C’était un 28 décembre 1895 : des Français inventent le cinéma

les frères Lumière

Cette date est en effet considérée comme la naissance du cinéma.
Il s’agit en fait de la première représentation publique et payante - dans le sous-sol du Grand-Café (boulevard des Capucines à Paris) - du « cinématographe », par les célèbres frères Auguste et Louis Lumière.
La mémoire de ces hommes incarnant excellemment le génie français est peu honorée par la République.
Il leur est reproché d’avoir soutenu fermement l’Etat français (pourtant légal et légitime) du maréchal Pétain.
Ils furent décorés de la Francisque.
Louis fut membre du « Conseil national » mis en place par Vichy, et Auguste fut même membre du comité de parrainage de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme.

Bonne fête aux mères !

La rédaction de Contre-info souhaite une très bonne fête aux mères françaises.

Cette journée prend un sens particulier alors que la République essaie de détruire le mariage, et donc la famille, ainsi que la fonction essentielle et magnifique de « mère de famille ».

Cette journée a été instaurée il y a maintenant 73 ans par l’ Etat français, du maréchal Pétain.
Elle s’inscrivait dans le cadre de son efficace politique familiale et nataliste.

Chapelle de Douaumont :hommage au Maréchal et perturbation cléricale

[Tribune libre] Ce lundi 12 novembre 2012 et comme chaque année, plusieurs dizaines de personnes s’étaient déplacées à Verdun, à l’appel de l’ADMP (Association de Défense de la Mémoire du Maréchal Pétain), pour y commémorer l’armistice du 11 novembre 1918, honorer le sacrifice des Poilus et rendre hommage au vainqueur de Verdun, le Général Pétain.

A l’intérieur de l’Ossuaire de Douaumont, « simple et sobre comme l’âme du soldat ; vaste et noble comme la grandeur du sacrifice ; durable, impé­rissable, comme le souvenir des Héros de Verdun » ainsi que l’avait imaginé le Maréchal Pétain, les pélerins se pressaient dans la chapelle pour se recueillir ; la première pierre de ce monument avait été posée le 22 août 1920 par le Maréchal Pétain, Président d’honneur du Comité de l’Ossuaire, lui qui, trente ans après et à l’article de sa mort, formerait le voeu d’être enterré à Douaumont au milieu de ses soldats. Le 18 septembre 1927, il avait pris la parole à l’occasion du transfert des premiers cercueils de soldats à l’Ossuaire de Douaumont. Enfin, le monument avait été inauguré les 6,7 et 8 août 1932 par un discours du même Maréchal Pétain et en présence des plus hautes autorités.

Ce lundi 12 novembre donc, vers 11 heures du matin, la piété patriotique animait ces dizaines d’hommes et de femmes qui avaient pris place dans la chapelle de l’Ossuaire pour y assister à une messe d’hommage et continuer à y porter fidèlement le message de tant de Français silencieux : « Rendez au plus illustre des soldats l’hommage dernier qui lui est dû, rendez Pétain à Douaumont ! »

Quelle ne fut pas leur surprise et leur indignation alors, dans cette enceinte religieuse dévouée à la patrie, d’entendre le discours d’un militant communiste nommé Michel Berton, curé officiant à Verdun, dont le sermon ne fut qu’une logorrhée gaullo-communiste ! Prenant un malin plaisir -et de multiples fois- à citer et magnifier de Gaulle sans mentionner une seule fois celui qu’on ne peut ignorer en ces lieux, le Général Pétain vainqueur de Verdun, le communiste Michel Berton a ponctué son charabia militant de droit-de-l’hommisme, d’antiracisme et de tolérance, d’antinationalisme, d’antifanatisme politique et religieux, s’inspirant sans doute du nouveau directeur du parti socialiste nommé Harlem Désir. Choisissant délibérément la diabolisation haineuse, le mépris de l’histoire, l’injure faite aux pélerins, le communiste Michel Berton a fait oeuvre basse et provoqué la sortie de la chapelle de plusieurs pélerins, les autres supportant dignement ce nouvel affront des révisionnistes haineux du gaullo-communisme.

Le militant communiste Michel Berton, et ceux ou celui qui l’a commandité, doivent savoir que le « On les aura » du général Pétain s’adresse aussi à eux. Comme le soulignait Philippe Pétain les 6,7 et 8 août 1932 lors de l’inauguration de l’Ossuaire de Douaumont :

« L’exemple de Verdun est là pour témoigner de la capacité d’abnégation, de ténacité et de persévérance de notre race ».

Marcouf de Segons,
de retour de Douaumont

Le Maréchal est toujours d’actualité

Lu sur Europe1 : Le portrait du maréchal Pétain va-t-il revenir sur les murs de la Mairie de Gonneville-sur-Mer, dans le Calvados ? Le rapporteur public du tribunal administratif de Caen y est opposé. Il a plaidé mardi contre ce retour demandé par l’ Association pour la défense de la mémoire de Philippe Pétain (ADMP). La décision sera rendue d’ici deux semaines.

Le portrait en question, qui s’intégrait dans un galerie de portraits de chefs de l’Etat, trônait dans la salle de mariage de la mairie avant d’être retiré par décision de justice en octobre 2010 . Le maire avait dû, à contre-coeur, enlever ce portrait du Maréchal.

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