L’article 123 de Lisbonne interdit à la BCE ou à la banque de France d’acquérir directement des titres de dettes de l’Etat. Alors que la BCE refinance les banques privées à 1% celles-ci prêtent aux Etats à 3, 5 ou 10% lors de la création monétaire par monétisation directe de titres de dette publique.
A cause de cette règle imposée par les grands manitous européens qui ont le projet de faire sauter l’Etat-nation et ont obtenu que les dirigeants nationaux pactisent avec eux contre leur propre pays, la France a été contrainte d’emprunter plus de 1300 milliards d’euros pour payer les seuls intérêts de sa dette. Sans l’interdiction de financement direct de la Banque de France, notre dette publique, donc sans intérêts, serait inférieure à celle de 1980.
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Le débat fait rage chez les économistes allemands. La Bundesbank, qui possède 465 milliards d’euros de créances sur l’Eurosystème, est de plus en plus exposée à l’éclatement de la zone euro.
La prophétie de Christophe de Margerie est-elle sur le point de se réaliser? En avril dernier, le PDG de Total avait jugé inéluctable que le litre de super atteigne les deux euros à la pompe. Des propos alors qualifiés d’indécents par Sarkozy. «Je vais m’en occuper», avait-il lâché. Pourtant, neuf mois plus tard, c’est plus que jamais d’actualité.