C’était un 19 mars…

Fête de saint Joseph, patron de l’Eglise universelle, mais aussi saint patron des pères de famille, des mourants, etc.
On recourt aussi beaucoup à lui pour des soucis matériels (emploi, logement, mariage, etc.). Fête de 1ère classe dans l’Eglise catholique.

1937 : Pie XI publie l’encyclique Divini Redemptoris : « le communisme est intrinsèquement pervers, et l’on ne peut admettre sur aucun terrain de collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne ». Jamais un système politique ne fut condamné aussi radicalement par le magistère. On peut retrouver le texte en fin d’article.

1944 : décès, près de Toulouse, du général de Curières de Castelnau, doyen des grands chefs de l’armée française. Né en 1851 dans une vieille famille du Rouergue, il avait participé à la guerre de 1870 dès sa sortie de saint Cyr. C’est lui qui proposera, en 1916, à Joffre de nommer Philippe Pétain au commandement de l’armée de Verdun. La Grande guerre lui aura coûté trois de ses fils. Elu à la chambre bleu horizon, il devient en 1925, président de la Fédération nationale-catholique ainsi que de la Ligue des patriotes. Il aurait du être le « quatrième maréchal » mais il était trop catholique et pas assez franc-maçon pour cela. Une biographie lui a récemment été consacrée.

1946 : Marcel Bucard, chef du Parti franciste (se voulant l’unique équivalent français du fascisme italien), tombe sous des balles françaises à 10h35 au fort de Châtillon, après avoir chanté « Je suis chrétien, voila ma gloire ».
Il avait marché vers le poteau pieds nus, comme les martyrs, vêtu de sa chemise bleue, puis avait prié avec l’aumônier ; refusant le bandeau et une fois attaché, il s’écria « Qui vive ? France ! ».
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Deuxième dimanche de Carême – textes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.

La Transfiguration du Christ, sur le mont Thabor.

« Le contraste est grand entre la gloire du Christ au Thabor et l’anéantissement de son agonie et sa passion ; mais c’est le mystère même de la rédemption qui veut que le Christ porte le châtiment de nos péchés, connaisse la souffrance et la mort pour nous entraîner dans sa résurrection. Nous-même, avant de suivre le Christ dans sa gloire, nous avons à subir l’épreuve de cette vie ; dans des conditions de faiblesse qui demandent le constant secours de la grâce (Coll.), nous devons garder nos corps et nos âmes dans la pratique d’une vie sainte, susceptible de plaire à Dieu (Ep;  post-comm.). »

Dom Guéranger

 

INTRODUCTION PUIS COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres) :

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C’était un 15 mars…

44 av. JC : assassinat de Jules César par des Sénateurs romains. Des rumeurs courraient, disant qu’il voulait se faire couronner roi. Si les assassins visaient à restaurer la République, ils furent déçus puisque s’ensuivirent quinze ans de guerre civile, puis ce fut le règne sans partage d’Octave dit Auguste.

1er siècle : à Césarée de Cappadoce, martyre de saint Longin, soldat romain, que l’on croit être celui qui perça de sa lance le côté du Seigneur.
La Légende dorée raconte qu’après sa conversion, il renonça aux armes et vécut en ermite en Cappadoce où il « convertit beaucoup de monde ».

 

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C’était un 14 mars : prise de Cholet par les Contre-révolutionnaires

Cette journée de 1793, quelques jours seulement après le début du soulèvement des paysans vendéens, ceux-ci sont parvenus à s’organiser et à se trouver des chefs en les personnes de Jacques Cathelineau (simple colporteur et sacristain de Pin en Mauges) et de Jean-Nicolas Stofflet (garde-chasse).
L’« Armée catholique et royale », dont de nombreux membres ne sont armés que de faux, parvient, ce jour du 14 mars 1793, à prendre Cholet, ville importante.

Les 3 pôles d’insurrection vendéenne :
* L’armée du Marais autour de Léger
* L’armée d’Anjou autour de Cholet
* L’armée du centre dans le bocage

Après cette première prise de Cholet et avec un chef à son image, l’armée paysanne progresse vers Chalonnes-sur-Loire (au sud d’Angers) puis Thouars. Cette victoire provoque le soulèvement de toute la Vendée sous les drapeaux de l’insurrection.

La Guerre de Vendée, que Napoléon qualifiera de Guerre de géants a commencé…

Six mois après la prise de Cholet, les Bleus emmenés par Kléber et Marceau, parviendront à récupérer la cité, après des combats acharnés.
En mars 1794, Stofflet reprend la ville. Louis Turreau la fera alors entièrement brûler…

C’était un 13 mars…

Au premier plan, le cadavre de Condé juché sur un âne. À l’arrière-plan, la défaite des protestants (représentés, en tant qu’hérétiques, comme des « singes du diable ») à l’issue de la bataille de Jarnac. Enluminure du manuscrit Carmen de tristibus Galliae, 1577

1569 : bataille de Jarnac entre l’armée royale et les huguenots français.
Au cours de la 3e guerre de religion, le Lieutenant-général du Royaume Henri d’Anjou (futur Henri III) passe sur la rive droite de la Charente et surprend les Huguenots, installés dans Jarnac.
Leur chef
Condé charge avec toute sa cavalerie. Il se fait encercler et sa cavalerie est anéantie. Lorsqu’il veut se rendre au Duc d’Anjou, il meurt d’un coup de mousquet. Gaspard de Coligny réussit à se replier avec 6 000 de ses soldats sur La Rochelle. Victoire royale.
Le futur Henri IV (dans l’armée huguenote) ayant appris la mort du prince de Condé se jette au plus fort de la mêlée et en est retiré de force par ses officiers. Ouvrant son pourpoint à cause de la chaleur il laisse entrevoir un … scapulaire à l’effigie de Notre Dame. La vue de cet objet catholique stupéfia tellement son entourage que sa mère, la dure Jeanne d’Albret, dut expliquer que ce scapulaire a été mis autour du cou du futur roi le jour de sa naissance.

1634 : Continuer la lecture de « C’était un 13 mars… »

Encore un gauchiste mythomane

Peut être une image de 7 personnes

 

Près de Rennes, l’antifa Anton Burel, un conseiller municipal de Cintré a été tabassé le 22 février après avoir dénoncé des saluts nazis et des slogans racistes. Voici ce qu’on a pu lire dans Libération, quotidien bien informé, comme on le sait « Anton Burel, 31 ans, a voulu dénoncer un groupe d’hommes “faisant des saluts nazis” et entonnant “des chants racistes” à la sortie du Synchro Bar, près de Rennes, le 22 février. Pour son intervention citoyenne et antifasciste, il a reçu des coups de la part des nervis devant les regards médusés des habitués du bar ». Dans les pages du quotidien, le survivant témoigne des circonstances de son agression : « Je me suis approché de celui qui avait fait le salut hitlérien et je lui ai dit que ce genre de geste et leurs propos n’étaient absolument pas admissibles. » Seul contre tous, il ne peut lutter face à six jeunes fascistes, certainement néo-nazis enragés : « Ma tête a cogné sur le trottoir et j’ai perdu connaissance. » La photo du visage tuméfié de la victime témoigne de la violence de l’attaque. Huffington Post et le ban et l’arrière-ban de la gauche et de l’extrême gauche bretonnes lui ont apporté leur soutien et ont rendu hommage à son héroïsme, appelant à redoubler de « vigilance face au péril fasciste ». Une manifestation « contre le fascisme » avait même été organi-
sée dans la foulée le samedi 1er mars à Cintré.
Mais hélas, mille fois hélas, le procureur de Rennes, après enquête des gendarmes, a tordu le cou à cette jolie fable. Une bagarre aurait bien eu lieu à la sortie du bistrot mais l’enquête des gendarmes a mené vers une altercation avec… des gens du voyage !   (source : Rivarol)

Le président d’une association d’aide aux « demandeurs d’asile » fréquentait des prostituées de moins de 15 ans

Oups, encore un homme incarnant la « vertu » – selon les fausses valeurs de la société moderne – qui se fait attraper par la justice, mais rassurez-vous, quasiment pas condamné…

On découvre dans un entretien du Figaro avec deux journalistes qui ont enquêté sur la prostitution de très jeunes filles le parcours de l’une d’elles :

« Clara a vécu dans l’un des pires foyers de Marseille, le Peps 13. C’est le seul qui accepte toutes les filles, même celles qui ont été renvoyées d’autres structures ou qui se sont prostituées. Cette adolescente d’origine bulgare a eu une vie cabossée. Elle a été abandonnée par ses parents, a été trimballée dans plusieurs familles d’accueil. Ce sont ses amies du foyer qui la poussent à se prostituer et elle se laisse embarquer. Puis elle se rend compte que l’une d’elles la force, la frappe, la menace. Alors elle se révolte et porte plainte contre un de ses clients… un homme de 50 ans, qui dirigeait une organisation humanitaire pour les demandeurs d’asile. Auprès d’elle, il se faisait passer pour un médecin et la payait en cocaïne.

C.A. Lors du procès, le client niait en bloc les rapports sexuels et la minorité de Clara. Alors le procureur a montré une photo d’elle en petite robe à fleurs ; il était impossible de penser qu’elle était majeure, on aurait dit qu’elle sortait de l’école primaire. Au final, le client n’a écopé que de dix-huit mois de prison avec sursis, dont six mois de sursis probatoire. Les peines sont toujours particulièrement faibles, alors que l’on devrait parler de viol, les victimes n’ayant pas 15 ans. Or, les clients, qui viennent de tous milieux, ont la même défense : ils disent ne pas savoir que la prostituée était mineure. »

l’ancien président divers droite du département de la Somme condamné pour de graves abus

C’était la belle vie : multipropriétaire, des revenus confortables, plusieurs mandats électifs, une voiture avec chauffeur et, par-dessus le marché, un logement social à Paris.
Le président (divers droite) du conseil départemental de la Somme Stéphane Haussoulier a été forcé de démissionner en décembre dernier après sa condamnation pour détournement de fonds publics, escroquerie abus de confiance et blanchiment (367.000€ d’argent public). L’élu payait notamment des clubs de strip-tease aux frais du contribuable et avait demandé le remboursement en double, voire en triple, de 173 notes de frais (alcool, nourriture, spas…).
Il a par ailleurs été condamné définitivement pour des faits de favoritisme lors de la passation d’un marché public. Stéphane Haussoulier vient aussi de recevoir une assignation à comparaître au tribunal de la part de la Régie immobilière de la ville de Paris à la suite des révélations de Mediapart sur l’existence d’un appartement social dont il bénéficie depuis 25 ans. L’audience doit se tenir le 28 mai prochain au tribunal judiciaire de Paris. Lors de son parcours politique, Stéphane Haussoulier s’est présenté successivement à divers scrutins sous les couleurs de l’UDF, de l’UMP puis de LR (Les Républicains), et s’est finalement rapproché du camp macroniste. En 2023, Emmanuel Macron lui a remis la Légion d’honneur et lui a même confié une mission nationale sur l’enfance et le handicap… (source)

Voici un beau spécimen de politicien, cette caste qui impose des lois iniques, lève des impôts dépouilleurs, et se permet en plus de donner des leçons de morale.

C’était un onze mars : l’assassinat du colonel Bastien-Thiry

Le 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants, condamné par un tribunal d’exception aux ordres du général de Gaulle.

Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.

Il avait organisé l’attaque du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livrait l’Algérie française aux mains des égorgeurs et avait liquidé le camp nationaliste en France.

Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin).

Un très bon petit livre constitue une bonne synthèse sur ce sujet : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, par l’abbé Olivier Rioult (cliquer ici).

Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.

On peut retrouver cette chanson sur le cd du Chœur Montjoie St Denis, Chants de France XI, ou encore sur la compilation de l’ADIMAD.

C’était un 10 mars…

1793 : à la suite de la décision de la levée en masse de 300 000 hommes à Saint Florent le Vieil, début de la guerre de Vendée, dont la première partie va durer jusqu’au 21 décembre de la même année.
Ce même jour, création du Tribunal révolutionnaire. Une seule alternative : l’acquittement ou la mort. Quelques statistiques sur Paris uniquement : 20% des suppliciés sont des nobles, 9% des membres du clergé, et 71% sont des ouvriers, des artisans ou des paysans. (livres sur ce thème ici)

1861 : prise de Saïgon par les troupes françaises.

1945 : Tokyo est bombardée, de minuit à trois heures du matin, par 279 avions américains portant chacun 7 à 8 tonnes de bombes incendiaires. Bilan : entre 200 000 et 250 000 morts et disparus.

1962 : attentat (faussement) attribué à l’OAS, contre le local du Parti communiste à Issy-les-Moulineaux. Il s’agissait en fait d’une provocation gaulliste.

Premier dimanche de Carême – textes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.

« La scène de la tentation, qui ouvre la vie publique de Jésus, proclame d’une manière saisissante, dans les évangiles, le renversement de situation qu’il va introduire dans le monde par son œuvre de rédemption. Là où Adam avait succombé, le Christ, nouveau chef de l’humanité, triomphe à jamais du pouvoir de Satan : à l’heure de la passion, le « prince de ce monde » sera jeté dehors. Placé en tête du Carême, au premier dimanche, l’évangile de la tentation proclame d’avance la victoire du Christ, qui doit être notre victoire.
La liturgie du Carême est commandée par cette pensée ; elle est tout entière une liturgie de confiance. Le psaume 90, qui est par excellence le psaume de la confiance, fournit le trait et tous les chants de la messe, comme il fournira tous les versets de l’office jusqu’au temps de la passion. »

Dom G. Lefebvre

 

INTRODUCTION sur les dimanches de Carême
PUIS COMMENTAIRE sur ce 1er dimanche
par DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres) :

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C’était un 9 mars…

1661: à l’occasion de la mort de Mazarin, Louis XIV décide d’être son propre premier ministre. Il effectue une entrée fracassante au Conseil, en tenue de chasse, fouet à la main. Ces objectifs, avec Colbert, sont de faire rendre gorge aux profiteurs et de ramener la noblesse à la cour.

1831: le roi Louis-Philippe 1er fonde la Légion étrangère, en vue d’encadrer les recrues étrangères, à commencer par les mercenaires suisses. Il renoue ce faisant avec la tradition des régiments étrangers attachés aux rois de France. C’est en Algérie que la légion s’illustre pour la première fois, sous la devise : « Honneur et Fidélité », avant d’acquérir ses lettres de noblesse à Camerone (Mexique).

1945 : à l’initiative de ses nombreux responsables ayant appartenu à la Résistance, le très important « Parti social français » de François de la Rocque doit tenir son congrès, mais le gouvernement provisoire de De Gaulle annonce que le PSF est et demeure dissous.
Or, en fait, l’Union interfédérale du PSF a été dissoute par le général allemand Oberg le 2 novembre 1942. Malgré une ordonnance de non-lieu du 22 mai 1946, la formation légale et légaliste du colonel de la Rocque (lui-même arrêté par la Gestapo début 43 et interné jusqu’à la fin de la guerre) demeurera interdite par le pouvoir gaulliste pour empêcher la renaissance d’un parti nationaliste.
Signalons que des mémoires (carnets de captivité) du général de La Rocque ont été récemment publiés (voir ici).

1945 : les 9 et 10, coup de force japonais en Indochine. 60 000 Japonais attaquent perfidement 12 000 Français des garnisons de Langson, Hanoï, Hué, Saïgon.
Arrestation des amiraux Decoux et Bérenger, du général Aymé, etc. Massacre à Langson. Décapitation du général Lemonnier et du résident Auphelle. La colonne Alessandri amorce son repli vers la Chine.
Plusieurs milliers d’Européens (et davantage encore d’indigènes profrançais) mourront durant ces 48h ou pendant l’inhumaine captivité qui suivra.
Cette action japonaise va semer le chaos en Indochine, promouvoir le Viet-Minh communiste et porter un rude coup à la présence coloniale de la France – dont l’administration est totalement désorganisée – dans le Sud-Est asiatique.
Voir détails de cette horrible journée en fin d’article.

Prisonniers français, à Lang Son, avant leur massacre

1971 : à l’issue d’un meeting d’Ordre nouveau, au Palais des sports de la porte de Versailles, de violents incidents opposent militants nationalistes et opposants gauchistes.

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8 mars : « journée internationale de la femme »

« Ou plus exactement la journée marxiste-léniniste de la femme, puisque c’est Lénine qui a décrété en 1921 que le 8 mars serait la journée internationale de la femme.

« 8 mars, jour de rébellion des travailleuses contre l’esclavage de la cuisine », peut-on lire sur l’affiche soviétique ci-dessus : une « travailleuse » tend la main à une femme écrasée par les tâches domestiques (et par une icône de la Théotokos) pour la « libérer »,  en l’envoyant travailler à la chaîne en usine…

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Bon carême !

En ce mercredi des Cendres, l’équipe de Contre-Info souhaite à tous ses lecteurs catholiques un bon carême, dont vous entendrez peu parler dans les gros médias.

Le mercredi des Cendres marque le début du carême : 40 jours de jeûne et de pénitence (suivant l’exemple du Christ qui les vécut dans le désert) qui précèdent les fêtes de Pâques, point culminant de l’année liturgique.
Les catholiques se font « imposer les cendres » (c’est-à-dire marquer d’une croix sur le front), elles-mêmes produites à partir des rameaux bénis l’année précédente, ce qui évoque symboliquement la mort qui nous attend tous :
« souviens-toi, ô homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».

Pour des livres permettant de vivre au mieux cette période, voir ici.

Lectures utiles pour le Carême (et Pâques)

Le Carême commençant signalons l’existence de quelques livres, utiles pour vivre au mieux cette période et progresser à cette occasion, et qu’on peut trouver dans la rubrique Carême / Pâques de la Librairie française (cliquer ici).

Signalons notamment le fascicule intitulé le Carême pour les jeunes, de l’abbé Boubée : une très bonne idée, à petit prix.
Ou encore l’excellent petit livre signé de l’abbé Troadec, Le Carême au jour le jour : il propose des « lectures et méditations quotidiennes pour prier seul ou en famille » durant cette période, afin de mieux « monter vers Pâques ».

D’un format et d’une présentation très pratiques, c’est un précieux soutien pour vivre chrétiennement cette période de 40 jours qui mène à Pâques.

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