La mascarade du Père Desbois

Le camp « exterminationniste » a accueilli, dans la joie et l’euphorie, l’arrivée du providentiel Père Desbois, bien décidé à prouver la réalité de l’extermination de 2 millions de juifs en Ukraine : la désormais célèbre « Shoah par balles ».
Une nouveauté fumeuse, qui vient comme renforcer la « Shoah » officielle et obligatoire et semble vouloir effacer le souvenir trop fragile du génocide certifié de 5 millions d’Ukrainiens par les « Soviétiques » en 1932-33.
L’homme, à la neutralité douteuse, continue de s’agiter et bénéficie d’une bienveillance médiatique continue.

Laissons un éminent spécialiste commenter son maître-ouvrage :

Il est connu qu’une tragédie peut s’achever en farce. Le Père Patrick Desbois est un sacré farceur, à la veste duquel Nicolas Sarkozy-Mallah vient d’agrafer le ruban de la Légion d’honneur.
Avec sa «Shoah par balles en Ukraine», le bon père qui, dans son enfance, plumait poulets et pigeons bressans de la «plumerie» familiale, vient opportunément nous fournir une illustration de ce que les autorités juives exercent une implacable censure. En matière de Shoah elles ont obtenu le renoncement à l’histoire et le recours obligé à la fantasmagorie religieuse, et cela jusqu’à la mascarade. De Patrick Desbois, il faut lire
Porteur de mémoires / Sur les traces de la Shoah par balles(Michel Lafon éd., Neuilly-sur-Seine, 2007, 335 p.) pour se rendre compte à quel degré de niaiserie la littérature holocaustique peut aujourd’hui descendre. (p. 227). Aucune source, aucune référence, aucun exemple. A supposer que, tel jour, lesdits SS aient ouvert trois fosses et brûlé mille corps, comment s’y prenaient-ils pour convertir ces trois fosses en un nombre de nuages et ces mille corps en hauteur de pluie?

Selon notre homme, dans les fosses où on les avait jetés et enterrés vivants ou morts ou au fond des puits où ils avaient été précipités, les juifs ont bougé, respiré ou crié pendant trois jours (p. 93, 124, 208, 298). Il s’agit là d’une impossibilité physique et biologique.

Une main de juif, sortant du sol, s’est accrochée, ici ou là, à la pelle d’un fossoyeur (p. 92-93, 102). Impossibilité de même nature que la précédente.

Les SS envoyaient en Allemagne des comptes rendus circonstanciés de leurs tueries mais «ils communiquaient par codes météorologiques avec Berlin: le nombre de nuages indiquait le nombre de fosses ouvertes et la hauteur de la pluie, le nombre des corps qu’ils avaient brûlés»

Afin de couvrir le bruit des fusillades, des paysans ont été recrutés pour taper sur des casseroles (p. 112, 192, 208). Un des villageois avait été réquisitionné pour jouer du tambour ukrainien chaque matin [de fusillade]» (p. 193). «Ils les fusillaient par cinq ou six. Les policiers, les gardes devaient frapper sur des seaux vides pour couvrir le bruit des tirs […] [Un musicien] a été plusieurs fois réquisitionné pour jouer du ‘buben’ [instrument de percussion en bois avec un cerceau et des pièces métalliques] pendant les exécutions» (p. 199). Si les Allemands voulaient couvrir le bruit des tirs, était-ce pour dissimuler ces constantes exécutions de juifs? En ce cas, ces sortes de concerts à répétition allaient au rebours de l’effet prétendument recherché: ils appelaient l’attention de tous sur ces exécutions.

«[Après chaque tir]. Nous étions trente jeunes filles ukrainiennes qui devaient, pieds nus, tasser les corps des Juifs et jeter une fine couche de sable dessus pour que les autres Juifs puissent s’allonger» (p. 115). Dans ce genre de massacres, les ventres explosent, la matière fécale gicle partout, l’odeur est insupportable et les corps tombent dans toutes les positions. Il serait impossible, même pour des gymnastes confirmés, d’aller marcher sur ces cadavres enchevêtrés sans glisser et tomber dans le sang et la matière fécale.

«[Un Ukrainien] cachait des Juifs pendant la guerre. Il en a caché beaucoup. Et chaque fois, il les tuait pendant la nuit. Il les étouffait avec des édredons. Quand ils étaient morts, il les dépouillait et transportait leurs corps dans la carrière pour les faire disparaître» (p. 306). Le Père Desbois ne cite que cet exemple d’étouffement systématique, mais il en fait un point culminant de son livre. La section où figure ce récit est intitulée, en gras, «La Shoah par étouffement» (p. 304) et elle se termine ainsi: «La Shoah par étouffement. Nous sommes bien loin de la centralisation de la Shoah, de son caractère industriel, de sa modernité. En Ukraine, il s’agit d’un carnage. On peut fusiller les gens sur un marché, au bord d’une falaise comme à Yalta, les emmurer comme à Sataniv ou bien les étouffer avec des coussins la nuit» (p. 307). Combien d’étouffés? Combien d’édredons ou de coussins? Combien de transports de cadavres vers la carrière? Comment le criminel s’appelait-il? Quel est le nom du témoin? De ce dernier nous savons seulement qu’il porte «une veste marron, assez classique dans les anciennes républiques socialistes» (p. 304-305).

L’Ukraine, qui a connu l’un des plus grands conflits du dernier siècle, est jonchée de balles et de douilles. Or, dès qu’il découvre une douille allemande, notre père enquêteur en déduit que cela fait un juif de tué: «Trois cents douilles, trois cents balles, trois cents personnes exécutées ici» (p. 77). «Ce jour-là, au restaurant, nous avons compté six cents douilles […], toutes ces douilles qui sont autant de preuves de cette Shoah par balles» (p. 79).


La présence de douilles confirme la localisation des fosses !

Il décrète aussi, d’après tel «témoignage», que tel coin du paysage visité recèle tant de fosses avec tant de cadavres. Aucune fosse n’est ouverte (p. 84). Il n’y a donc aucune expertise, aucun décompte. Un rabbin le lui a expliqué: «Il a été statué que les Juifs assassinés par le IIIe Reich étaient des tsaquidim, des ‘saints’ et que la plénitude de la vie éternelle leur était accordée. En ce sens leurs sépultures […] doivent être laissées intactes afin de ne pas déranger leur quiétude» (p. 186). Vers la fin du livre, le lecteur s’attend toutefois à ce que, par exception, l’ouverture de fosses à Busk (ou Bousk) donne lieu à une expertise (comme ce fut le cas, par exemple, à Katyn pendant la guerre, du fait des Allemands et de diverses commissions d’experts non allemands). Point du tout: «Il est impossible de mener une expertise classique [à Busk comme ailleurs] car nous devons respecter les règles juives et ne bouger aucun os» (p. 261). L’affirmation est fausse: en cas de crime, l’exhumation et l’examen des corps sont autorisés par la loi juive.

Les découvertes du Père Desbois, ancien «supérieur de séminaire du Prado à Lyon» (p. 34) ressemblent fort à celles de l’Abbé Georges Hénocque, ancien aumônier de Saint-Cyr, qui, en 1947, décrivait avec un grand luxe de détails une chambre à gaz homicide de Buchenwald, qui n’avait, en fait, jamais existé. L’abbé, qui a donné son nom à une place de Paris, avait tout inventé de cet abattoir chimique, y compris ses «quatre boutons, placés l’un au-dessous de l’autre: un rouge, un jaune, un vert, un blanc» (R. Faurisson, Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire, La Vieille Taupe, 1980, p. 181-195).

[Les prêtres n’ont pas plus accumulé de « mensonges pieux » que les professeurs d’histoire ou les médecins mais il se trouve que la littérature holocaustique s’est normalement montrée friande de «témoignages» émanant de personnes réputées sûres et sérieuses.]

Dans ses «remerciements», Patrick Desbois exprime sa reconnaissance au ban et à l’arrière‑ban des autorités religieuses et civiles qui l’ont soutenu de cent manières, et notamment financière, dans son entreprise. Il nomme le cardinal Lustiger, Mgr Vingt-Trois, le cardinal Ricard, Simone Veil, des autorités rabbiniques, Serge et Beate Klarsfeld, le Congrès juif mondial, le président du CRIF, la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, le Centre de documentation juive contemporaine de Paris, de multiples musées et centres de recherche en France et à l’étranger, ainsi que des historiens.

[Propos censuré]

Nos journalistes se taisent devant une si manifeste imposture qui, en l’espèce, vaut largement celles de Wilkomirski ou de «la fille aux loups». Mais, par les temps qui courent, l’emprise des autorités juives, la censure officielle et l’autocensure sont telles que les journalistes n’osent plus bouger d’un cil. Les récentes mésaventures d’Edgar Morin, d’Alain Ménargues, de Charles Enderlin, de Dieudonné, de Siné, de Jean-Marie Bigard leur sont comme autant d’avertissements.

Robert Faurisson (source)

10 commentaires concernant l'article “La mascarade du Père Desbois”

  1. Je vous invite a lire mon prochain livre : « La Shoah par pilum » (a paraître bientôt) où vous découvrirez que ces ces méchants romains ont fait un holocauste de 750 millions de pauvres et gentils juifs lors que la conquête de la Palestine par le général Gnaeus Pompeius Magnus.

  2. Il faut absolument aller lire les témoignages que Desbois met en ligne sur son site… c’est délicieux! il rend un grand service aux révisionnistes!

    C’est dans le genre:
    -Le témoin: « ils » ont emmené tous les Juifs et « ils » les ont tué.
    – Desbois: L’avez vous vu?
    – Le témoin: Non, j’étais à la maison
    – Desbois: Mais avez vous entendu quelque chose?
    – Le témoin: Non, « ils » étaient trop loin.
    – Desbois: Comment alors connaissez vous l’existence de ce massacre?
    – Le témoin: « on » me l’a dit.
    РDesbois: Merci de votre t̩moignage.

    La palme revient quand même à un témoin un certain Anton DAVIDOVSKI agé de… 62 ans en 2006, mais qui affirme se souvenir avoir « vu de ses propres yeux » (je le cite) de massacres en 43 ou 44 alors qu’il n’avait même pas deux ans!

  3. Il a une tete á aimer les petits z´enfants …il aurait 1/4 de sang au moins du peuple zélu que cela ne m´étonnerais pas…

  4. En tous cas jai entendu dire que quand se pointait la perspective de déterrer les morts à des fins de comptage et d’analyse génétique les rabbins s’y opposèrent sous prétexte que la religion juive considère cela comme une profanation (pour Jedwabne ce fut pareil .)

    Du coup ils donnent les chiffres qui leur chantent .

    De plus ,pour ce qui concerne les charniers, dans les années 30 s’est déroulé un véritable génocide des Ukrainiens :5 millions de morts suite à la famine organisée par les bolcheviks ; pour ces morts les charniers abondent souvent encore cachés et non répertoriés.

    Seule une analyse génétique distinguerait les charniers juifs des charniers ukrainiens .

    Ne serait-ce pas la vrai raison pour la quelle la synagogue refuse qu’on sache ?

  5. Depuis lors 1945, il y a beaucoup plus de juifs morts qu’on le dit… la vie est mortelle! Conséquence de la shoa divine, qui précipite ces âmes en enfer?

  6. @Domremy
    Effectivement, il a été négocié avec les rabbins que Desbois s’arrêterait de creuser aux premiers indices confirmant la présence de corps. A cause -ou plutôt « grace à« – de la loi juive il ne peut y avoir d’analyses ADN effectuées. Cerise sur le gâteau, chaque fois qu’une fosse est découverte, les rabbins ont demandé à ce que celle-ci soit scellée par une dalle de béton.

    Il faut ajouter à cela que les Ukrainiens accueillirent les Allemands en libérateurs et que quand les Soviétiques sont revenus dans la région après le départ des Nazis, ils ont passé par les armes quelques centaines de milliers d’Ukrainiens.

    De plus, il ne faut pas oublier que toutes les populations locales étaient franchement judéophobes et qu’ils ont dû régler pas mal de comptes… tout en mettant leurs forfaits sur le dos des Allemands.

    Mr Desbois admet lui même qu’il ne sait pas vraiment ce qu’il y a dans ces « fosses communes ». Il se réfère à la présence de douilles qu’il prétend allemandes. Là encore les avis sont partagés car les douilles trouvées sont en cuivre alors que les Allemands, du fait des pénuries de métaux, fabriquaient à cette époque leurs munitions avec des alliages métalliques qui n’étaient plus du cuivre.

  7. Bon, bon…
    Et ils sont passé où alors ? tous ces juifs qui peuplaient les Shtetls de l’est ?
    Au Club Med ? sur la planète Mars ??

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