-Alpes,le ministre de l’Intérieur du régime Christophe Castaner affirme que le Gilet Jaune frappé par un policier à Besancon a simplement été « poussé ».
Alors que la violence est un moyen courant d’agit-prop des groupuscules et des associations gauchistes – loi travail, Notre-Dame-des-Landes, Gilets jaunes – les gouvernement successifs ne s’attaquent que rarement aux meneurs, aux finances et structures juridiques d’extrême-gauche. Mais lorsque des militants « identitaires » font, sans violence, un peu de pub à leur groupe et tentent d’attirer l’attention sur un sujet politique sensible, la République n’hésite pas longtemps.
Il y a quelques jours, des militants écolos du groupuscule Alternatiba décrochaient le portrait de Macron dans la mairie de Rouillon (Sarthe), pour protester contre la politique anti-écologique du gouvernement. Un journaliste du torchon Maine Libre était présent pour « couvrir » l’opération (médiatiser la propagande). Signe des temps, alors que les pouvoirs politiques ont toujours pris garde de ne pas trop toucher à un journaliste bon teint, Bruno Cortier a été convoqué par la gendarmerie car il est « soupçonné d’avoir commis ou tenté de commettre l’infraction de vol en réunion ». Alors que le syndicat ultra gauchiste des journalistes (SNJ) a fait un communiqué de presse pour se plaindre des méthodes d’investigation. Retropedalage du parquet, Cortier reçoit finalement une nouvelle convocation une heure avant son rendez-vous, pour être entendu en tant que « témoin ».
Trouvé sur l’Express: « Cette affaire est révélée le 2 avril par le SNJ, le Syndicat national des journalistes. Elle a de quoi surprendre. Tout part d’un article publié le 24 mars 2019, sur le site du journal régional Le Maine libre. Il s’intitule « Le portrait du président décroché à la mairie », et il est signé du journaliste Bruno Mortier, 61 ans. « C’est une opération coup de poing que la branche militante Action non violente-Cop 21 d’Alternatiba (ANV-COP 21) a menée samedi matin [le 23 mars ] à la mairie de Rouillon, écrit-il. Une dizaine de militants ont fait irruption, vers 10 h 30, à l’Hôtel de ville où ils ont symboliquement décroché le portrait d’Emmanuel Macron. »
Les services de police sont tellement saturés de travail que dans certaines villes, une agression avec des violences physiques ne suffit plus à déclencher une enquête. Mais à Castelsarrasin – le nom ne s’invente pas – pour une simple tranche de jambon déposée sur une poignée de porte, la République met en marche toute la machine judiciaire pour retrouver l’affreux coupable.
Trouvé sur La Dépêche : « Une enquête vient d’être ouverte après la découverte de charcuterie de porc devant la mosquée de Castelsarrasin. Les faits ont eu lieu vendredi, avant la tenue de la grande prière hebdomadaire. Vers 11 h 45, c’est l’un des fidèles qui en ouvrant les portes, a découvert des tranches de jambon de porc enroulées autour de la poignée de porte de l’édifice religieux musulman. Continuer la lecture de « Castelsarrasin : une enquête ouverte pour une tranche de jambon sur une poignée de mosquée ! »
L’Évêque traditionaliste avait défrayé la chronique en janvier 2009, après la diffusion d’un entretien réalisé par la télévision suédoise montrant Mgr Williamson remettant en doute le nombre de juifs morts durant la 2ème guerre mondiale ainsi que le procédé utilisé. Il vient d’être définitivement condamné par la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Voici sa réaction : « La vérité est puissante et partout prévaudra, tandis que le mensonge un jour disparaîtra. »
Nous l’attendions depuis longtemps… Le 31 janvier dernier, la Cour Européenne des Droits de l’Homme a fait connaître sa décision : l’appel requis par l’auteur de ces “Commentaires” est rejeté. Il avait fait appel de la condamnation que sept tribunaux allemands avaient portée contre lui pour avoir commis le “crime” de se demander si, véritablement, six millions de personnes avaient été gazées sous le troisième Reich ; selon le droit allemand ces condamnations étaient possibles du fait que le contrevenant se trouvait, en novembre 2008, sur le territoire de la République Fédérale Allemande. Les deux avocats allemands de la défense ont fait une tentative honorable pour défendre leur client qui, politiquement, était le plus incorrect qui soit ; mais ils ont dû se battre avec une main attachée dans le dos. Car la loi allemande interdit de prendre position sur la vérité historique. Si bien qu’aujourd’hui, en Allemagne comme dans de nombreux pays, la vérité ne constitue plus la mesure des intérêts privés : ce sont certains intérêts privés qui sont la mesure de la vérité. Continuer la lecture de « Mgr Williamson définitivement condamné pour s’être interrogé sur l’histoire officielle de la « Shoah » »
Dans un communiqué de presse du 27 mars, profitant opportunément de la tuerie néo-zélandaize de Christchurch, le réseau social géant déclare que les contenus faisant l’apologie du nationalisme blanc ou du séparatisme blanc seront interdits sur Facebook et Instagram (une de ses filiales).
« Facebook va désormais bannir davantage de publications en lien avec le « suprémacisme blanc ». Pour se faire, la plateforme du cosmopolite Mark Zuckerberg va lutter contre les thèses faisant la promotion d’une séparation physique des « races », ainsi que celles faisant l’apologie du « nationalisme » ou du « séparatisme » blancs » rapporte l’AFP.
Des députés LR ont déposé cette proposition de loi, qui menace les citoyens (mécontents) parmi les plus pauvres.
Notons que la notion de « coupables d’exactions » pendant les manifestations peut être appliquée de façon large et floue (à des vrais casseurs d’extrême-gauche comme à un manifestant pacifique mais victime d’une arrestation abusive)…
Surtout, une question se pose : pourquoi ne propose-t-on pas de supprimer d’autres types de prestations sociales pour d’autres types de contraventions, délits et crimes ?
Pour éviter de se grimer en noirs, les comédiens avaient proposé de porter des masques de couleurs. Crédits photo: Culture-sorbonne
Lu dans le Figaro(nous mettons en gras les passages les plus remarquables) :
« La pièce de théâtre Les Suppliantes devait être interprétée ce lundi 25 mars à Sorbonne Université. Elle n’aura finalement jamais eu lieu. Ce classique du dramaturge grec Eschyle, mis en scène par l’un de ses grands spécialistes Philippe Brunet, s’est en effet retrouvé au cœur d’une polémique après que le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran) l’a accusé de «propagande coloniale». En cause, le fait d’avoir grimé en personnes noires ses comédiens lors de représentations précédentes.[…]
Comme lors des Manifs pour tous, les personnes qui ne plaisent pas au Régime (pas bien fichées) sont arrêtées, détenues au commissariat, voire rackettées comme ici de façon purement arbitraire et illégale.
Quand on pense que la République essaie de faire peur aux écoliers avec les « lettres de cachet » royales et qu’on nous serine avec l’« Etat de droit »…
« Béatrice et Jérôme, couple de gilets jaunes de l’Orne, assurent avoir reçu un PV à Paris en marge des manifestations de « l’Acte 19 », samedi 23 mars à cause de leur tenue revendicatrice.[…]
Elle et son compagnon, Jérôme, portait ce pull samedi 23 mars au moment où ils ont été interpellés par les forces de l’ordre à Paris.