« Viber » est un programme gratuit qui, installé sur les téléphones modernes, permet d’appeler gratuitement une personne équipée du même logiciel.
On estime actuellement à plus de 100 millions le nombre d’utilisateurs de Viber.
Or il apparaît que le fondateur et propriétaire de la compagnie Viber Media est Talmon Marko, un américano-israélien qui a servi 4 ans dans l’armée israélienne.
Il aurait été nommé au poste de directeur exécutif responsable des renseignements au commandement central…
« Sachant que le programme Viber offre un service gratuit à 100%, permet l’échange de vidéos et des messages textuels, et ne diffuse pas de publicité. Face à ces données, une question se pose : quel est l’objectif d’un tel service, gratuit à 100% ?
La réponse est simple : le programme « Viber » sur les Androïd et Iphone par exemple est capable de lire tous les contacts figurant sur la liste des contacts téléphoniques, même ceux qui ne font pas partie du programme.
Viber est aussi capable de localiser le lieu de l’utilisateur, ses comptes électroniques, l’enregistrement de sa voix, de vidéos et la prise de photos !
Il a également la capacité d’espionner toutes les informations présentes dans les fichiers téléphoniques et de connaitre tous les programmes utilisés par les utilisateurs !
C’est donc à travers ce programme gratuit très populaire, qu’on offre à « Israël » nos informations personnelles, gratuitement aussi ! »

Le service secret américain SDU (Surveillance Detection Unit), jusqu’à présent pratiquement inconnu du public, poursuit et photographie des Européens qui se montrent critiques envers le gouvernement américain.
Parce que sceptique sur l’utilité de l’alignement (mené avec acharnement par Sarközy) de la France sur la politique étrangère américaine…
Selon une enquête du journal tunisien Dounia El Watan, cité par Al-Manar, l’assassinat du dirigeant du Hamas Mahmoud Mabhouh à Dubaï, le 20 janvier 2010, aurait nécessité une équipe bien plus importante que celle déjà mise en cause par les Émirats arabes unis.
D’après le site GNT, le réseau social Facebook, qui a déjà subi des attaques lorsqu’il avait voulu partager les informations personnelles de ses internautes avec des sites partenaires, aurait à nouveau l’ambition de s’engager dans cette voie.