Causes et conséquences de l’indifférenciation des sexes et des âges à l’école

Une video très intéressante sur le catastrophique système éducatif français, qui fait un tort considérable surtout aux garçons.

Ancien directeur d’IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres), Jean-Louis Auduc a travaillé sur le décrochage scolaire. Historien et auteur de divers ouvrages dont Sauvons les garçons ! (disponible ici), il explique ici que sa première surprise fut de constater qu’en France, les statistiques sur l’éducation nationale étaient asexuées.

Il observera alors que ce sont les garçons qui manifestent les plus grandes difficultés dans l’actuel système éducatif, dont la méthode mixte de lecture, dite semi-globale, semblerait exacerber ces différences garçons-filles. Ces données mettent à mal l’idée communément admise (et fer de lance de l' »abcd de l’égalité » défendu par Najat Vallaud-Belkacem), que le système éducatif des sociétés dites patriarcales, favoriserait davantage les garçons.

Après un tour d’horizon sur l’analyse de ces nouvelles statistiques et des solutions proposées pour réduire ces écarts significatifs, Jean-Louis Auduc précise l’origine philosophique de cette indifférenciation des sexes.

Merville : il couche avec sa fille, le tribunal le relaxe.

 Ce sordide fait divers nous rappelle que les relations sexuelles incesteuses, en France, sont légales !
Et que, pour qu’il y ait condamnation, il faut montrer qu’il y a eu contrainte !

« Christophe est un Mervillois âgé de 40 ans dont les experts psychiatriques affirment qu’il a une intelligence au ras des pâquerettes. Liminaire, dit-on, en langage juridique. Son addiction à l’alcool n’arrange rien.

Le 16 avril 2011, il a bu, comme souvent, et regarde la série « Agence tous risques », sur le canapé, avec un copain.

Continuer la lecture de « Merville : il couche avec sa fille, le tribunal le relaxe. »

Le ministre de la famille (sic) insiste « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »

La nouvelle secrétaire d’Etat chargée de « la Famille, des Personnes âges et de l’Autonomie », Laurence Rossignol, ancienne porte-parole du Parti socialiste, est revenue, dans une interview au JDD, ce dimanche 13 avril, sur une phrase très grave prononcée sur le plateau de France 3 : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ».

Elle ose insister :

(Cette phrase) devrait pourtant faire consensus…

Revenant par ailleurs sur les enseignements des ABCD de l’égalité, Laurence Rossignol énonce :

Le but de l’enseignement à l’égalité est de dire aux filles : « Rien ne vous est fermé car vous êtes des filles »,
Et de dire aux garçons : « On est différents, mais personne ne doit avoir le dessus sur l’autre ».
>La cour de récréation n’est pas un espace pour des apprentis petits coqs.

On se doute que Rossignol préfère les chapons aux coqs…

D’après Le Lab

Un pédomane en fuite pour Israël, condamné à une peine dérisoire

C’est le Parisien qui relate ce procès, sans s’étonner de ses incongruités.

A Igny, dans un « quartier pavillonnaire, un grillage seulement sépare la maison de la famille de la fillette (8 ans) de celle d’Elie (75 ans).
Le vieil homme invite parfois la blondinette à venir profiter de son jardin. Et durant un an, il va abuser d’elle. »

Interpellé à l’hôtel alors qu’il s’apprêtait à partir en Israël, pays dont il possède la nationalité, Elie se répandra en arguments ignobles durant son procès, accusant grosso modo la fillette d’être une nymphomane, à l’initiative de tout !
Une inversion accusatoire qui ne convaincra pas le juge.

Cet Élie, dont le nom n’est pas révélé par les médias…, n’a pourtant été condamné qu’à trois ans de prison dont vingt mois avec sursis ! Bref, environ un an de prison, en théorie…
Quels réseaux ont-ils valu à cet homme une telle clémence ?

Pédophilie sur internet : l’explosion des chiffres – par Laurent Glauzy

Il y a dix ans, dans l’article Pedofilia on line raddoppiata negli ultimi due anni, (La pédophilie sur Internet a doublé ces deux dernières années), la journaliste italienne Mariangela Berretti menant la lutte contre la pédophilie, montrait déjà l’incroyable explosion des sites pédopornographiques sur Internet. La « toile » allait rapidement devenir un support idéal pour la propagation de la perversité.

En 2004, ils atteignaient à l’échelle mondiale le triste chiffre de 19 246. Ces statistiques sont en constante progression. Car, en 2003, 17 016 sites pédopornographiques étaient déjà dénombrés, contre 9 989 en 2002. Entre 2003 et 2004, la croissance enregistrée est donc de 92,67 %. En Italie, en 2004, 89 sites pédophiles étaient dénombrés, contre environ dix mille aux États-Unis.

Cette augmentation exponentielle est également observée quant au nombre de visiteurs de ces sites. L’Italie se trouve parmi les dix principaux pays abritant des sites signalés comme pédo-criminels.

Continuer la lecture de « Pédophilie sur internet : l’explosion des chiffres – par Laurent Glauzy »

« Théorie du genre » à la maternelle : comment l’UMP essaie de faire oublier son récent passé

Désireuse de « coller » à sa base électorale, l’UMP a largement relayé le combat des adversaires de la théorie du genre, ne ratant pas une occasion de dénoncer « l’idéologie » des socialistes et du gouvernement.
« Choqué », Jean-François Copé a ainsi affirmé comprendre « l’inquiétude des familles » et estimé que « la priorité de l’école doit rester les savoirs fondamentaux ».

Mais le parti dit « de droite » n’a pas toujours défendu cette ligne. Il fut un temps où il émettait des propositions quasiment identiques à celles émanant du PS et qu’il « combat » aujourd’hui.
Au printemps 2011, l’UMP, déjà dirigée par Jean-François Copé, avait organisé des « états généraux » du parti, qui devaient poser des propositions, en attendant que Nicolas Sarkozy entre en campagne. Une séance portait sur la place des femmes dans la société, l’occasion d’aborder les « questions d’égalité des sexes et les stéréotypes de genre ».

Continuer la lecture de « « Théorie du genre » à la maternelle : comment l’UMP essaie de faire oublier son récent passé »

Exemple d’une association dégénérée venant bourrer le crâne des élèves

couleursIl y a des partisans du gouvernement pour dire que les tenants de la théorie du genre et de la propagande homosexuelle ne viennent pas dans les classes s’en prendre aux cerveaux des jeunes.
Sur le tract (visible ici) que l’association (financée par les impôts) communautaire homosexualiste, militante LGBT « Couleurs gaies » [sic] envoie aux établissements de la région Lorraine, on peut lire :
Depuis 2008, Couleurs Gaies est agréée par l’Académie de Nancy-Metz pour de telles interventions.

Ces dernières sont construites en référence aux objectifs fixés par les différentes circulaires du ministère de l’Education nationale qui préconisent la lutte contre toutes les formes de discriminations. Au cours de l’année scolaire 2011/2012, notre association a sensibilisé près de 2000 élèves, de la 4ème à la Terminale. […] Nos interventions font la part belle aux techniques de pédagogie active.

L’homophobie est la clef d’entrée pour réaliser un travail plus large de déconstruction des stéréotypes et d’analyse critique des phénomènes discriminatoires. […]
Nous sommes très sollicités, surtout au cours des mois de janvier, février, mars et avril.
Merci à Malalou

Théorie du genre à l’école : encore une preuve

« L’ABCD de l’égalité » est une « expérimentation pour lutter contre les stéréotypes filles-garçons à l’école ». Ce dispositif, élaboré par le ministère de l’Éducation nationale et le ministère des Droits des femmes, est « expérimenté de la grande section de maternelle au CM2 depuis la Toussaint dans 600 classes de 275 écoles dans 10 académies ».
Alors que le gouvernement ment en disant que la théorie du genre ne débarque pas à l’école, écoutons ce qu’en dit une psychologue impliquée dans ce projet. Attention, c’est du pur charabia de psychologue moderniste et désaxé :

Tragique destin du premier cobaye de la théorie du genre

« 1966. Suite à une opération chirurgicale ratée, le petit Bruce Reimer, âgé de neuf mois, a le pénis irrémédiablement endommagé.

Ses parents, ne sachant que faire, finissent par se tourner vers le Pr. John Money qui avait acquis une certaine notoriété grâce à son travail sur les enfants « intersexes » au sein du centre universitaire John Hopkins de Baltimore.

Le Pr. Money pensait que l’identité sexuelle des enfants, garçon ou fille, était suffisamment plastique, durant les premières années de la vie, pour permettre de réassigner un nouveau genre à un enfant grâce à un suivi médical (pris d’hormone), psychologique (une thérapie) et culturel (rôle de l’environnement et des parents).

Il finit donc par convaincre les parents du petit Bruce qu’il était tout à fait possible de changer le sexe/genre de leur enfant et que celui-ci serait plus heureux, du fait de son infirmité au pénis, en petite fille.

C’est ainsi qu’il entreprit de transformer le petit Bruce, âgé alors de 22 mois, en « Brenda ».

Après opération, il suivit en thérapie la « nouvelle » petite fille durant plusieurs années pour la convaincre de sa nouvelle identité, mais aussi pour l’étudier.

Le Pr. Money souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la « flexibilité de la division sexe/genre ». Il publia dès 1972 un livre pour vanter les résultats de son expérience.

Une expérience qui sert de caution à la « théorie du genre »
Continuer la lecture de « Tragique destin du premier cobaye de la théorie du genre »

Le mensonge de Vincent Peillon sur l’enseignement de la théorie du genre

Inquiet de l’écho reçu par l’initiative de Farida Belghoul invitant les parents à retirer leurs enfants de l’école un jour par mois pour protester contre l’enseignement de la théorie du genre, Vincent Peillon a lancé aujourd’hui une contre-offensive médiatique, pour stopper ce qu’il appelle une « rumeur mensongère ».

L’Observatoire de la théorie du genre réplique :

« On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :

  • Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.
  • L’expérimentation, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
  • La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
  • La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : «  que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic

Continuer la lecture de « Le mensonge de Vincent Peillon sur l’enseignement de la théorie du genre »