Gauche caviar : l’exemple Pulvar et ses lunettes à 12 000 euros…

« « Je fais ce que je veux de l’argent que je gagne », voilà ce que « tweete » Audrey Pulvar à propos du buzz provoqué par la révélation du prix de… sa paire de lunettes.
Celle-ci aurait coûté 12000 euros. Certes, Pulvar fait ce qu’elle veut de son argent ; le hic, c’est l’indécence qu’il y a à se faire passer pour une femme de gauche, un soutien d’un président qui de son propre aveu « n’aime pas les riches », et vivre comme la femme d’un vulgaire PDG.
Son compagnon ministre pourra toujours tapoter l’épaule des ouvriers dont l’usine ferme, et qui perdent tout du jour au lendemain ; accuser les patrons, les parachutes dorés, les dividendes et autres gros mots ; faire mine d’imposer à ces patrons voyous des plans de relance ; il fait partie du même monde. Comme sa bonne femme, les patrons pourront lui dire qu’après tout, ils font ce qu’ils veulent de l’argent qu’ils gagnent… »

Source : le blog des rivaroliens

Révolution libyenne et assassinat de Kadhafi : des motivations encore plus laides que ce qu’on croyait !

Kadhafi capturé et sur le point d'être assassiné par des agents français

Dans un entretien à Mediapart, Rami El Obeidi, ancien coordinateur du renseignement extérieur auprès du Conseil national de transition (CNT) libyen, assure que « des agents français ont directement exécuté Kadhafi ».
Selon lui, « la menace d’une révélation d’un financement de Sarkozy en 2006-2007 a été suffisamment prise au sérieux pour que quiconque à l’Élysée veuille la mort de Kadhafi très rapidement ». L’attaque aérienne ayant visé le convoi de Kadhafi était « dirigée par la DGSE et des responsables à l’Élysée ».

Encore un cimetière chrétien vandalisé. Combien de ministres se déplaceront-ils ?

On a découvert ce matin à Albi, que soixante-dix tombes d’un petit cimetière attenant à une église catholique ont été « dégradées ».

« Soixante-dix croix ont été renversées et posées au sol, 16 d’entre elles ont été brisées, et des objets funéraires ont été vandalisés dans ce cimetière du quartier de Fonlabour qui ne compte que 300 concessions à l’ouest de la ville. »
Malgré le peu d’émoi que semble susciter cette nouvelle, une enquête à quand même été ouverte.
Mais on peut comparer avec l’hystérie médiatique et politique, lorsque les cimetières concernés sont juifs ou musulmans…
Des cas d’ailleurs beaucoup plus rares, contrairement à ce qu’on pourrait penser en s’en tenant aux gros médias, comme le rappelle le graphique ci-dessous.

Joies de la France multiculturelle : Alexandre Junca, 14 ans, vraisemblablement victime d’un sacrifice vaudou

L’enquête sur la disparition et le meurtre d’Alexandre Junca, 14 ans, à Pau (Pyrénées – Atlantiques) en juin 2011, s’oriente vers la piste d’un sacrifice vaudou. La police judiciaire de Bordeaux a demandé, fin septembre, l’aide de la mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) sur cette question précise.

Contactée, la Miviludes confirme qu’elle a bien aiguillé la PJ vers un spécialiste reconnu des rites sataniques et vaudous. De plus, la découpe des os de la victime et leur nettoyage presque parfait semble confirmer les doutes de la PJ.

vaudou-haitiAlexandre Junca a disparu dans la nuit du 4 au 5 juin 2011 à Pau alors qu’il rentrait chez son père après un tour de vélo. Un fémur de l’adolescent avait été retrouvé le 26 juin sur les berges du Gave de Pau et le reste de ses membres tronçonnés en octobre 2011 au milieu d’une digue provisoire construite dans le torrent avec des gravats.

Pour l’heure, les enquêteurs n’ont toujours pas de scène du crime, ignorant où la victime a été tuée.

Source, via.

Liberté d’expression : quelle blague ! Hervé Ryssen encore condamné

Le militant nationaliste Hervé Ryssen, réputé pour ses ouvrages sur le judaïsme, a été condamné ce mardi à 6000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir proféré sur son blog personnel en octobre 2011 des « injures homophobes » (sic) à l’encontre du maire de Paris Bertrand Delanoë. Il devra en outre verser 2000 euros de dommages et intérêts à ce dernier, qui en avait demandé rien moins que 20 000… Un montant exorbitant mais sans doute anodin pour le pontife socialiste, quand il est rapporté à son train de vie. (source)

Si Hervé Ryssen avait déjà eu maille à partir avec la justice pour ses « écrits antisémites », « il est moins connu pour son aversion contre l’homosexualité », avait souligné le procureur…

Le répugnant Delanoë a par ailleurs porté plainte pour menaces à l’encontre d’Hervé Ryssen, pour d’autre propos diffusés sur son blog.
Ce dernier avait déjà été condamné en février dernier à 5.000 euros d’amende pour avoir selon le tribunal « diffamé la communauté juive » dans l’hebdomadaire d’extrême-droite Rivarol, en lui imputant une propension à l’inceste.

Pour se procurer tous les livres d’Hervé Ryssen et ainsi le soutenir dans ses recherches et son combat pour la liberté de parole, cliquer ici.
Précisons qu’aucun de ces livres n’a fait l’objet de poursuites : ils sont tous solidement documentés et basés sur des citations des personnes étudiées.
Pour la première fois, Hervé Ryssen se montre dans une video, où il donne son avis sur ce verdict :
Continuer la lecture de « Liberté d’expression : quelle blague ! Hervé Ryssen encore condamné »

Agitation à Paris ce samedi

De façon hélas prévisible, une cinquantaine de militants natios ont été interpellés hier à Paris, avant d’être relâchés quelques heures plus tard ; ils tentaient de se réunir malgré une interdiction de manifestation décidée par le très liberticide ministre de l’intérieur Manuel Valls. Il y aurait eu des violences policières à l’encontre de l’instigateur du regroupement, Alexandre Gabriac.
Les socialistes entendent bien remettre à l’honneur les valeurs et les méthodes républicaines…

Par ailleurs, tard dans la soirée, un affrontement entre militants du Renouveau français et « antifas » a eu lieu, sans qu’il y ait de blessés sérieux. Une vingtaine de petites frappes gauchistes a lâchement attaqué quelques militants patriotes qui prolongeaient la fête de la Saint Michel, avant d’être repoussée.

Provocation européiste de la Poste

Alors que ses services sont loin d’être parfaitement opérationnels, et que l’euro et le projet euro-mondialiste eux-même ont du plomb dans l’aile, la Poste ne trouve rien de mieux à faire que de mener une campagne publicitaire ridicule.

Avec pour slogan ahurissant « fier de votre région, fier de votre euro » (sic), la Poste essaie de vendre des pièces d’argent régionales.
Ci-contre, une affiche visible en Ile-de-France avec une femme tatouée « j’aime l’euro » !

Cerise sur le gâteau, la pièce pour l’ÃŽle-de-France, prétendant rendre hommage à Edith Piaf, porte l’inscription « Non je ne regrette rien » !

Bêtise féministe et ignorance gauchiste :

voilà un bien mauvais cocktail que la République nous sert en l’imbuvable personne de Cécile Duflot.
Ministre du logement, elle n’a pas du tout apprécié d’être appelé « Madame le ministre » par un député UMP lors d’une séance de questions au gouvernement, à l’Assemblée, et elle en fait tout un foin.
Pourtant, en français, le mot ministre est bien au masculin, et n’a pas de féminin. C’est un bouleversement total de notre langue que veulent imposer les féministes.

La conférence épiscopale de France contre « l’homophobie »

Les évêques de France se sont rapidement pris les pieds dans le tapis à propos du débat sur le projet de parodie homosexuelle de mariage.
Alors qu’on a assisté à des velléités de résistance ça et là, la Conférence épiscopale française vient de publier jeudi un long document officiel en bonne partie affligeant.

Le « conseil famille et société » de la Conférence y déclare par exemple que «L’Église se veut accueillante à l’égard des personnes homosexuelles et continuera à apporter sa contribution à la lutte contre toute forme d’homophobie et de discrimination.»
La première erreur est de reprendre le vocabulaire piégé du Système (intrinsèquement antichrétien et de gauche, faut-il leur rappeler) : homophobie et discrimination.
« Homophobie » ne veut rien dire en soi et comme tous les nouveaux termes construits avec le suffixe « phobie », il sert à condamner à peu de frais tout et n’importe quoi en jouant sur la peur d’être mal vu.

« Condamner toute forme de discrimination » est une absurdité totale, qui là aussi permet au Système d’interdire certaines discriminations (discriminer = faire un choix) tout en en pratiquant d’autres sans vergogne. La Conférence épiscopale a-t-elle oublié que la discrimination fait partie de la vie, que l’Eglise la pratique elle-même largement (par exemple entre baptisés et non-baptisés, dans l’accès à la prêtrise, etc.), et que le Christ lui-même y revient régulièrement (le bon grain et l’ivraie) ?

Par ailleurs, le sirupeux bla-bla épiscopal fait mal la distinction entre les personnes d’une part, qu’il faut plaindre et aimer (c’est-à-dire vouloir guérir), et d’autre part l’homosexualité que l’Ecriture et la Tradition ont toujours condamné dans les termes les plus vifs (sans parler de l’épisode relativement homophobe de Sodome et Gomorrhe).

En reprenant la rhétorique absurde de la Gauche, les évêques modernistes de France se placent naturellement à sa remorque. Rien de nouveau sous le soleil, et la crise de l’Eglise est loin d’être finie.

  • Publié par surprise, jeudi en fin d’après midi, un long document issu du «conseil famille et société» de la conférence des évêques de France affirme «refuser l’homophobie» et cherche à «entendre la demande des personnes homosexuelles» en vue d’«ouvrir un vrai débat» sur le projet de loi sur le mariage homosexuel.

    Signé par les douze personnes de ce conseil (quatre évêques dont Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre, mais aussi le psychanalyste Jacques Arènes, et la religieuse Geneviève Médevielle, professeur de théologie morale), ce document ne concède toutefois rien à la position de l’Église catholique – «le discours en faveur de l’ouverture du mariage aux personnes du même sexe part d’une vision tronquée du droit» – mais cherche à approfondir comme jamais toutes les dimensions du problème posé afin d’aboutir à une «solution originale qui fasse droit à la demande de reconnaissance des personnes homosexuelles sans pour autant porter atteinte aux fondements anthropologiques de la société». Car «une évolution du droit de la famille est toujours possible».

    Le premier problème soulevé est en particulier celui de l’absence de «langage partagé» sur le sujet. «Les discours, parfois idéologiques, se croisent» déplore l’Église de France dont celui consistant «à penser que le mariage est ordonné à la fondation d’une famille et qu’il ne peut donc concerner que les couples hétérosexuels»… Le texte dénonce donc l’absence de «débat politique» et regrette que «si toute réticence ou interrogation devant cette réforme du droit de la famille est qualifiée a priori “d’homophobe”, il ne peut y avoir de débat au fond. Il en va de même lorsque la requête des personnes homosexuelles est disqualifiée a priori.»

    À ce titre, ce document – qui rappelle des enseignements validés par la Congrégation pour la Doctrine de la foi dès 1976 – appelle de façon très nette à «refuser l’homophobie». Il constate qu’«il n’est pas toujours facile d’assumer son homosexualité dans son milieu professionnel ou son entourage familial. Les préjugés ont la vie dure et les mentalités ne changent que lentement, y compris dans nos communautés et familles catholiques». Mais, estiment les signataires: «Le refus de l’homophobie et l’accueil des personnes homosexuelles, telles qu’elles sont, font partie des conditions nécessaires pour pouvoir sortir des réactions épidermiques et entrer dans un débat serein autour de la demande des personnes homosexuelles.» Il faut donc, insistent-ils encore, «entendre la demande des personnes homosexuelles».

    S’ensuivent des considérations sur «les limites du pacs (pacte civil de solidarité)» et sur la «recherche symbolique» de la part des couples homosexuels d’une «forme d’union plus solennelle» mais qui ne cherche à «ne garder du mariage que la sincérité et l’authenticité du lien amoureux». Soit «une vision très individualiste du mariage qui n’est pas celle du droit français». Sont également étudiées les «conséquences juridiques» de la réforme envisagée dont «la présomption de paternité» et le fait que «la loi ne doit pas mentir sur l’origine de la vie».

    Reste à évaluer l’autorité de ce texte. Il est qualifié dans une introduction écrite de «note de travail» par le porte-parole de l’épiscopat Mgr Bernard Podvin. Mais il est aussi extrêmement fouillé et se veut aux antipodes d’un débat déjà très clivé. De plus, alors que la polémique s’enflamme, aucune annonce officielle n’a curieusement été faite pour le présenter et le diffuser. Il a été publié, sans crier gare, sur le site de l’Église de France.

    Ce qui laisse supposer, compte tenu des différentes interventions d’un autre style contre ce projet de loi, menées ces derniers temps par les cardinaux André Vingt-Trois, président de la conférence des évêques, et Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, que des divergences existent dans l’Église de France sur la méthode à appliquer pour affronter cette question.

    LIRE AUSSI:

    » DOCUMENT (pdf) – Le texte publié par le conseil

    » Mariage gay: deux Français sur trois pour un référendum

    » Mariage gay: le Pape entend peser sur le débat

    » Les religions résistent au mariage gay

    » Mariage gay: polémique après les propos de Mgr Barbarin

  • Réagir à cet article

    Les commentaires sont limités à un maximum de 1500caractères.
    AvatarJEAN-PIERRE CANOTL’Église de France en refusant l’homophobie, ne tomberait-elle pas dans un piège sémantique ?

    Selon le Larousse, la phobie est décrite comme ;
    « La crainte déraisonnable à l’égard d’objets, de situation ou de personnes bien définis dont le sujet reconnaît le caractère injustifié mais dont il ne peut se débarrasser. Dans le langage courant c’est : une aversion vive ou une peur très vive de quelque chose ».

    Considérer comme le fait la loi, et comme l’accepte l’Église, que l’homophobie est un rejet, de l’homosexualité, y compris par la violence et par le verbe, revient dans un processus de victimisation des homosexuels à considérer que les homophobes sont anormaux ou malades et donc qu’ils doivent se soigner et ne pas se reproduire.

    La logique conduit donc à favoriser le mariage des sains et normaux que sont les homosexuels, qui au passage devront pour se reproduire se mettre à « cloniquer », et à soigner ou sanctionner les homophobes que la médecine ne pourrait débarrasser de leurs peurs irraisonnées.

    Le 28/09/2012 à 21:25 Alerter Répondre
    AvatarPhil860La terre est plate et le soleil tourne autour, c’est bien connu, d’ailleurs cet imbécile de Galilée ne prétendait-il pas le contraire ? il devait faire partie du lobby homosexuel qui prône la décadence et la fin de la civilisation…

    L’Eglise en est restée au XVIème siècle sur els questions sociétales, peut-être que dans 400 ans elle reconnaitra ses erreurs mais rien n’est moins sûr…

    Le 28/09/2012 à 18:03 Alerter Répondre
    Avatargaitun conseil: dialoguez avec l’Eglise d’ici et d’aujourd’hui.
    Autre point: ne pensez pas que toute nouveauté est un progrès, l’histoire l’a démontré. La question n’est pas une course à la « modernité » mais à la sagesse.

    Le 28/09/2012 à 22:12 Alerter Répondre
    AvatarPhil860Dites, pendant 10 ans que la droite était au pouvoir, elle avait tout le loisir d’organiser un « débat » sur le sujet, pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ??? C’est un peu tard maintenant, le débat aura lieu pendant l’examen parlementaire du texte, qui sera voté car il y aura une majorité pour le voter. En fait, vous demandez un débat uniquement pour retarder l’inexorable et vous savez que c’est inexorable, car l’égalité entre citoyens est un bien nécessaire à la société.

    Le 28/09/2012 à 17:56 Alerter Répondre
    Avatargaitd’inexorable je ne vois que le réveil des consciences citoyennes pour qu’ait lieu le débat.

    Le 28/09/2012 à 22:14 Alerter Répondre
    Avatargaitj’ai lu le texte et je reconnais à l’Église bienveillance, clairvoyance et souci de vérité sur la question.
    Que les partisans du mariage gay fassent de même: regarder la question en face, la traiter de fond en comble. Là le débat changerait d’épaisseur.

    Le 28/09/2012 à 16:33 Alerter Répondre
    AvatarPhil860qui a amené le débat dans le caniveau ? les prélats et les politiciens de droite réactionnaires, et personne d’autre…

    Le 28/09/2012 à 17:42 Alerter Répondre
    AvatarPhil860L’Eglise, toujours aussi homophobe, propose en fait une solution discriminatoire, anti-républicaine et hyper-communautariste. [Ce commentaire respectant la charte du Figaro etc etc…]

    Le 28/09/2012 à 16:15 Alerter Répondre
    AvatarJean-Paul des FlandresDécidément, il ne fait pas bon appeler un chat, un chat dans ces commentaires pleins de trous… et trop souvent politiquement corrects, orientés, attaquant l’Eglise et ses membres.
    Ce n’est pas le sujet !
    Voir le catéchisme de l’élise catholique, articles 2357 à 2359.
    Tout y est dit.
    Il ne faudrait quand même pas dénier à ceux qui ne partagent pas le point de vue gouvernemental de s’exprimer, de le contester, d’opposer des arguments réels à des fantasmes égoïstes.

    Le 28/09/2012 à 16:09 Alerter Répondre
    AvatarPhil860L’Eglise, toujours aussi homophobe, propose en fait une solution discriminatoire, anti-républicaine et hyper-communautariste.

    Le 28/09/2012 à 16:02 Alerter Répondre
    AvatargaitMarteler est votre seul moyen de communiquer?
    et la condamnation votre seule position?

    Les arguments avancés par l’Église méritent mieux en retour.

    Le 28/09/2012 à 16:40 Alerter Répondre
    AvatarPhil860les « arguments » de l’Eglise ne valent pas une roupie dans notre république laïque…

    Le 28/09/2012 à 17:44 Alerter Répondre
    Avatargait« Il s’agit pour les catholiques d’apporter leur contribution à ce débat en tant que citoyens en se basant sur des arguments anthropologiques et juridiques ». Qu’avez-vous contre dans un principe de démocratie?
    Laïcité ne signifie pas museler les religions, ce serait du laïcisme (ou le fondamentalisme athée).

    Le 28/09/2012 à 18:33 Alerter Répondre
    AvatarRealpolitic« Don’t ask, don’t tell, en ce qui concerne les ordinations au moins.

    Le 28/09/2012 à 14:56 Alerter Répondre
    AvatargaitA de réelles dispositions au polyglottisme. Doit persévérer.

    Le 28/09/2012 à 16:17 Alerter Répondre
    AvatarRealpoliticMerci à vous. Je voulais faire allusion, un guillemet s’etant perdu en route, à la politique de l’armee americaine en matiere de recrutement similaire a celle du vatican.

    Le 28/09/2012 à 19:10 Alerter Répondre
    AvatardepresleC’est bien de refuser l’homophobie mais ça ne dispense pas l’Eglise de France de rappeler l’hexégèse, les écrits et lettres, textes, réflexions de ses ainés et docteurs(St.Paul, St.Augustin, Ste Thérèse d’Avila, St Jean de la Croix, Pascal etc) et plus récemment le nouveau cathéchisme de l’Eglise (écrit sous la direction du cardinal Ratzinger et non pas celui des évêques de FRAnce condamné par ce dernier et Jean Paul II)

    Ce que l’on attend de nos évêques en ces temps troublés ça n’est pas de tergiverser pour faire « politiquement correct » mais d’entrer dans le vif du sujet avec courage, clarté et détermination, pour montrer la voie au troupeau et plus géneralement à la société à l’écoute.

    Parceque Ss’ils ne le font qui le fera?!!!

    Le 28/09/2012 à 14:42 Alerter Répondre
    AvatarPhil860L’Eglise de France EST homophobe : comment prétendre accueillir pleinement une personne sans l’accueillir dans toutes les dimensions de son être, c’est à dire avec l’orientation affective et sexuelle qui est la sienne et tout ce qu’elle implique en terme de vie affective et sexuelle ?

    Le 28/09/2012 à 12:21 Alerter Répondre
    Avatargaitvous confondez approuver quelqu’un et l’aimer. D’

    Le 28/09/2012 à 15:52 Alerter Répondre
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Des élèves sacqués au bac, car historiquement incorrects

Dans Le Droit de vivre, mensuel de l’officine juive « antiraciste » LICRA, de juillet 2012, on peut lire, en page 11, un article intitulé « Que faire d’une copie de bac négationniste ? Lui mettre un zéro pointé, en faisant le rapport qui s’impose alors ? Et, au-delà, quelle correction ? ».
L’auteur de l’article, Mano Siri, explique que, « prise de nausée au sens sartrien du terme » devant deux copies « négationnistes » « au point de cesser de corriger pendant quelques jours », a fini par prendre la décision suivante : « Après examen des performances des deux candidats, je leur mis, à chacune, 2 et non pas 0 [« administrer un zéro suppose d’écrire un rapport le justifiant », ose reconnaître l’auteur] : c’était suffisant pour les empêcher d’avoir le bac, même au rattrapage…»

Voilà comment on agit, quand on appartient à la LICRA. Et on s’en vante.

Source