Enseignement : étude de l’islam obligatoire, le christianisme médiéval en option

Et plus d’être facultatif au collège, le christianisme doit être enseigné sous l’angle de l’ « emprise de l’Eglise sur les mentalités rurales » ! Et la nation est évoquée par l’étude des « heures sombres ou controversées du passé » (esclavage, colonisation, génocides, déportation…). Incroyable !
Il n’est plus raisonnable aujourd’hui pour les parents de mettre leurs enfants sous la férule tyrannique de l’Éducation Nationale. Sauvons nos enfants, mettons-les dans les écoles libres.

Article du Figaro sur le sujet. Si la rédaction de CI n’est pas d’accord avec la totalité des points abordés, ce billet a le mérite de présenter la réforme :

C’est en parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l’inquiétude surgit: le Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement étudiés» des sujets «traités au choix de l’enseignant». Ainsi, l’étude de l’Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative – ceux qui choisiront de l’enseigner devront le faire uniquement sous l’angle de l’ «emprise de l’Eglise sur les mentalités rurales». Dans une société en mal d’intégration et de cohésion nationale, on ne manquera pas de s’étonner d’une curiosité si grande pour les religions venues d’ailleurs, et d’une révulsion si manifeste pour nos racines judéo-chrétiennes. N’est-ce pas pourtant en redonnant à l’élève ces racines que nous le rendrons d’autant plus ouvert à l’altérité? Par ailleurs, où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?

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Des féministes font retirer un carnet de santé « sexiste », 33.000 euros à la poubelle

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La bêtise féministe n’a décidément aucune limite…

Le visuel de la première page du carnet de santé remis aux parents dans les maternités des Bouches-du-Rhône a provoqué une levée de bouclier : on y voit une petite fille inquiète pour son tour de taille et un petit garçon ravi de se mesurer… Verdict : les féministes l’ont jugé « sexiste ».

Résultat : Tous les carnets de santé vont être réédités.

« Le coût de chaque carnet est d’un euro, comme nous éditons environ 33.000 exemplaires chaque année, le coût de cette réédition est de 33.000 euros », indique une porte parole du Conseil départemental qui souligne que le carnet a été validé par le précédent exécutif. 33.000 euros à la poubelle, pour satisfaire la bêtise totalitaire de quelques hystériques…

Ce n’est pas une blague : Valls pense à «intégrer l’art de l’improvisation que porte Jamel Debbouze» à l’école

Clientélisme ? Bourrage de crâne idéologiuqe ? Simple stupidité d’« El Blancos » ? Probablement un mélange des trois… Toujours est-il qu’il ne faut pas avoir honte pour sortir une telle bouffonnerie lorsque l’on est premier ministre. Rappelons que le « comédien » est accusé de meurtre depuis 25 ans (voir ici)!

Vu sur Le Figaro : Un donné pour un rendu. Après que le comédien Jamel Debbouze, actuellement en pleine promotion de son film Pourquoi j’ai pas mangé mon père (NDCI : un navet de haute volée), a réaffirmé le 5 avril dernier son soutien à François Hollande, il semblerait que Manuel Valls ait été désigné pour lui rendre la pareille. Ainsi le premier ministre a-t-il, dans un grand entretien au magazine culturel L’Oeil repéré par le Lab, adressé un clin d’oeil pour le moins flatteur à l’humoriste.

Assurant refuser de croire «au divorce entre la gauche et la culture», le chef du gouvernement a estimé que «la réforme des rythmes éducatifs est une réelle opportunité dont il faut se saisir». Et appelé à «casser les murs qui existent parfois entre les institutions, et aussi souvent dans les esprits».

Avant de s’interroger, tandis qu’il se livrait à une série de propositions pour l’éducation, sur la possibilité d’« intégrer, dans nos écoles, l’art de l’improvisation que porte Jamel Debbouze ».

Idéologie du genre : et maintenant, l’avortement pour les hommes !

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On croit trop facilement avoir touché le fond… C’est dans le plus récent numéro du doyen des hebdomadaires des Etats-Unis, The Nation, fondé en 1865 pour combattre l’esclavage, que l’on peut trouver un article évoquant la revendication étrange qui demande que l’avortement ne soit plus présenté un droit des femmes. L’avortement, dit cette étonnante théorie, peut intéresser les hommes : les hommes transgenre par exemple, et encore des personnes qui ne se conforment pas à leur genre d’origine.

Pendant la plus grande partie de l’histoire, reconnaissent ses tenants, ce sont les femmes et les jeunes filles qui avortaient. « Plus maintenant. Les gens avortent. Ce sont des patients qui avortent. Il y a des hommes qui avortent. » Prétendre le contraire, c’est faire preuve de cissexisme : ce nouveau préjugé discriminatoire qui affecte les institutions et la société qui favorisent « les individus qui s’identient au genre qui leur a été assigné à la naissance (cisgenres), au détriment des individus s’identifiant à un genre autre que celui assigné à la naissance (trans) ».

Attention, ce n’est pas de la transphobie, concept bien trop étroit pour dénoncer les micro-agressions et l’invisibilité structurelle dont sont victimes les personnes trans, et qui se traduisent par les « privilèges » que se réserve la « majorité transgenre ». (Je cite, évidemment.)

Il est donc urgent de cesser de parler de la « guerre contre les femmes » menée par les opposants à l’avortement, assurent quelques féministes activistes.

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Elevée par deux lesbiennes qu’elle aime, elle s’oppose désormais au « mariage » homosexuel

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A mesure que les idées portées par le lobby LGBT sont imposées partout dans le monde, les témoignages de la souffrance d’adultes élevés par des paires homosexuelles et opposés à la légalisation du « mariage » homosexuel se multiplient. L’Américaine Heather Barwick vient de livrer le sien, particulièrement puissant. Elevée par deux lesbiennes, elle ne s’est jamais rebellée contre ces deux femmes. En réalité, elle éprouve un amour profond et sincère pour celles qui l’ont élevée et soutenait même le « mariage » homosexuel lorsqu’elle était encore jeune.
C’est après s’être mariée elle-même et avoir découvert l’amour que son mari porte à leurs quatre enfants qu’elle a réalisé sa souffrance, et le fait que les deux sont nécessaires : un père et une mère.
C’est en se mariant que Heather Barwick a découvert la souffrance liée à l’absence d’un père

Le 17 mars, elle livrait son témoignage au site américain The Federalist :
« Vous souvenez-vous du livre Heather avait deux mamans ? C’était moi. Ma mère, sa partenaire et moi vivions dans une adorable petite maison dans une banlieue située dans une région très libérale et ouverte d’esprit. La partenaire de ma mère m’a toujours traitée comme sa propre fille. Avec elle, j’ai également hérité de leur communauté très soudée d’amis lesbiennes ou homosexuels. Ou peut-être ont-ils hérité de moi ? (…) »

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L’ancien chef de la commission pour l’Egalité au Royaume-Uni dénonce… l’antiracisme !

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Trevor Phillips, ancien responsable de la commission pour l’Egalité et les Droits humains au Royaume-Uni – l’équivalent de la HALDE et du Défenseur des droits en France – a décidé de faire son mea culpa. Il a réalisé un documentaire au titre provocateur, diffusé ce jeudi soir sur Channel 4 : Things we won’t say about race that are true (Les choses que nous refusons de dire sur la race et qui sont vraies). La promotion de la société multiculturelle et le discours de l’antiracisme sont mis sur la sellette par celui-là même qui en était chargé.

En deux mots : Trevor Phillips rappelle qu’on a essayé, lui le premier, d’empêcher les gens d’exprimer leur avis sur la manière dont change la face de leur pays, devenu société multiculturelle, en les traitant de « racistes ». « Les activistes de mon espèce pensaient sincèrement qu’en empêchant les gens d’exprimer leurs préjugés, ils cesseraient de les avoir. Nous avions tort : complètement tort. »

Et pas seulement sur le plan d’un antiracisme qui aurait raté sa cible. Au même moment où la commission pour l’Egalité cherchait à contrer les « stéréotypes de race », affirme aujourd’hui Trevor Phillips non sans dépit, un nombre « troublant » d’entre eux se révélait exact.

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Assassinat de Nemtsov : selon Ilia Iachine, l’opposant disposait de preuves de l’implication de l’armée russe en Ukraine

L’assassinat de Boris Nemtsov a suscité de nombreuses réactions en France et particulièrement parmi les défenseurs de Vladimir Poutine. Certains crient à qui veut l’entendre que la CIA est derrière le meurtre de l’opposant politique du chef d’État russe. Ce plan aurait comme objectif de précipiter les occidentaux dans la guerre contre la Russie. Si les États-Unis n’en seraient pas à leur première barbouzerie, il convient de ne pas faire de conjecture sans le moindre début de preuve. En Russie les emprisonnements, les chantages et les meurtres pour des motifs politiques ne sont pas rares. Qui est coupable ? Peut-être le saurons-nous jamais. Attention aux propagandes des deux camps. Selon un ami du défunt, Boris Nemtsov s’apprêtait à prouver ce que Vladimir Poutine à toujours refusé d’admettre, l’implication de son armée sur les terres ukrainiennes.

« Il avait des preuves. Il disait être en contact à Ivanovo, Iaroslavl et dans d’autres villes avec des proches de soldats russes tués » en Ukraine, a déclaré lundi 2 mars à l’AFP M. Iachine, qui dirige le mouvement d’opposition Solidarnost et était l’un de ses proches amis. M. Iachine a déclaré craindre maintenant que ces preuves ne soient jamais rendues publiques.

« Je ne sais pas comment il avait obtenu ces informations. Les enquêteurs sont venus chez lui deux heures après le meurtre, puis à son bureau le lendemain. Ils ont emporté des documents et les locaux sont maintenant bloqués », a-t-il précisé à l’AFP.

Deux jours avant son assassinat

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Détecteur de fumée: un enfumage à 1 milliard d’euros

Campagne de culpabilisation des français financée par l’État

Vu sur BFMTV : En obligeant les Français à installer dans leur domicile des détecteurs de fumée, l’Etat a cédé à un lobby qui peut ainsi se livrer à une pure opération de racket. Il est plus que temps de dénoncer cette hérésie.

 Ahurissante. il n’y a pas d’autre adjectif pour qualifier cette histoire de détecteur de fumée (toutes les dispositions légales sont ). Ahurissante, mais inattaquable. Qu’on ose s’insurger et la réponse fuse: « Vous voulez faire mourir les enfants Monsieur Soumier ? Vous êtes irresponsable. »  Qu’est-ce que c’est que cet argument ? Parce qu’alors mieux vaut les priver de tout: finis la mobylette, le ski, les rollers, le vélo, le poney…

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Synode sur la famille : les libéraux à la manœuvre !

Le cardinal Reinhard Marx

Qui a empêché l’envoi du livre Demeurer dans la vérité du Christ aux pères synodaux à l’occasion du synode extraordinaire sur la famille à Rome, en octobre dernier ? Selon le site pro-vie et pro-famille américain LifeSiteNews cette nouvelle manipulation de la part des partisans d’une plus grande ouverture aux divorcés « remariés », aux couples homosexuels et aux union de fait serait à mettre sur le compte du cardinal Baldisseri, secrétaire général du synode des évêques. Il est accusé d’avoir fait « saisir » l’ouvrage de réponse aux propositions du cardinal Kasper auquel ont notamment participé cinq cardinaux : Burke, Brandmüller, de Paolis, Müller et Caffarra. L’information arrive au moment même où le cardinal Reinhard Marx, président de la conférence des évêques d’Allemagne et chaud partisan de Walter Kasper, vient de faire des déclarations fracassantes où il annonce d’avance la révolte des évêques allemands au cas où Rome tarderait à revoir la pastorale à l’égard des familles et des divorcés « remariés ».

Sur le blocage du livre Demeurer dans la vérité du Christ (publié en France chez Artège, il vaut largement le détour avec ses réponses documentées et sa très grande hauteur de vue sur le mariage et la pastorale) peu de choses ont été dites jusqu’à présent. C’est le vaticaniste américain Edward Pentin, réputé pour son sérieux, qui a invoqué mercredi sur Newsmax des « sources fiables et de haut niveau » selon lesquelles le livre a été « intercepté » sur ordre du cardinal Lorenzo Baldisseri, au motif qu’il risquait de créer une « interférence » par rapport au synode. Ces sources non identifiées assurent qu’il était « furieux » devant la tentative de les faire distribuer aux participants au synode.

“Demeurer dans la vérité du Christ” : une bombe en faveur de la vérité

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Bachar el Assad ne veut « plus rester isolé face à la menace terroriste »

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Quatre parlementaires Français se sont rendus en Syrie, à Damas et trois d’entre eux ont rencontré le président Syrien Bachar el Assad. Une initiative attendue par les autorités syriennes qui sont le dernier rempart contre l’islamisme en Syrie et dans la région. François Hollande et Manuel Valls n’ont pas pu s’empêcher de critiquer ce voyage, montrant une méconnaissance totale de la situation sur le terrain.

Leur ennemi, c’est toujours Bachar el Assad tandis que les Syriens répètent qu’il n’est plus un choix politique mais une nécessité pour une échapper au chaos…

Le sénateur UDI François Zocchetto, présent en Syrie avec trois autres parlementaires, a assuré vendredi que le président syrien, Bachar al-Assad ne voulait « plus rester isolé face à la menace terroriste ».

« Bachar al-Assad est quelqu’un de réservé, il ne se livre pas facilement. Il a dit qu’il attendait de ne plus rester isolé face à la menace terroriste », a expliqué le sénateur sur Radio Classique, au sujet de sa rencontre avec le président syrien en compagnie de deux autres parlementaires français.

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Le profanateur du cimetière juif était… un antifa !

Cimetière

Le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union s’appelle Pierre, mais pas de bol pour tous ceux qui voyait déjà l’extrême-droite cachée derrière cette profanation surmédiatisée, il est… antifa !

C’est Le Monde qui nous l’apprend dans son édition du jour :

 » (…)  A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse « de solidarité et d’indignation » qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté. Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient « fans de metal », et « se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt ».
Pierre, précise Gaëtan, « c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant. »

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Etats-Unis : des élèves ridiculisés au collège pour leur opposition au lobbying LGBT

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Il ne faudrait pas prendre l’information que voici pour un incident isolé : il préfigure au contraire ce qui risque de se multiplier à l’avenir, en conformité avec un état d’esprit de plus en plus agressif et partagé.

La scène se passe dans une école californienne : les élèves, des jeunes de 14 ou 15 ans, ont été ridiculisés et dénoncés pour avoir osé manifester leur opposition à un groupe d’intervenants extérieurs venus exposer leur programme LGBT en cours d’anglais. La « Queer Straight Alliance », spécialiste du lobbying lesbien-gay-bi-trans, avait été officiellement invitée à intervenir, le 29 janvier, dans plusieurs classes de 3ème à Alcanes High School à Lafayette.

Les élèves ont dû se positionner par rapport aux LGBT
Le lobbying LGBT, en l’occurrence, passait par la dynamique de groupe. Les élèves étaient priés de se mettre en cercle, puis, chacun devait exposer son opinion et ses croyances sur l’homosexualité, ainsi que celles de ses parents, selon le Pacific Justice Institute (PJI) qui a été saisi par des parents d’élèves outrés pour faire la lumière sur ce scandale. D’autant qu’ils n’avaient pas été tenus au courant de l’intervention de l’association.

Ridiculisés dans leur collège pour refuser le sexuellement correct
Les pro-LGBT du Queer Straight Alliance les encourageaient notamment à s’avancer un par un, pour dire si à leur avis être « gay » relève d’un choix, et si leurs parents accepteraient qu’ils se disent eux-mêmes « gays », selon l’avocat du PJI.
Ceux qui refusaient de s’avancer étaient « ridiculisés et humiliés », assure-t-il.
Au cours de l’exercice, les intervenants ont en outre révélé les noms des professeurs gays ou lesbiens dans cette école de Lafayette.
Munis de polycopiés contenant toute la terminologie LGBT, les élèves ont ensuite été priés de se placer dans le « spectre du genre » : cela était présenté comme un exercice de « fluidité de genre », selon un parent d’élève. Les intervenants avaient pris soin d’expliquer aux jeunes qu’ils « pouvaient venir à l’école un jour en se sentant garçon, et le lendemain en se sentant fille ».

C’est une déconstruction programmée et facilitée par le genre de l’exercice : on sait à quel point la dynamique de groupe peut peser sur les jeunes. Et elle est ici d’autant plus perverse que l’adolescence est précisément le temps des interrogations et des incertitudes sur sa propre identité.

Dynamique de groupe pour éradiquer l’opposition au lobbying LGBT
Voilà donc ces gamins qu’on imagine, pour certains, encore au seuil de la puberté, confrontés à des catégories profondément déstabilisantes : étaient-ils des « demi-garçons » ou des « demi-filles » ? Se reconnaissaient-ils dans le « genre gris » – genre flou et indéfini ? Ou étaient-il vraiment « bi-genre », « agenre » (sans genre), intersexe (au sexe biologiquement ambigu), pan-sexuels – attirés par tous ; voire poly-romantiques – attirés par la plupart des genres, mais pas tous ?

Le cours, a expliqué un responsable de l’enseignement californien selon un avocat de PJI, se voulait un exercice de « tolérance » sous la surveillance des professeurs mais enseigné par des « pairs ».

Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, toutefois : bientôt, l’« outing » sera imposé à ceux qui s’opposent au lobbying LGBT et pour eux, il n’y aura ni compréhension ni admiration – le pilori.

Source

Qu’y a-t-il d’inscrit en minuscule sur nos chèques ? Vous n’en reviendrez pas !

La quasi-totalité des personnes possédant un compte en banque possède également un chéquier. Vous êtes-vous déjà demandé ce que vous signez réellement à chaque règlement au-delà du montant du chèque ? Avez-vous déjà regardé de près un de vos chèques bancaires ?

Prenez une loupe ou faites un scan haute définition de votre chèque puis observez attentivement les tracés destinés à guider votre plume.

Vous constaterez que ces lignes sont en réalité des lettres qui forment une phrase.

Cette phrase est un extrait de la déclaration du 9 mai 1950, date annuelle de la « fête de l’Europe », de Robert Schuman, pilier fondateur de l’Union Européenne.

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L’Europe ne se fera pas d’un coup, ni dans une construction d’ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes créant d’abord une solidarité de fait.

Robert Schuman, le 9 mai 1950

Ce message « subliminal » est apparu pour la première fois sur les chèques de banque lors du passage à l’euro, sur lesquels vous signez symboliquement cette déclaration à chaque transaction par ce moyen de paiement.

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Libération d’Auschwitz : submergé par la souffrance, Haziza fait erreur sur son grand-père

Ce 27 janvier, pour le 70e anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz, Frédéric Haziza n’a pu résister à l’envie de rappeler que son grand-père, un certain Majloch Lansner, y avait été « exterminé ».

Problème : dans le document qui accompagne son tweet, Lansner apparaît comme décédé non à Auschwitz mais à Theresienstadt, où, selon Wikipédia, des déportés moururent « à cause des conditions de vie (famine, maladies, épidémie de typhus à la fin de la guerre) ».

 

 

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Il y a une religion suprême : c’est la religion de la République

Claude Bartolone est interrogé par Jérôme Chapuis :

Chapuis : « Vous avez prononcé une phrase tout à l’heure dans la première partie, vous avez dit : « Les mots nourrissent les actes ». La une du dernier numéro de Charlie-Hebdo qui représente à nouveau le prophète Mahomet suscite la colère de nombreux musulmans à travers le monde. Dix personnes sont mortes hier dans des manifestations au Niger. On brûle des drapeaux français au Pakistan. Quelle attitude doit avoir la France face à tout cela ? »

Bartolone : « Intraitable sur les valeurs de la République ! Intraitable ! Le jour où l’on affaiblit ce socle nous sommes renvoyés les uns et les autres à notre communauté ou à notre religion et c’est le vivre-ensemble qui est menacé ; d’ailleurs ces terroristes, ces assassins, c’est ce qu’ils ont essayé de faire comme première victime : le vivre-ensemble. Moi je veux que l’on réussisse même si cela prend un peu de temps. Regardez le temps qu’il a fallu pour faire accepter à la religion Catholique le fait qu’il y a une religion suprême pour chacun d’entre nous : c’est la religion de la République. »