Détente : trouvez l’intrus !

En page 8 du Journal Du Dimanche du 18 décembre, il y a une photo de François Hollande en déplacement à Rome (avec ses domestiques et des journalistes). Mais un intrus s’est glissé sur la photo. A vous de le trouver.

(cliquez sur l’image pour l’agrandir)

« J’ai vu Chirac et Villepin compter les billets »

Nouveaux scandales en vue pour la République…
L’avocat Robert Bourgi, successeur de Jacques Foccart, révèle vingt-cinq ans de pratiques occultes sous Chirac. Pour la première fois, un homme avoue des financements occultes en provenance d’Afrique.
« C’était toujours le soir. « Il y a du lourd? » demandait Chirac quand j’entrais dans le bureau. Il m’installait sur un des grands fauteuils bleus et me proposait toujours une bière. Moi qui n’aime pas la bière, je m’y suis mis. Il prenait le sac et se dirigeait vers le meuble vitré au fond de son bureau et rangeait lui-même les liasses. Il n’y avait jamais moins de 5 millions de francs. Cela pouvait aller jusqu’à 15 millions. Je me souviens de la première remise de fonds en présence de Villepin. »
Extrait de l’entretien au JDD visible ici.

Les gros financiers du CAC 40 échappent souvent à l’impôt !

Une entreprise sur quatre n’a pas payé d’impôt en 2009. C’est ce que révèle une enquête du Journal du dimanche, publiée dans son édition de dimanche.

«Le champion français des profits, Total, ne paie pas d’impôts sur les bénéfices en France. Pas plus que Danone ou Suez Environnement ainsi qu’une poignée d’autres très grandes entreprises», détaille le quotidien.

Pour cela, les entreprises utilisent souvent des astuces légales.

En octobre dernier, le Conseil des prélèvements obligatoires notait dans un rapport à la Cour des Comptes une «augmentation constante du nombre de dépenses fiscales applicables aux entreprises», en particulier «sensible sur la période 2002 – 2010».
Et chiffrait le coût global de ces mesures à 71,3 milliards d’euros en 2010, contre 66,3 milliards en 2009 et seulement 19,5 milliards en 2005. Une bien mauvaise nouvelle pour l’Etat, dont l’impôt sur les sociétés est la troisième recette.
Ce sont particulièrement les entreprises du CAC 40 qui en bénéficient : elles sont taxées sur leurs profits à 8%, contre 22% pour les PME.