Barjot va poursuivre le Printemps français en justice !

C’est ce qu’elle explique dans la vidéo ci-dessous. « Le Printemps français sera poursuivi, je vous le dis solennellement aujourd’hui ! Poursuivi pour vol d’affiches, pour agression effectivement ! Vol de nos affiches, vol de notre logo, vol de notre slogan « On lâche rien », qui était aussi à M. Mélenchon… », explique-t-elle.

Ou comment étaler publiquement des divisions internes, pour le plus grand bonheur de nos adversaires ! Le but inavoué, mais perceptible derrière ses propos, est de donner des gages de bonne volonté au système. Car elle ne cesse, dans cette interview de Jean-Jacques Bourdin, de nous expliquer que sa manif a toujours été faite avec le concert de nombreux homosexuels, dont on sait d’ailleurs qu’elle voulait les mettre à l’honneur, voire les faire défiler sur un char. Mais qu’a-t-elle donc à vouloir se faire pardonner pour ainsi les mettre en avant ?

Car en enfermant ainsi les individus dans leur orientation sexuelle, en les désignant par leur orientation sexuelle, elle catégorise la population et fait ainsi le jeu de ceux qui sont déjà passés à l’étape suivante : c’est-à-dire, après la reconnaissance des catégories, la satisfaction des intérêts catégoriels ! Là où nous voyons communément des hommes et des femmes, Barjot voit des homos et des hétéros…et ne comprend pas qu’elle se situe ainsi sur le terrain de nos adversaires qui nient l’objectivité de la nature sexuée pour lui préférer la subjectivité du désir sexuel.

Qui veut vendre une colonne vertébrale doctrinale à Barjot, avant qu’elle ne nous fasse perdre toute crédibilité ?

Incompétence crasse des ministres (3)

Dans le même genre que la vindicative Nadine Morano (voir ici) ou que le ministre de l’agriculture, voici Luc Chatel, ministre de l’Education nationale (sic), qui n’arrive pas à résoudre un problème de CM2, tel qu’il est formulé aux écoliers :
« 10 objets identiques coûtent 22 euros. Combien coûtent 15 de ces objets ? ».

Il suffit de voir comme les ministres républicains volent (!) d’un ministère à l’autre, pour comprendre qu’ils ne sont pas là pour des compétences liées au domaine en question, mais plutôt pour des aptitudes politiciennes et des combinaisons de loges.