Brigitte Bourguignon, un ministre de la Santé et surtout, surtout de la culture de mort

Le nouveau ministre de la santé était ministre délégué chargé de l’autonomie dans le précédent gouvernement. En février dernier, à propos des avortements réalisés par les sages-femmes, cette femme déclarait :

L’expérimentation permettant l’exercice des IVG instrumentales par les sages-femmes en établissements de santé, engagée depuis fin 2021, représente un pas important en faveur de l’amélioration de l’accès à l’IVG, laquelle constitue une préoccupation majeure du Gouvernement. Elle permettra de faciliter l’organisation des équipes hospitalières pour répondre à la demande et d’apporter aux femmes un nouvel interlocuteur possible dans leur parcours.

En septembre 2017, elle cosignait une proposition de loi en faveur de l’euthanasie.

Brigitte Bourguignon avait soutenu Marie Humbert, décédée en août 2018, dans son association « Faut qu’on s’active », qui demandait une loi instituant « une exception d’euthanasie ». Elle en a été la secrétaire générale durant quelques années.

Présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale, elle avait signé, en février 2018 dans Le Monde, la tribune des 156 députés issus de la majorité appelant « à mieux encadrer les droits et la liberté de mourir des personnes en fin de vie ».

L’ADMD (association maçonnique de promotion de l’« euthanasie ») s’est réjoui de cette nomination sans ambiguïté :