Incroyable : ce député à peine « français » fait la leçon à « ceux qui sont de la droite » en disant « en Afrique, on met pas les personnes âgées dans les EHPAD »

Cette femme, Huguette Tiegna, qui s’exprime à l’Assemblée nationale dans un français très approximatif, est député du Lot !
Elle a obtenu la nationalité « française » quelques mois avant que des idiots ne l’élisent sous l’étiquette LREM (le parti macronien).

Elle parle de l’Afrique, le sujet qui l’intéresse le plus visiblement, avec un « nous » vindicatif.

Elle se permet de dénigrer les Français en disant que chez elle, « en Afrique, on met pas les personnes âgées dans les EHPAD ».

On peut peut-être rappeler à Huguette Tiegna qu’il n’existe pas d’EHPAD dans la région du monde d’où elle vient et que, dans son pays, le Burkina Faso, l’espérance de vie n’atteint pas les soixante ans…

Rare : un document sonore dévoile la voix de Maurice Barrès

Maurice Barrès est mort en 1923. Le document sonore ci-dessous est le seul où l’on peut entendre sa voix.
Il s’agit d’un extrait de son intervention à la tribune de la Chambre des députés, dans le cadre du combat qu’il mena pour la défense des églises de France menacées de tomber en ruines. Il s’adresse aux parlementaires hostiles à l’idée que l’on réserve de l’énergie et des fonds à la restauration et à l’entretien des édifices cultuels, notamment ruraux. Nous sommes en 1912, et Maurice Barrès a 50 ans :

Retrouvez des livres de Maurice Barrès et sur lui en cliquant ici.

Le texte de l’intervention :

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L’UMP et le PS unis pour baîllonner les dissidents

Actuellement, il y a un délai de prescription (au-delà duquel la « justice » ne peut plus engager de poursuites) de 3 mois pour les propos « litigieux » (injures, incitations à la violence etc) sur le net et dans les médias.
Sauf, bien sûr, lorsque l’infraction de presse a été commise en raison de « l’origine, l’ethnie, la nation, la race et la religion » ; le délai de prescription est alors d’un an !

Ce 24 novembre, l’Assemblée nationale a adopté à la quasi-unanimité (473 voix contre 4 !) la proposition de loi du député socialiste Catherine Quéré passant aussi le délai de prescription de 3 mois à un an pour les « injures homophobes ».