La gauche norvégienne prise à son propre piège : par le double effet du droit de vote des étrangers (accompagné du droit d’éligibilité) aux élections locales depuis 1982 et du clientélisme envers les immigrés, les caciques de l’Arbeiderpartiet (Parti travailliste norvégien) se retrouvent remplacés eux-mêmes par des immigrés !
Ils ont été les artisans de la substitution ethnique des Norvégiens, ils subissent désormais de plein fouet ses effets en perdant leurs sièges électoraux. Sur les 20 sièges attribués à l’Arbeiderpartiet dans le conseil municipal d’Oslo, 11 sont occupés par des immigrés (ayant la nationalité norvégienne ou non).
Sur le total des 59 sièges du conseil municipal d’Oslo, on trouve 19 élus d’origine non-norvégienne (d’ailleurs tous également non-européens). Continuer la lecture de « Bilan du droit de vote des étrangers en Norvège »

Le Fonds de pension norvégien est devenu cette année le plus gros fonds souverain, avec 560 Milliards de dollars, détrônant l’Autorité d’investissement d’Abou Dhabi (ADIA) qui pèse 342 Mds $. Le Government Pension Fund-Global date de 1996 et s’inscrit comme le successeur du Petroleum Fund (1990) créé pour gérer les excédents de réserves de change générés par l’exportation du pétrole. Le fonds reçoit l’ensemble des rentrées d’argent de la Norvège liées au pétrole, via les impôts, les permis d’exploitation de gisement, d’exploration, et les participations dans les sociétés comme StatoilHydro.
C’est le nom du « Norvégien de souche » (comme l’ont prestemment précisé les médias) qui aurait reconnu avoir fait sauter une bombe dans le quartier gouvernemental d’Oslo (7 morts) et abattu, quelques heures plus tard, 85 personnes lors d’un rassemblement des jeunes du Parti socialiste.

Le service secret américain SDU (Surveillance Detection Unit), jusqu’à présent pratiquement inconnu du public, poursuit et photographie des Européens qui se montrent critiques envers le gouvernement américain.