« 1951-2011 : qu’ont-ils fait de la France du Maréchal ? »

Il y a soixante ans exactement, le Maréchal Pétain s’éteignait et se tournait symboliquement la page d’une certaine France…
« Le plus vieux prisonnier du monde » condamné très iniquement pour avoir tenté, dans des circonstances particulièrement difficiles, de sauver la France vaincue et de redresser le pays - appuyé sur la doctrine nationaliste -, rendait l’âme après des années de tribulations, d’humilitation et de trahisons qu’il souffrit stoïquement.

Ci-dessous, un article du directeur de Rivarol (dans le numéro en cours), au mépris du politiquement correct.
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Nouvelle censure historique

Article intéressant de RUE89 sur les pressions du lobby juif sur les éditeurs de manuels scolaires :

Il aura suffi d’un mot, d’une phrase pour qu’une question d’histoire se retrouve censurée dans un manuel scolaire. Dans le cadre d’un chapitre consacré à « L’ONU et la question palestinienne, 1947-1948 », le nouveau manuel Hachette de première utilisait une photographie de Palestiniens chargeant des bagages dans une camionnette avec pour légende : « La Nakba. Les conquêtes de l’armée israélienne ont entraîné l’exode de près de 700 000 Palestiniens » (p. 139).

Dans la partie vocabulaire de ce chapitre, le terme Nakba est défini ainsi :

« Nakba : (“catastrophe” en arabe) expulsion de populations palestiniennes pendant la guerre israélo-arabe de 1948. »

Cette précision reflèterait-elle une dérive dangereuse pour la liberté de l’enseignement de l’histoire ? C’est ce que semble penser depuis quelques jours plusieurs associations juives de France qui dénoncent une « idéologisation » selon Richard Prasquier, président du Crif, et même une « révision de l’histoire » selon l’association Europe-Israël.

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Oradour : cette tâche ingrate qui nous incombe

Article écrit par Vincent Reynouard et publié le 9 juin 2011 dans l’excellent journal Rivarol :
Le jour où paraîtra cette nouvelle livraison de RIVAROL sera organisé, à Oradour-sur-Glane, la commémoration du 67e anniversaire de la fameuse tragédie qui coûta la vie à plus de 500 femmes et enfants dans l’église du village (sans oublier les hommes dans les granges). Pendant environ quinze ans, je me suis intéressé de près à cette affaire. Sept ans d’enquête, la publication d’un livre grand format de plus de 400 pages (« Le massacre d’Oradour. Un demi-siècle de mise en scène », éd. VHO), la diffusion d’une vidéo (« Oradour: cinquante ans de mensonges » puis « Oradour: le débat interdit ») et une longue saga judiciaire qui m’opposa aux gardiens de la Mémoire. Une saga qui, comme tout bon western, commença très mal (mon livre interdit sur tout le territoire national, ma condamnation à deux ans de prison pour « apologie de crime de guerre ») pour se terminer très bien (annulation de l’interdiction et cassation sans renvoi de l’arrêt qui me condamnait pour « apologie »), grâce à la formidable action de Maître Delcroix. Ajoutons à cela l’ouvrage du concepteur du Mémorial d’Oradour (Jean-Jacques Fouché, « Oradour », éd. Liana Lévi) qui déplut assez profondément aux associations des victimes et qui fut, pour les révisionnistes, une aubaine (Yves C…, « Réponse à Jean-Jaques Fouché », diffusion VHO).

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Un meurtre datant de 1946 élucidé

Une ancienne résistante néerlandaise, âgée de 96 ans, a avoué le meurtre en 1946 [sic] à Leiden (ouest des Pays-Bas) d’un ingénieur, dont elle pensait qu’il avait collaboré avec les nazis pendant la guerre, notamment en réparant un pont détruit par la résistance néerlandaise.

Atie Ridder-Visser s’était rendue le 1er mars 1946 chez M. Guljé et l’avait tué à l’aide d’un arme à feu. Le meurtre n’avait jamais été élucidé.

Cette femme était alors membre des services néerlandais de recherche des collaborateurs, et ne sera pas jugée, son crime étant prescrit.

Il s’avéra plus tard que Felix Guljé avait aidé des Juifs à se cacher pendant la guerre et organisé, chez lui, des réunions d’une organisation catholique interdite par l’occupant.

Source

Exposition : « Les Celtes. Druides. Princes. Guerriers »

Un lecteur de contre-info.com recommande l’exposition « Les Celtes. Druides. Princes. Guerriers ».
Il nous écrit : « j’ai été visiter hier une exposition en Allemagne sur les Celtes (2011 est l’année des celtes en Allemagne). Elle devait terminer le 22 mai, face au succès, elle est prolongée jusqu’au 21 août 2011. Franchement je la recommande chaudement: pas d’histoire déformée, pas d’anti-occidentalisme, juste des objets qui proviennent de France, du Luxembourg, de Belgique et d’Allemagne. C’est un grand bond dans le monde fantastique de nos ancêtres. L’expo sur place est aussi présentée en Français. »

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La vielle et l’épée… fine fleur de la chevalerie française

Lu sur lacropole.info :

Du 28 avril au 26 septembre, le musée de Cluny, à Paris, présente une exposition intitulée l’épée. Usages, mythes et symboles. L’occasion pour Isabelle de Rancourt de revenir sur cet objet qui a traversé les âges et les civilisations.

Durandal, Joyeuse, Tizona1….que n’évoquent-ils pas pour nous, ces noms environnés de mythe et de la brume des temps, reflets d’un autre âge où l’honneur encore était de mise, et les passions viriles d’un peuple qu’habitaient la fierté et l’amour de sa race.
Ce sont ces noms que fait résonner pour nous le musée du Moyen Age, qui présente pour les mois à venir une très belle exposition – « L’Epée. Usages, mythes et symboles » – quelques bribes éparses d’un passé cher à nos cœurs et qui palpite encore en nous, comme pour y vivifier les quelques étincelles que nous gardons de l’âme de nos pères. Le lecteur pardonnera sans peine l’excessive nostalgie de ces quelques lignes – sentiment familier à qui porte en lui l’irrémédiable passion de la France. On aime à s’attarder devant ces vestiges glorieux, des fragments du trésor de la tombe de Chilpéric, grenats cloisonnés d’or où l’on retrouve tout l’art de la métallurgie cher à nos ancêtres les « Barbares », à la lame fine et élégante de l’épée dite de Sainte Jeanne d’Arc, en passant par l’épée du dernier roi maure de Grenade, Boadbil, symbole de victoire de la chrétienté sur l’envahisseur musulman.

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La mascarade du Père Desbois

Le camp « exterminationniste » a accueilli, dans la joie et l’euphorie, l’arrivée du providentiel Père Desbois, bien décidé à prouver la réalité de l’extermination de 2 millions de juifs en Ukraine : la désormais célèbre « Shoah par balles ».
Une nouveauté fumeuse, qui vient comme renforcer la « Shoah » officielle et obligatoire et semble vouloir effacer le souvenir trop fragile du génocide certifié de 5 millions d’Ukrainiens par les « Soviétiques » en 1932-33.
L’homme, à la neutralité douteuse, continue de s’agiter et bénéficie d’une bienveillance médiatique continue.

Laissons un éminent spécialiste commenter son maître-ouvrage :

Il est connu qu’une tragédie peut s’achever en farce. Le Père Patrick Desbois est un sacré farceur, à la veste duquel Nicolas Sarkozy-Mallah vient d’agrafer le ruban de la Légion d’honneur.
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L’apport des Francs à la langue française

Les Francs n’ont pas seulement donné leur nom à la France ; leur langue, le francique ne disparaîtra pas sans avoir laissé de trace dans la langue française.

L’apport franc à la constitution de la langue française se distingue d’autres apports (mots de formation savante pris du grec ancien, mots isolés d’origine italienne, espagnole ou arabe…) par le fait qu’il résulte de l’implantation, sur le territoire gaulois, d’une population de langue germanique : les Francs. Si ces derniers apprennent assez rapidement à s’exprimer dans le bas-latin parlé par les gallo-romains, ils n’en continuent pas moins à pratiquer jusqu’à la dynastie carolingienne leur langue germanique d’origine : le francique.
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Le dernier combattant de la guerre 14-18 est mort

Le Britannique Claude Choules, dernier vétéran connu de la Première Guerre mondiale, est mort mercredi en Australie à l’âge de 110 ans, ultime témoin de l’un des conflits les plus meurtriers de l’histoire.

Né en 1901 à Wyre Piddle, dans les Midlands (centre), M. Choules avait menti sur son âge pour pouvoir s’engager à 14 ans dans la Royal Navy. Durant la Seconde Guerre mondiale, il avait combattu comme officier dans la marine australienne après avoir émigré en Australie en 1926. Il était demeuré dans la marine après la guerre, avant de terminer sa carrière dans la pêche.
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