
Des personnalités politiques (intègres, bienveillantes, patriotes et pas du tout liberticides telles que Manuel Valls) ont signé récemment une tribune pour dire qu’il n’y a « aucun argument contre la baisse de 90 à 80 km/h » sur les départementales.
Le raisonnement est tordu, car même si c’était vrai, on pourrait sur le même ton réclamer de baisser à 20km/h la vitesse limite… Et il y a bien des arguments.
« En Angleterre, on conçoit la sécurité routière à l’opposé de la France, avec des succès qui ne sont pas moindres. On estime aujourd’hui que près de 55 % des radars du territoire britannique ont été désactivés . Le Danemark , qui avait déjà relevé sa vitesse sur autoroute dix ans auparavant, a constaté que la juste vitesse était bien 90 km/h sur route, avec des conséquences très positives sur l’accidentologie.
Les radars ne servent à rien !
L’expérience est arrivée inopinément à Swindon, une ville de 180 000 habitants, décide en 2009, pour des raisons budgétaires, la suppression des sept radars de la commune. (en France, il est d’usage de faire l’inverse, à savoir lorsque l’État a besoin d’argent, il installe des radars, ndlr)
Cinq ans après, le bilan est imprévu puisque, malgré cette mise hors service, le nombre d’accidents de la route a régulièrement diminué.
Pour Keith Williams, adjoint au maire de Swindon, « les radars ne flashaient pas beaucoup, mais il y avait un coût à les maintenir opérationnels, alors qu’ils n’avaient pas réellement d’impact positif sur la sécurité routière ». Continuer la lecture de « 80 km/h : la mesure qui fait bien rire les Anglais et les Danois »



La direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) de Paris a eu connaissance des messages d’un des tueurs du père Hamel une semaine avant l’assassinat du religieux. Le terroriste y évoquait une attaque dans une église, mentionnait Saint-Étienne-du-Rouvray… Une fois le prêtre assassiné, la DRPP a alors postdaté deux documents afin de masquer sa passivité. Révélations sur les pratiques du service de renseignement parisien.

Comme le relève Le Lab

Il y a une dizaine de jours, la presse mondiale s’était émue d’une photo montrant un ours blanc famélique et mourant. Le cliché, repris des milliers de fois dans tous les pays du monde en étant présenté comme la preuve du réchauffement climatique était un pur bobard. 
