« 1951-2011 : qu’ont-ils fait de la France du Maréchal ? »

Il y a soixante ans exactement, le Maréchal Pétain s’éteignait et se tournait symboliquement la page d’une certaine France…
« Le plus vieux prisonnier du monde » condamné très iniquement pour avoir tenté, dans des circonstances particulièrement difficiles, de sauver la France vaincue et de redresser le pays – appuyé sur la doctrine nationaliste -, rendait l’âme après des années de tribulations, d’humilitation et de trahisons qu’il souffrit stoïquement.

Ci-dessous, un article du directeur de Rivarol (dans le numéro en cours), au mépris du politiquement correct.

Le lundi 23 juillet 1951 s’éteignait Philippe Pétain. Six ans jour pour jour après le début de son procès devant la Haute Cour de justice (ou plutôt d’injustice). Six décennies se sont écoulées. Et l’on n’a toujours pas réhabilité le Maréchal. Ses cendres n’ont toujours pas été transférées à Douaumont. Au contraire, ces dernières années la situation s’est considérablement aggravée. Les dernières rues qui portaient encore le nom du Vainqueur de Verdun dans quelques rares villages de France ont été débaptisées l’an dernier. Le portrait du Maréchal qui figurait au même titre que tous les autres chefs d’Etat français, entre Albert Lebrun et Vincent Auriol, dans la salle des mariages d’une humble mairie du Calvados a également été décroché, le préfet aux ordres de la LICRA exigeant, comminatoire, que le maire s’exécute. Cet épisode est le dénouement d’une longue escalade. En effet auparavant François Mitterrand qui fleurissait chaque 11-Novembre la tombe du Maréchal a dû y renoncer en 1993 devant les pressions du lobby auquel rien ni personne n’ose plus résister. De grands procès qui rappellent à bien des égards ceux de l’Epuration n’ont eu de cesse d’alimenter la chronique judiciaire : ceux de Klaus Barbie, du milicien Paul Touvier, puis du haut fonctionnaire Maurice Papon, longtemps le plus vieux prisonnier de France comme le Maréchal fut le plus vieux prisonnier du monde. Car la haine ne recule ni devant l’âge ni devant la maladie. René Bousquet fut, lui, sauvagement assassiné à son domicile parisien par un déséquilibré qui croyait ainsi s’acheter un brevet de Résistance. Chaque semaine plusieurs émissions de télévision et de radio ressassent le discours convenu sur l’Occupation et sur Vichy. Et la France a été jugée officiellement coupable de complicité de crime contre l’humanité par ses plus hauts dirigeants, Jacques Chirac en1995 et Lionel Jospin en1997. Elle doit expier ses fautes, faire repentance. Et sans cesse donner des gages. La religion de la Shoah s’est substituée à la religion de la patrie.

UNE INJUSTICE QUI CONTINUE

Dans ce règne du mensonge et de l’imposture, le Maréchal Pétain doit être considéré comme un traître. Ainsi le serinent les media. Ainsi le répètent les manuels. Car si le personnage de LouisXVI a été en partie réhabilité, il n’en va pas de même de Philippe Pétain. Parce qu’il s’agit d’un passé plus récent et que les passions ne se sont donc pas encore apaisées? Peut-être. Mais surtout parce que le régime que nous subissons depuis 1945 tire sa légitimité de la disqualification politique, morale, intellectuelle et judiciaire du pétainisme et ne reconnaît donc aucun mérite au Maréchal. Au contraire. Plus ce régime s’enfonce dans le scandale, plus il manifeste sa nocivité, sa malfaisance intrinsèque, plus il éprouve le besoin de diaboliser la personne, l’action et la pensée du Maréchal. C’est pour lui une question de survie. Il doit sans cesse réactiver la haine dont il est sorti et qui le fait vivre.

Et logiquement la diabolisation de Philippe Pétain s’étend jusqu’aux valeurs qu’il a affirmées, jusqu’aux principes qu’il a fait siens. De sorte que quiconque entend défendre la patrie, exalter le travail, honorer la famille, promouvoir la religion est aussitôt traité de pétainiste. C’est-à-dire dans le langage médiatique de complice des nazis et de la solution finale. C’est ainsi que le régime en place installe une terreur intellectuelle qui compromet toute renaissance nationale. Alors que l’action menée pendant quatre ans par le Maréchal reste à bien des égards un modèle.

TRAVAIL, FAMILLE, PATRIE

Il n’est en effet pas difficile de voir où nous ont conduits ceux qui ont pris l’exact contre-pied de ce qu’a tenté l’Etat français de1940 à1944.

Le Maréchal avait honoré le travail, en avait rappelé dans ses discours l’éminente dignité. C’est, disait-il, «le moyen le plus noble et le plus digne que nous ayons de devenir maîtres de notre sort ». La Révolution nationale était inséparable dans son esprit de la Révolution sociale. Aussi la Charte du travail définissait-elle, dans une perspective neuve et hardie, les rapports entre patrons et salariés dans la communauté de l’entreprise, en rejetant à la fois le dogme ruineux de la lutte des classes et le dévergondage d’un libéralisme incontrôlé. Vichy institua le 1er-Mai fête du travail et des travailleurs afin d’œuvrer à «l’union et à l’amitié » de tous les Français. Or, après soixante-sept ans de régime gaullo-communiste, qui a encore l’amour du travail bien fait ? Les gazettes sont pleines d’articles faisant l’éloge de la paresse. L’on a réduit le travail à trente-cinq heures, on parle de le ramener à trente. En attendant mieux… On encourage les gens à ne pas travailler. En multipliant des aides et des allocations distribuées sans discernement ni contrôle. En prélevant sur les revenus des sommes telles qu’on décourage l’effort et qu’on tue l’initiative. En permettant aux gens de gagner facilement des gains substantiels grâce à des jeux qui ne cessent de croître en nombre et en imbécillité : « Voulez-vous gagner des millions?», tel est significativement le titre d’une émission de télévision. Or, la civilisation de loisirs n’a jamais rien créé. Elle est un signe de décadence.

Le Maréchal avait promu la famille. En créant la Fête des Mères. En encourageant moralement et matériellement les familles nombreuses. Le fameux baby boom n’a-t-il pas commencé sous son régime ? C’est que, disait le chef de l’Etat, «l’individu n’existe que par la famille dont il reçoit avec la vie, tous les moyens de vivre». Et, ajoutait-il, « les époques où l’individualisme a fait loi sont celles qui comptent le moins d’individualités véritables ». Que ne dirait-il aujourd’hui, alors que l’institution familiale est parodiée, éclatée, décomposée, recomposée, que s’élabore un nouveau droit de la famille ouvert à toutes les perversions, à toutes les excentricités, que l’on introduit très officiellement dans l’enseignement dès la rentrée scolaire 2011 la folle théorie des gender selon laquelle l’identité sexuelle est librement choisie par l’individu ? A quoi sert-il à l’homme grâce aux techniques nouvelles de fabriquer la vie s’il en a perdu le sens? On a fait croire qu’il était obsolète de parler d’engagement, de parole donnée, de fidélité, de loyauté, d’honneur, d’effort, de dévouement et de sacrifice. Moyennant quoi on a précipité le malheur des gens: dépressions, drogue, divorces, suicides, actes de barbarie sans nombre, tels sont les fruits amers de la perte des valeurs et des repères les plus élémentaires.

Le Maréchal avait défendu la patrie. Qui l’a mieux aimée, qui l’a plus servie que lui? Et qui en a été aussi peu, aussi mal récompensé? Car il n’avait pas besoin de se faire comme De Gaulle «une certaine idée de la France», il l’aimait charnellement. Intensément. Il en aimait les routes. Ah ces routes du pays d’Artois mystérieuses, changeantes, pleines du pas des hommes! Ce fils de paysans aimait la terre de France, il aimait les paysages, les forêts, les coteaux de notre pays. Il en aimait les gens. D’où sa volonté d’économiser les vies humaines lors de la Première Guerre mondiale. D’où son souci constant d’améliorer les conditions de vie de ses chers Poilus. En ne laissant rien au hasard. En veillant à la qualité de la cuisine, de l’hygiène. En remontant le moral des troupes. Car à la différence d’un général de brigade à titre temporaire, il n’a jamais désespéré des Français; il ne les a jamais traités de « veaux »; même lorsqu’à son retour en France en avril1945 bien peu de nos compatriotes sont venus le soutenir, lui dire leur sympathie, leur gratitude; que restait-il alors des quelque cinq cent mille Parisiens qui s’étaient pressés pour l’acclamer quelques mois plus tôt? Même quand il fut abandonné de (presque) tous, il n’a jamais douté de son peuple, ne l’a jamais méprisé.

LA LIQUIDATION DE SON HÉRITAGE

Qui peut sérieusement douter que le Maréchal ait servi au mieux les intérêts de la France, qu’il ait essayé d’adoucir au maximum les souffrances de ses compatriotes dans des conditions extrêmement difficiles? Un court instant, il a même réussi ce miracle de rassembler autour de sa personne et de son action tous les Français, eux si naturellement enclins aux divisions et aux discordes. L’ambition et l’orgueil de quelques-uns, les aléas de la guerre, les passions humaines n’ont hélas pas permis de maintenir une unité nationale qui ne s’est toujours pas reconstituée depuis lors.

Ses successeurs à la tête de l’Etat ont bradé son héritage sans vergogne ni remords de conscience. Le drapeau national qu’il avait maintenu malgré les contraintes de la défaite et de l’Occupation, et qui figurait autrefois dans tous les dictionnaires à la première place est désormais relégué à la soixantième entre la Finlande et le Gabon tandis que l’emblème européiste à douze étoiles occupe le premier rang du protocole. L’empire colonial qu’il avait maintenu intact a été démembré, dépecé dix ans à peine après sa mort par celui-là même qui l’accusait d’avoir trahi les intérêts français. Le Maréchal laissait une France française (lorsque les actualités de l’époque nous montrent les voyages du chef de l’Etat français en province, l’on observe des gens de tous âges, de toutes conditions, mais tous de race blanche !); aujourd’hui elle est métissée, mélanisée, défigurée. Et elle s’est aussi américanisée en même temps que marxisée, tout à la fois laïcisée et islamisée… S’il n’est plus d’armée étrangère qui occupe militairement notre pays, il est d’autres formes d’occupation. Plus insidieuses, plus redoutables. Celle d’une immigration de masse qui en détruit la substance corporelle, culturelle et spirituelle. Celle d’une idéologie mortifère qui promeut le désordre, qui exhorte à la haine et qui ne se complaît que dans le vice, la laideur et la destruction. Et si la France n’a pas connu récemment de grandes défaites militaires, il est d’autres défaites. Plus pernicieuses, plus angoissantes encore. Celles qui consistent à abdiquer son idéal de grandeur et de générosité, à ne plus croire en son destin, à ne plus avoir la force de haïr « ces mensonges qui nous ont fait tant de mal ».

Le Maréchal laissait une jeunesse belle, fière et ardente qu’il avait contribué à éduquer à travers les Chantiers de jeunesse, Uriage, les Centres de jeunes travailleurs. Il disait de l’école française qu’elle ne devait plus « prétendre à la neutralité». Car, ajoutait-il, «la vie n’est pas neutre ; elle consiste à prendre parti hardiment. Il n’y a pas de neutralité possible entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal, entre la santé et la maladie, entre l’ordre et le désordre, entre la France et l’Anti-France». Les puissants qui nous gouvernent ont compris le danger que pouvait représenter une jeunesse croyant en un idéal. Alors ils ont fait tout ce qui était possible pour l’avilir, la pervertir. Par l’étalage nauséabond de la pornographie. Par la promotion de toutes les déviances. Par la diffusion de la drogue. Par une école et des media qui lui apprennent la haine de la France, l’oubli de son passé, de ses racines.

L’ESPÉRANCE SUR LES RUINES

Et pourtant, aussi bas que nous soyons tombés, il ne faut pas perdre l’espérance. La France est un miracle permanent. Combien de fois a-t-elle été menacée dans son existence, dans sa pérennité ? Elle s’est aussitôt relevée. Il y eut toujours une sainte Geneviève, une sainte Jeanne d’Arc pour inverser le cours de son histoire et redresser une situation apparemment désespérée. Et en juin40 il y eut un maréchal de France pour indiquer la voie de l’espérance après que notre pays eut connu la plus grande défaite militaire de l’histoire avec ses cent-vingt mille morts et ses deux millions de prisonniers en quelques mois. Sans doute ne voyons-nous pas trop comment serait désormais réalisable une résurrection nationale. Or, s’il nous est donné de vivre à ce stade de l’histoire de notre pays, de notre continent, de notre civilisation, cela a forcément un sens. Le sacrifice du Maréchal ne peut pas avoir été tout à fait vain. Il n’est pas totalement impossible qu’à l’occasion d’une grande catastrophe comme celle de 1940 les Français (ou du moins certains d’entre eux) se réveillent enfin de leur léthargie, prennent conscience de leur avilissement. Et quand bien même cela ne se produirait-il pas il faut croire que subsistera toujours une petite minorité de Français lucides, courageux, inaccessibles au découragement. Là réside toute notre espérance.

De cette vertu théologale nous savons avec Péguy qu’elle est cette « petite fille qui marche entre ses deux sœurs aînées la Foi et la Charité», avec Bernanos qu’elle est « un désespoir surmonté », qu’elle «est au pied de la Croix sous la garde des saints». Et s’il est vrai que comme le dit l’Apôtre il faut « espérer contre l’espérance même», alors nous l’empoignerons à pleines mains, priant le Maréchal de nous aider à demeurer fidèle à son exemple, à son message, à sa mémoire (car nous aussi nous avons un devoir de mémoire!) Que de la patrie céleste où, n’en doutons pas, lui sont enfin rendues la justice et la gloire que lui a refusées sa patrie terrestre, il veille avec toute la cohorte des soldats, des saints, des héros et des martyrs sur notre malheureux pays aujourd’hui humilié et trahi ! Qui sait si son intercession ne permettra pas un jour à la France souffrante de redevenir la France triomphante ?

Jérôme Bourbon
Source : le blog Rivarol

20 commentaires concernant l'article “« 1951-2011 : qu’ont-ils fait de la France du Maréchal ? »”

  1. La Sainte Vierge nous a laissé une énigme en indiquant qu’un des 2 personnages avait fortement démérité en fin de carrière: qui des 2, Pétain ou De Gaulle ?…
    Pétain pensait que le Grand Monarque serait de son temps, puisque Hitler avait contacté l’ héritier du trône de France Naundorff en Hollande, où résidait aussi Guillaume 2, pour lui proposer le trône de France (bien sûr sous tutelle germanique): ce dernier après réflexion refusa en fût le chef de la résistance hollandaise. D’où ce chant « Maréchal nous voilà, voici le Sauveur de la France », lequel Sauveur ne s’applique pas à lui mais à Naundorff (descendant de Louis XVII qui n’est pas mort au Temple comme indiqué par Mélanie Calvat bergère de La Salette suite à un message marial le confirmant en la personne de Naundorff ainsi que Martin de Gallardon par St Raphaël Archange). Pie XII et Pétain ne voulainet pas la défaite de l’Allemagne car ils savaient que c’en serait fini de l’Europe chrétienne et que nous sombrerions dans l’hédonisme, le matérialisme, la puissance de Mamon anglo-saxonne, d’insipration judéo-maçonnique et R+C; ils voulaient donc une rapide victoire à l’est contre l’URSS (la bête qui monte de la terre, l’étoile rouge, satan) puis se retourner immédiatement contre les nazis avec l’aide de tous les chrétiens d’Europe (à Wannsee Heydrich a reconnu que fin 42, les nazis ne pilotaient pas complètement ni vraiment l’Allemagne et ce n’est qu’après Stalingrad qu’ils commencèrent, sachant la mission double d’Hitler au profit des USA, Rockefeller étant son ami et lui apparenté au Rothschild) et ensuite de vaincre la bête qui monte de la mer, l’étoile blanche, lucifer, les USA. A Marienfried, près d’Ulm, Notre-Dame a annoncé en 1940 que l’étoile fera la guerre à mon signe c.à.d la blanche et la rouge à la croix de combat allemande, celle de l’Ordre des chevaliers de Sainte Marie des Allemands, trahie et coiffée par la swastiska dont Pie XI disait « non merci nous n’avons pas besoin d’une autre croix » en 1938… CQFD (l’Allemagne fut en outre favorisée de très nombreuses apparitions mariales avant et durant toute cette guerre satanique)

  2. Comme a l’accoutumé un article sans concession!!

    Pour moi Verdunois pur jus, habitant à deux pas de l’ancienne place « Maréchal Pétain » rebaptisée il y a longtemps déjà place de la « libération »(libéré de qui de quoi???) je ne peut qu’approuver cet article.

    Mais le plus important je pense est le dernier paragraphe.

    L’espérance doit être notre!

  3.  » L’on a réduit le travail à trente-cinq heures, on parle de le ramener à trente. En attendant mieux… On encourage les gens à ne pas travailler. En multipliant des aides et des allocations distribuées sans discernement ni contrôle. En prélevant sur les revenus des sommes telles qu’on décourage l’effort et qu’on tue l’initiative.  »

    Il veut revenir sur les trente-cinq heures ? Qu’ils commencent donc par doubler le SMIC ! Quand on fait un métier aussi passionnant que celui de rédacteur en chef de Rivarol, normal qu’on se laisse aller à autant de légèreté sur ce sujet ! Mais ceux qui triment dans des métiers exténuants et dégradants pour le SMIC horaire seront pas du même avis !

    Le fonctionnement de la vie en entreprise est au contraire rationalisé à l’extrême pour que les employés soient les plus rentables possible – et qu’importent leurs états d’âme. Et ça marche, puisque les français sont parmi les champions du monde de la productivité horaire : http://www.lesmotsontunsens.com/francais-champions-monde-productivite-5260

    En revanche, la publicité, les journaux, les médiats et la « culture » font l’apologie de la consommation transgressive et de l’hédonisme – donc du moindre effort.

    Sauf que concrètement, les producteurs (ceux qui doivent trimer) et les consommateurs (ceux qu’on tente et dont on flatte les aspects les plus bas) sont, grosso modo, les mêmes personnes… On est simplement en face d’une contradiction dialectique qui exprime les intérêts de l’hyperclasse oligarchique… Les seuls qui pourront réellement consommer et paresser sans travailler, ce sont ceux-là et seulement ceux-là.

    En attendant ce couplet a des accents « bourgeoisie louis-philipparde » absolument détestables.

  4. Le 10 février 1941, le Maréchal Pétain signe le décret restituant les sanctuaires de Lourdes à l’Evéché de Tarbes spoliés et volés par les lois iniques de la république.
    Le 10 février est le jour où Louis XIII a consacré la France à la Sainte Vierge.

  5. @Black-Flag-and-Friends: je, suis d’origine allemande et frnaçaise et c’est tout vérifié… A qui a profité le crime? L’URSS n’a jamais été inquiétée par Katyn, ou du fait qu’elle ait envahi des territoires non rendus à ce jour, au titre du pacte germano-soviétique, conjointement avec le Reich la Pologne, alors qu’il s’agissait de territoires purement allemands pour ces derniers confisqués après 14-18 (couloir de Dantzig= terres teutoniques, sorte d’Alsace-Lorraine) sans compter les milliers d’enfants martyrs du Lamsdorf à cause du génocidaire Churchill qui préconisait de dégermaniser de force les dites régions… ce que les Polonais ont fait sans sourciller après mai 45 durant 10 ans. Pour en revenir à Pétain, il a eu cette phrase mémorable après le 06/06/44, « Français, cette guerre n’est pas la vôtre, je vous demande de ne pas intervenir »: quel bel aspect visionnaire…

  6. Soixantième anniversaire de la mort du Maréchal Pétain. Aujourd’hui j’ai allumé un cierge au pied de la statue de Sainte Jeanne d’Arc dans l’église de mon village pour commémorer la mort de ce grand homme.

    Comme le Maréchal Pétain je ne suis pas particulièrement croyant et pratiquant, mais comme Charles Maurras je reste persuadé qu’une force supérieur à l’Homme nous accompagne au cours de notre existence.

  7. @CVV :
    je serais intéréssé également par les sources concernant le message de La Sainte Vierge sur les deux personnages
    « …qu’un des 2 personnages avait fortement démérité en fin de carrière… »
    , ainsi que le message de la sallette : « …descendant de Louis XVII qui n’est pas mort au Temple comme indiqué par Mélanie Calvat bergère de La Salette … »

    merci
    sinon, je croyais Petain athée contrairement à de Gaulle

    cordialement

  8. Le parfait bouc-émissaire qui a hérité des imbécilités du régime précédent, sans y avoir pris part, et qui a payé le fait d,avoir sauvé les meubles avec une situation qui le dépassait.

    Avoir remis debout un pays complètement sonné par une défaite sans précédent et complètement desorganisé économiquement n’est quand même pas à la portée du premier pégus venu.

  9. @winprout: pour ce qui est du message marial « un des 2 a démérité à la fin », je n’ai plus la référence mais c’est un message soit à Jeanne-Louis Ramonet, Mère Yvonne-Aimée de Jésus de Malestroit, honnêtement, je l’ai lu, cela m’avait surpris n’étant ni pétainiste ni gaulliste, l’apparition était certaine, mais à l’époque je n’ai retenu que le message énigmatique: si quelqu’un l’a lu et se souvient de quelle apparition il s’agit, grand merci !
    Pour ce qui est de Louis XVII là ce sont les apparitions de St Raphaël archange à Martin de Gallardon, simple paysan, père de famille (il y a un livre chez DFT ou DPF à ce sujet), qui lui ont demandé de voir Louis XVIII et le futur Charles X pour leur indiquer que Louis XVIII avait usurpé le trône de son neveu Louis XVII alias Naundorff: l’archange parlant ensuite par la bouche de Martin a indiqué à Louis XVIII qu’il avait tenté de tuer 2 fois son frère Louis XVI et lui en a révélé les circonstances inconnues des autres (parties de chasse à Versailles); Martin lui a fait savoir que s’il avait un vrai sacre de roi, il mourrait lors de la cérémonie, il y eut donc un simulacre de sacre, ensuite Charles X voulut quand vint la succession redonner le trône à Naundorff mais un évêque français (nom?) lui a indiqué que cette fois il devrait monter sur le trône car son neveu avait perdu les usages français, parlait mal le français (à cause des traumas subis sous la Révolution) et ne serait donc pas accepté du peuple qui aimait encore l’Empereur ce qui s’est vu lors du retour de ses cendres et nourrissait un fort ressentiment anti-prussien, et comme Naundorff avait été protégé et abrité par la Prusse qui lui a fait changer de nom (= victoire « diplomatique » de la Reine Louise et des Teutoniques sur 1789 et Napoléon 1er d’où la « punition » au sortir de 1945, plus de Prusse), le Ciel demandait donc à Charles X de prendre le trône; ce dernier eût néanmoins un sacre avec un cérémonial incomplet à cause de la maçonnerie. Quant à Mélanie Calvat, il faut reprendre les travaux du marquis de La Franquerie qui la cite dans ses commentaires reconnus des messages ultérieurs à l’apparition de La Salette, elle qui ne voulait plus vivre et mourir en terre maçonnique française.
    La difficulté est d’amener la preuve de chaque lecture, d’en garder es références: pour ma part, j’en retiens l’idée principale… Louis XVII a survécu et a eu des descendants mais comme il a été dit à Marie-Julie Jahenny qu’aucun descendant direct mâle (loi salique) de celui qui a refusé le Sacré-Coeur (Louis XIV) ne régnerait à la fin, mais Mélanie Calvat de préciser que le Grand Monarque descendra bien de Louis XVII ce qui doit être par une femme et un homme de la vieille cape (Jean 1er le Posthume petit-fils de Philippe le Bel): Mme Royer confidente du Sacré-Coeur a indiqué: « sera-ce un roi? » et « je pensais qu’il était de St Louis ou de Louis XVI » ce qui semble idiot puisque Louis XVI descend de St Louis mais pas en branche aînée dite de la vieille cape… mystères de Dieu révélé sous peu, qui a fait dire à Marie-Julie Jahenny que ce roi n’était sous aucune lignée officielle ni officieuse (Naundorff) totalement inconnu de la maçonnerie qui le tuerait à coup sûr comme elle a exécuté Naundorff après plusieurs tentatives.

  10. Bravo à Jérome Bourbon pour cet excellent article, la défense de la mémoire et de l’oeuvre du Maréchal Pétain est une cause sacrée pour tous les nationalistes et les catholiques authentiques. Un jour viendra peut ètre ou sera brisé le carcan idéologique de mensonges qui sert à dénigrer et à calomnier ce grand homme. Qu’il repose en paix sachant qu’il y aura toujours des hommes et des femmes pour le défendre!

  11. Content de voir  » nous avons la même lecture RIVAROL  » un ami prof de Science Politique en Italie m’a révélé que RIVAROL était classé par les étudiant de Science Politique italien & Allemands contre le meilleur journaux de science Politique.

    Pour savoir ce qu’ils ont fait de la France, ben voyons, ils l’ont en 1945 et ils continue a l’épuré avec L’immigration/invation…

    Le Juifs endogame Emmanuel ToDD sur Oumma TV s’enthousiasmait en évoquant 25% de mariage mixtes

    La JACOBine fanatique ( son’etat fort) marine le Pen en remets une couche à France Soir elle souhaite l’arrivée de 10.000 immigrés légaux en Vrance, Ja Ja, alors… avec elle pas question de rapatriement d’allogène, ni de leur couper l’Argent Braguette….. (Aloc diverses & avariés)

    La Kosciusko Moriset déclare 25 % de la population d’origine immigrés est en situation de chomage; la priorité, c’est de leur trouver un boulot a eux elle la répété deux fois la phrase c’est de leur trouver…..

    Voila une chronique de la Vrance asservie, servie par RIVAROL

    Vive RIVAROL

    faite un geste brave gens, Abonnez vous Tél 01 53 34 97 97

    longue vie a RIVAROL

  12. @viking

    Concernant cette déclaration surprenante de Marine le Pen auriez vous des sources s’il vous plait?

  13. @ majesté

    Vrance Soir – ( france soir et RIVAROL page 5 bas de la colonne de gauche dans les dernières lignes

  14. @viking

    J’avais omis de lire cette entrevue, en effet elle parle de limiter à 10000 entrées par an l’immigration légale. Tout dépend de quel type d’immigrés elle veut parler, fermer le pays complètement me parait impossible de toute façon.

  15. Philippe Pétain… dernier roi de France.
    « Ma vie m’importe peu, j’ai fait à la France le don de ma personne ; c’est à cette minute suprême que mon sacrifice ne doit plus être mis en doute. »
    Respects.

  16. S’agissant de la defaite de juin 40 il conviendrait de s’interesser au rôle etrange tenu par le CEMA de l’epoque, le gal.Gamelin.
    Ce dernier s’etait dejà fait remarquer lorsque, ayant reçu l’ordre de son ministre de s’opposer à l’escouade allemande chargée de la remilitarisation de la Rhenanie, il a préféré desobeir…
    A l’occasion de la traversée « surprise » des colonnes blindées de la Wehrmacht on a préféré s’extasier sur le genie du plan de Manstein plutôt que de reveler que Gamelin etait tenu au courant heure par heure de l’avancée des panzers…
    Sachant que sans cette percée la victoire allemande etait impossible compte-tenu du rapport des forces en presence et de l’invul nerabilité de la ligne Maginot (les italiens en savent quelque chose)

    La question est : pour qui travaillait le general Gamelin ? serait-ce pour l’Angleterre dont les banques avaient financé l’arrivée au pouvoir du fuhrer afin qu’il detruise le communisme sovietique et qui avaient été prises à contre-pied par le pacte germano-sovietique ?

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