Mercredi 9 février 2011 : dîner annuel du CRIF

Le Président sioniste Nicolas Sarkozy sera l’hôte d’honneur du dîner annuel du CRIF qui réunira près d’un millier de personnes.

Le chef de l’Etat républicain est un habitué du dîner. Le 13 février 2008, il avait déjà pris la parole et les années suivantes il était venu au cocktail, avant que le Premier ministre François Fillon ne prenne la parole.

Comme chaque année, ce dîner officiel du lobby sioniste sera l’occasion pour le tout puissant président du CRIF, Richard Prasquier, de donner les bons points et les mauvais points aux ministres présents.
De très nombreux politiciens en vue ont annoncé leur présence à ce dîner.

« Je veux que le CRIF soit l’atout maître d’Israël en France « 

Richard Prasquier a été réélu dimanche à la présidence du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) avec 106 voix contre 61 voix à son prétendant Meyer Habib. Le mandat du président est de trois ans, renouvelable une fois. Dans l’histoire du Crif , tous les présidents élus ont fait leurs deux mandats.

Lors de son discours de campagne, Prasquier avait lancé : « Je veux que le CRIF soit l’atout maître d’Israël en France « . Preuve supplémentaire, s’il en fallait, que le CRIF n’est pas une fédération confessionnelle comme il le prétend mais bien une organisation israélienne sur le territoire français.

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Connaissez-vous David-Olivier Kaminski ?

Avocat au Barreau de Paris, conseiller spécial du président de la LICRA et président lui-même de la BBYO (B’nai B’rith Youth Organization), la branche jeune de la franc-maçonnerie juive, David-Olivier Faminski est un chasseur d’anti-sionistes :

Depuis quelques années le nouveau visage de l’antisémitisme porte celui de l’antisionisme. Cela passe par le boycott des produits israéliens jusqu’aux procédures judiciaires en cours contre tous ceux qui déclarent « je ne suis pas antisémite, je suis antisioniste ».

Les magistrats commencent à bien saisir, grâce notamment à l’action de pointe de la LICRA et de ses avocats, que le faux visage de l’antisionisme cache en réalité le visage odieux et haineux de l’antisémitisme.

David-Olivier KAMINSKI a notamment plaidé pour la LICRA dans ses procès contre Kemi Seba.

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Les Juifs sionistes contre la liberté d’expression

Le président du Front national et tête de liste en Paca a comparu vendredi, en référé, devant le tribunal de grande instance de Marseille.
Il était assigné par l’association juive sioniste Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) qui réclame l’arrêt d’une campagne d’affichage sous prétexte qu’elle serait«anti-musulmans». La décision sera rendue publique lundi en début d’après-midi.

Ce qui est vraiment scandaleux dans cette affaire, c’est la duplicité des sionistes. D’un côté la Licra ose poursuivre en justice un parti politique français pour une simple affiche (qui ne dit rien de bien scandaleux au demeurant) et de l’autre, elle ferme les yeux (quand elle n’approuve pas ouvertement)  la LDJ qui ratonne des musulmans en plein Paris.
Bref, pour ces messieurs de la Licra, il y a une justice pour les Juifs et une justice pour les goys (non-juifs). N’est-ce pas la définition moderne du racisme dont on nous rebat les oreilles en permanence?
L’Etat devrait dissoudre cette ligue raciste qu’est la Licra !

LDJ, milice du patronat juif ?

Vendredi 19 février, des sans-papiers africains et leur collectif de soutien d’extrême-gauche, sont allés à Nation pour tenter, une nouvelle fois, d’obtenir des explications de celui qu’ils appellent “patron voyou”, Thierry Belhassen. Ce directeur d’agence d’intérim semble s’être spécialisé dans le recrutement de sans-papiers, population allogène sous-payée et corvéable à merci…

Extraits:
« Encadrés par les forces de l’ordre, les manifestants font face à leurs agresseurs qu’ils identifient à leurs slogans racistes comme étant de la LDJ (Ligue de défense juive) ou du Betar (mouvement de jeunesse sioniste orienté idéologiquement à droite). D’autres, plus mesurés, évoquent le corporatisme et le soutien entres commerçants pour justifier l’assaut qu’ils viennent de subir. L’énervement et le désespoir se lit sur certains visages. Personne ne s’attendaient à un accueil si violent. L’une des membres du collectif de soutien âgée de 70 ans, projetée à terre lors de la rixe, souffre du coude. Bilan : une fracture et trois jours d’hospitalisation. »

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