Dans Le Parisien, Marc Ayrault répondait hier aux questions des lecteurs. Alors que l’un d’eux l’interrogeait sur la durée du temps de travail et un retour éventuel au 39 heures, le premier ministre répond : « Mais pourquoi pas ? Il n’y a pas de sujet tabou. Je ne suis pas dogmatique. La seule chose qui me préoccupe, c’est que la France est en panne, et il faut que l’on redémarre le moteur, à fond. »
Une bombe atomique ? Non, semble-t-il. Car sur France Info ce matin, le premier ministre dément toute volonté du gouvernement de revenir au 35 heures : « Un lecteur du Parisien me pose cette question (sur les 39h). Je dis qu’il n’y a pas de sujet tabou. Simplement ce n’est pas le point de vue du gouvernement. Il n’est pas question de revenir sur les 35H parce que ce n’est pas la cause de nos difficultés ».
Alors, nouvelle bourde du premier ministre ? Michel Sapin assure que non. Invité de RTL ce matin, le ministre du travail déclare à Jean-Michel Aphatie : « Vous interprétez ce que dit le Premier ministre, lisez l’ensemble de l’interview. (…) Il dit, le sujet n’est pas tabou : la preuve, nous venons d’en discuter entre nous. »
Bref, chacun jugera…
En 2000, l’exposition « Présumés innocents. L’art contemporain et l’enfance », organisée par le musée d’art contemporain de Bordeaux, présentait 200 photographies, vidéos et autres montages foireux.
La légalisation du « métier » d’assistant sexuel (sic) est le nouveau combat de nos pseudos philanthropes bobos français.
Certaines enseignes refusent en effet les chèques de clients qui n’habitent pas à proximité du magasin ou dans des zones réputées sensibles, souligne ainsi mardi Le Parisien. Le quotidien prend pour exemple un magasin Conforama de la Patte d’oie, une vaste zone commerciale située dans le Val d’Oise. Depuis quelques jours, l’enseigne réserve le paiement par chèque aux clients du département ou des Yvelines voisines. Interrogée par Europe 1, la direction du Conforama a justifié son choix en s’appuyant sur des statistiques. Selon les chiffres de la firme, les clients « hors-zone » sont cinq fois plus nombreux à laisser des chèques impayés. L’entreprise a par conséquent pris des mesures destinées à canaliser de telles dérives.