A Paris, à l’occasion de la Foire Internationale d’Art Contemporain, il a été prévu que soit exposée cette « sculpture-habitacle » qui évoque un acte sexuel entre un homme et un animal. L’« artiste » a l’origine de cet étron avoue lui-même la connotation malade de son travail :
Mais que représente vraiment « le Domestikator » ?
La réponse avec son créateur, le Néerlandais Joep Van Lieshout :@hugoclement #Quotidien pic.twitter.com/KbgogaD21G— Quotidien (@Qofficiel) 19 octobre 2017
Suite à la bronca sur internet, cet objet a été retiré du « parcours hors les murs » pour n’être plus exposé qu’à l’intérieur.
Peut-on enfin parler librement d’art dégénéré pour ces productions ?
Dans le même temps, « après 11 années de recours, le Conseil d’État a confirmé, mercredi 25 octobre, l’injonction prononcée en première instance de retirer une croix surplombant une statue de Jean-Paul II installée sur une place de Ploërmel (Morbihan). Offerte en 2006 par l’artiste russe Zurab Tsereteli au maire de l’époque, le monument – qui fait près de huit mètres de haut -, ne respecte pas la loi de séparation des Églises et de l’État, explique le Conseil d’État. » (source)


Bientôt en France ?







Le résultat de l’enquête n’est pas autant médiatisé que son ouverture. La seconde enquête ouverte en 2016 contre le cardinal Philippe Barbarin, pour non-dénonciation d’agressions sexuelles d’un prêtre, a été classée sans suite comme la première, s’est félicité mardi le diocèse de Lyon.
Deo gratias ! Les deux condamnations sont relativement légères… La collection Lambert réclamait 400 000€ de dommages et intérêts (pour une photographie !). Heureusement pour ces courageux catholiques, la demande a été rejetée par le tribunal… A priori, la partie adverse ne fera pas appel.