Gros succès de la manifestation d’hier

Un million de participants selon les organisateurs, 150 000 selon une préfecture qui ne craint pas de mentir encore éhontément.

Photo des Invalides, alors que des manifestants partaient et d’autres arrivaient pour encore un moment :

Les pronostics politico-médiatiques, parlant d’un essoufflement et d’une résignation après le passage de la loi Taubira, ont été à nouveau déjoués.

Hier le ton était fut plus ferme, les gens étaient toujours très déterminés. Il y eut moins d’âneries au micro (l’absence de la traîtresse Barjot y étant probablement pour quelque chose) et les huées ont retenti quand c’était nécessaire.

Après la dispersion officielle, des milliers de personnes n’ont pas voulu abandonner l’esplanade des Invalides.
Des heurts notables ont éclaté avec la flicaille : grenades lacrymogènes balancées à gogo et en vain sur la foule, tirs de flashball sur les manifestants, affrontements au corps à corps, avec notamment de nombreux flics en civil très vicelards ; les CRS ont du reculer plusieurs fois, avant que les lieux se vident petit à petit. Nous y reviendrons.
Cette résistance déterminée et courageuse de nombreux jeunes Français fut réjouissante et réconfortante, alors que le pays sombre dans l’infâmie.

Il y eut près de 300 interpellations au cours de la journée, dont au moins 200 gardes-à-vue, ce qui est beaucoup.
De nombreuses arrestations et séjours au commissariat ont été réalisés dans la plus totale illégalité, avant même le début de la manifestation : la police se fout des lois elle-même, suivant « les ordres ».

Manif pour tous : la Barjot n’est pas sûre de venir !

et elle a bien raison ! Par ses comportements et déclarations, elle a depuis longtemps franchi les limites de l’admissible.
Elle pourra toujours se consoler en retournant se dandiner à la satanique « gay pride » dont elle est férue.
Fidèle à ses habitudes, elle en appelle à Valls pour réprimer les manifestants…

«Aujourd’hui, je me demande même si je vais y aller», «à cause des attaques personnelles dont [elle fait] l’objet» et «des risques de violences». «A l’heure qu’il est, et tant que nous n’avons pas des garanties sérieuses de la part de la police et des organisateurs, je mets ma participation entre parenthèses».

3ème grande marche aux flambeaux en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc à Bordeaux !

Venez nombreux honorer à Bordeaux, le 1er juin, la sainte de la patrie. Rendez-vous à tous les patriotes à 21h00, devant la Cathédrale de Bordeaux, pour une marche aux flambeaux ! Français levez-vous, notre nation ne doit pas tomber! Ne les laissez pas faire !

Défilé de Jeanne d’Arc : discours de Thibaut de Chassey

L’allocution de Thibaut de Chassey, président du Renouveau français, à l’issue du défilé du mouvement pour la fête de Jeanne d’Arc 2013, fait le point sur la situation française, et place notre combat sous l’égide la sainte de la patrie, peu perméable aux compromissions :

Deux extrémistes sèment des gendarmes

Voici un extrait du Petit Journal de Canal +.  Alors que Christiane Taubira procède à l’inauguration d’une prison, dans l’Orne, un rassemblement de la Manif pour tous a lieu devant la prison. Un peu à la marge, longeant les murs de la prison, deux manifestants, un enfant de 14 ans et son père, mettent à terre deux gendarmes et en sèment les deux autres :

Manifeste d’un Veilleur

[Tribune libre de Jean de Rouen]

Amis,

Au mois d’avril, la France a vu naître des Veilleurs. Postés en sentinelles, ils veillent sur un dépôt, sur un héritage. Car il est des lois qui ne sont pas légitimes. Lorsque le pouvoir, sous couvert de légalité, ébranle les assises d’une civilisation, bouscule les fondements traditionnels de la société, pour satisfaire des revendications idéologiques et catégorielles, il suscite naturellement un vent de révolte populaire. Nous sommes rentrés en résistance. Une résistance pacifique et résolue, dont rien ne saurait entamer la détermination, et que l’on doit désormais inscrire dans la durée .

Nous défendons le droit d’un enfant à avoir un père et une mère, à ne pas être arraché à ses origines, à pas être privé de racines. Gardiens silencieux d’un trésor qui ne nous appartient pas, nous voulons préserver les lois immuables dont la civilisation est naturellement la protectrice : les lois de la filiation, de la lignée, de l’enracinement. Aux avant-postes, sentinelles en vigie, nous serons des témoins, pacifiques et résolus, d’un héritage que nous refusons de voir disparaître. Parce que nous sommes dépositaires, et non propriétaires, nous avons le devoir de le transmettre, intact, aux futures générations. C’est encore la raison pour laquelle notre résistance actuelle n’est pas un droit : elle est un devoir !

Car il est des lois qui découlent d’un ordre des choses dont l’homme n’est pas l’auteur. Ces lois supérieures ne sont pas écrites, mais elles demeurent gravées dans le cœur de l’homme : nul législateur humain ne peut les transgresser impunément, car c’est à leur respect qu’est suspendu l’équilibre de l’homme. N’est-ce pas précisément l’enseignement de l’Antigone de Sophocle, sous le patronage de laquelle sont placés les Veilleurs ? Sommée de se justifier après avoir bravé l’interdit de la loi promulguée par Créon, loi qui interdisait de sépulture les soldats morts dans les rangs de l’ennemi, elle déclare au roi : « Je ne croyais pas que tes édits eussent tant de pouvoir qu’ils permissent à un mortel de violer les lois divines : lois non écrites, mais intangibles. Elles ne datent ni d’aujourd’hui, ni d’hier : elles sont de toujours. Nul ne sait le jour où elles sont parues. Leur désobéir, n’était-ce point, par lâche respect pour l’autorité d’un homme, encourir la rigueur des dieux ? » Depuis Antigone, les peuples savent que le bien et le mal ne sont pas déterminés par la volonté humaine, fût-elle générale, et que ce qui est légal n’est pas toujours légitime. Continuer la lecture de « Manifeste d’un Veilleur »

« Mariage pour tous » : le Printemps français Rouen parodie !

Le 23 avril dernier, jour du vote solennel de la loi Taubira à l’assemblée nationale, le Printemps Français Rouen organisait une parodie de célébration du vote de la loi dite du « Mariage Pour Tous » par le président François Hollande :

La résistance se poursuit…mais attention à la confusion !

La vidéo ci-dessous met en scène le coup d’éclat des Hommen, boulevard Saint Michel, exprimant leur révolte au soir du vote -contre l’aspiration des Français-, de la Loi Taubira légalisant le mariage homosexuel. Une réflexion cependant : arrêtons de nous justifier en expliquant qu’il y a des homosexuels dans nos rangs ! Car précisément, nous n’enfermons pas les personnes dans une catégorie ou une orientation sexuelle comme le font, pour mieux justifier leur choix, les partisans du « mariage homo » !


Action Hommen – Bd St Germain – Paris par ktvideo1

Loi Taubira : certains politiques rentrent en résistance !

Jean-Claude Massiou, le maire d’Abjat sur Bandiat en Dordogne a fait savoir qu’il refuserait d’appliquer la loi Taubira et de marier des « couples » homosexuel. Et ses adjoints aussi ! Quels que soient les risques encourus, ils ne se plieront pas au texte, a-t-il annoncé hier à France Bleue Périgord !

« Je maintiens cette position et mes adjoints également. Je n’ai pas du tout changé d’idée sur le sujet« , a-t-il déclaré en soulignant qu’aucun des officiers d’état-civil de sa commune ne s’exécutera.

« C’est sans homophobie ou quoi que ce soit. C’est leur principe: le mariage c’est entre un homme et une femme« , a-t-il expliqué.

C’est courageux de la part d’un maire de braver la loi de la République quand elle est contraire aux exigences du droit naturel ! De ne pas être prisonnier de l’idéologie libérale qui considère que la loi n’est rien d’autre que l’expression de la volonté générale, sans prendre appui ailleurs que dans la volonté humaine. De rappeler qu’il existe des principes supérieurs à la volonté du législateur !

Il faudra attendre ensuite la réaction du pouvoir en place. Mais Jean-Claude Massiou ne s’est pas privé de souligner que l’écologiste Noël Mamère, député-maire de Bègles, en Gironde, avait marié en 2004 un « couple » homosexuel alors que cela n’était pas légal, sans pour autant avoir été sanctionné.

Nous suggérons par ailleurs à monsieur le maire de ne pas reprendre les éléments de langage de la gauche, et de ne pas se justifier en permanence de ne pas être « homophobe ». A reprendre la rhétorique de l’adversaire, à se placer ainsi sur son terrain, on prend le risque d’être toujours dans un rapport de force défavorable, on prend le risque de demeurer culturellement soumis aux schémas idéologiques de la gauche…