Banalisation de l’infanticide

Le magazine Closer n’est plus à présenter. Ce torchon cataloguant les pires décadences de la société actuelle a fait fort récemment en publiant la vidéo de l’avortement d’une jeune femme. Le but est simple explique-t-elle, montrer la simplicité de l’avortement, et aller à l’encontre de tous les témoignages qui mettent en avant les multiples dérèglements physiques ou psychologiques qu’un tel acte provoque.

– «L’homme n’a pas été impliqué dans ma décision» (Eh bien oui, ce n’est pas non plus comme s’il était lui aussi responsable de la conception de l’enfant)
– «Je ne me sens pas comme une mauvaise personne. Je ne me sens pas triste. Je savais que ce que je voulais faire était de bien – c’était juste pour moi et pour personne d’autre » (En voilà un choix juste et bon, bien loin de l’égoïsme exacerbé de tous ces anti-IVG rétrogrades)
– « Un avortement effectué pendant le premier trimestre dure entre 3 et 5 minutes. C’est plus sûr qu’un accouchement. Il n’y a pas d’incision, et le risque de stérilité est seulement de 1%. ».

On se souviendra cependant que le docteur Dor s’est vu poursuivre en justice pour avoir récité un rosaire devant un hôpital pratiquant l’avortement. Alors à l’inverse qui portera plainte contre cette jeune femme pour incitation au meurtre ? Personne ! Car la propagande pro-ivg, cette culture de mort, est légale, financée parfois et toujours encouragée.

 Marie de Remoncourt