Dolce & Gabbana provoque la fureur des LGBT en se prononçant contre le « mariage » homo et la GPA

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Sir Elton John vient d’appeler au boycott des couturiers et parfumeurs Dolce & Gabbana qui ont récusé l’idée du « mariage » homosexuel en dénonçant également les aberrations qui l’accompagnent : la GPA (gestation pour autrui) et la procréation artificielle.

L’ancien « couple » star a déclaré à la revue italienne Panorama :

« La seule famille est la famille traditionnelle. Non aux enfants chimiques : la vie a un parcours naturel, ce sont des choses qu’il ne faut pas modifier ». Dolce : « J’appelle les enfants de la chimie des enfants synthétiques : les utérus à louer, le sperme choisi sur catalogue… La procréation doit être un acte d’amour. » Gabbana ajoute : « La famille n’est pas une mode passagère, c’est un sentiment d’appartenance ». Les deux hommes ont même lancé un appel aux plus jeunes :  « On ne vit pas de ce qui est “cool”, de la mode et des applis : cette génération a peur d’investir sur ses affections. »

Ces déclarations qui ont provoqué un tollé parmi les associations LGBT avaient été faites à la fin du dernier défilé des stylistes à Milan pendant lequel les top models étaient présentées comme mamans, portant leur propre bébé ou enceintes.

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C’est un grand jour pour les pédophiles

En 2000, l’exposition « Présumés innocents. L’art contemporain et l’enfance », organisée par le musée d’art contemporain de Bordeaux, présentait 200 photographies, vidéos et autres montages foireux.
Selon le Parisien : « Certaines Å“uvres quelque peu transgressives ou représentant des enfants nus avaient choqué l’association catholique de protection de l’enfance La Mouette ». Si les journalistes parlent « d’oeuvres quelque peu transgressives », on n’a pas de mal à imaginer à quel point elles devaient être choquantes. Annie Gourgue, présidente de l’association « La Mouette », porte plainte contre le directeur des musées de Bordeaux, Henry-Claude Cousseau, et les deux commissaires de l’exposition, pour « diffusion de message violent, pornographique ou contraire à la dignité accessible à un mineur » et « diffusion de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique ». Après 10 ans de combat juridique, la cour de cassation a rendu définitif le non-lieu. Me Richard Malka, avocat de Henry-Claude Cousseau (actuellement directeur des Beaux Arts de Paris), jubile : « c’est une défaite salutaire des ligues de vertu, qui avaient malheureusement trouvé un écho auprès d’un juge d’instruction et qui ont tenté d’imposer leur vision névrotique de la sexualité à une société dans son ensemble, en assimilant art et pornographie. »
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