« Eduardo Camavinga s’est rendu dans son pays natal durant les fêtes de Noël. L’international français a été reçu en compagnie de ses parents, de son agent et de plusieurs amis par le secrétaire d’État Paul Madeira. » (source)
Né en 2002 en Angola, Camavinga arrive en France en 2003 en fuyant la guerre et la misère. Eduqué et nourri par la France, il est formé au football entièrement en France (Amiens, Fougères, Rennes) ; il est naturalisé « français » et joue pour l’équipe de « France ».
Mais c’est envers l’Angola qu’il considère avoir une « dette » !
Cette anecdote met en lumière l’incroyable ingratitude de nombreux immigrés, et leur vision totalement fausse de la réalité.
Elle souligne aussi l’escroquerie de la pseudo-naturalisation républicaine : malgré ses papiers français et le fait qu’il ait presque toute sa vie vécu en France, il considère que « l’Angola » est son pays.
Nikitine, activiste blanc et nationaliste russe (fondateur de la marque de vêtements de MMA « WhiteRex »), était exilé depuis 2017 en Ukraine, comme d’autres militants, face à la répression contre les natioanlistes radicaux en Russie.
Tiktok est un site et une application où sont publiées chaque jour plus de 30 millions de brèves videos, souvent au ras des pâquerettes, sinon franchement débiles.
« La créatrice de contenu Tynesha McCarty-Wroten, plus connue sous le nom de « Tea Tyme » sur les réseaux sociaux, a été arrêtée mardi 23 novembre pour homicide involontaire après avoir renversé et tué un piéton, rapporte NBC News.
Les faits remontent au 3 novembre dernier lorsque la femme de 43 ans qui était en plein direct sur TikTok au volant de sa voiture a percuté Darren Lucas, un homme de 59 ans, dans la banlieue nord de Chicago après avoir grillé un feu rouge.
• 1585 : mort de Pierre de Ronsard, grand poète français et patriote fervent.
Il meurt dans son prieuré de saint Cosme (près de Tours). Ce parent de Bayard et de la reine Elizabeth d’Angleterre était né au château de la Possonnière dans la paroisse de Couture-sur-Loir en 1524. Devenu sourd très jeune et donc privé de carrière militaire, il se consacra alors à la littérature. Fondateur du groupe de la Pléiade avec Joachim du Bellay, il a renouvelé l’inspiration et la forme de la poésie française (Odes, Amours, Hymnes, etc.). Bien de son époque, il était marqué par l’humanisme de la Renaissance, qui imprégnait profondément la pensée et la poésie d’alors.
Les Italiens le mettaient au-dessus de leurs plus grands poètes ; dans l’Europe entière, il fut lu et admiré. Lorsqu’il traversait Paris, la jeunesse l’acclamait et les étudiants touchaient sa robe pour devenir poètes. Ses seuls adversaires furent les protestants.
• entre 31 et 36: mort (et fête) de Saint Etienne, le premier martyr.
Il avait fait partie des soixante-dix disciples choisis et envoyés par Jésus en mission (Luc, X, 1-24). Ordonné diacre, pour seconder les douze apôtres, il accomplit des « prodiges et des signes remarquables parmi le peuple » (Ac, 6, 1-8). Erudit, inspiré et rempli de saint zèle, il suscita le courroux du sanhédrin qui le condamna à mort pour « blasphème » et le fit lapider.
Ses reliques se trouvent sous le maître-autel de la basilique Saint-Laurent-hors-les-Murs.
Le martyre de Saint Etienne
• 1736: dans une loge maçonnique de Paris, discours du « chevalier de Ramsay », l’un des principaux créateurs de la franc-maçonnerie française. Le texte de cet Ecossais, fondamental pour la secte, se compose de deux parties et comprend une évocation en forme de programme international, intellectuel et humaniste assignée à la franc-maçonnerie en général et une allégorie symbolique et initiatique tendant à faire de la franc-maçonnerie l’héritière des ordres chevaleresques de l’époque des croisades, tout en la reliant aux mystères grecs et égyptiens.
► pour des livres sérieux sur le thème de la franc-maçonnerie,voir ici.
• 1815: Louis de Bonald propose à la Chambre des députés la suppression du divorce (qui avait été instauré fin 1792). Il sera aboli le 8 mai suivant. L’Eglise n’avait jamais accordé de réalité au divorce (autre que celle d’un péché), et ne l’a jamais fait depuis.
Les textes et discours de Bonald sur ce sujet ont été réunis et présentés par l’abbé Rioult dans un ouvrage.
(Sont indiqués entre parenthèses les noms que portent de nos jours les villages cités)
L’histoire d’une messe de minuit que nous allons raconter s’est passée dans les moments les plus affreux de la Grande-Guerre, alors que le monde se croyait rendu à sa fin. La terre tremblait, les éléments étaient confondus, les nations éperdues se tordaient dans l’épouvante et la consternation, les démons déchaînés entraient dans le coeur des hommes pervers, les chefs s’habillaient de peaux d’hommes, s’abreuvaient de sang et se repaissaient de chair humaine. Ces monstruosités ont été commises, ces horreurs ont été vues, ici dans cette contrée, sur cette terre qui nous porte.
Dans ces jours d’exécrable mémoire, la paroisse de Beaufou fut tout spécialement mise à feu et à sang. Elle devait cette haine des méchants à sa grande fidélité à la religion. Elle était la seule dans tout le pays où tout le monde, sans exception, était bon chrétien ; on n’y trouvait pas un seul ennemi du bon Dieu, pas l’ombre d’un traître.
Une des bandes infernales venait de brûler une première fois l’église, le bourg, et de commettre des atrocités dans plusieurs villages. M. le curé Jousbert était persécuté par des espions des communes voisines qui voulaient le surprendre dans ses cachettes et le dénoncer aux Bleus.
Nous souhaitons aux lecteurs de ce site ainsi qu’à leurs proches un très bon et joyeux Noël !
Dieu vous garde !
« Levez vos portes, ô princes; haussez-vous, portails antiques: le Roi de gloire va faire son entrée. » (Offertoire de la Vigile)
« Aujourd’hui, pour nous le Roi des cieux a daigné naître d’une Vierge, afin d’appeler de nouveau au royaume des cieux l’homme qui s’était perdu. » (Matines)
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à cette fête (rite catholique traditionnel). Pour les autres textes des messes (il y en a plusieurs) et offices de Noël avec leur commentaire, voir ici.
« La messe de minuit rappelle plus spécialement la naissance temporelle de Jésus dans son avènement de grâce : « Marie mit au monde son Fils premier-né. » (Év.) — Elle parle toutefois aussi de la naissance éternelle du Verbe « engendré dès avant l’aurore des temps » (Grad. et Comm.) et qui se manifestera à tous les élus lorsque, à la fin du monde, aura lieu « l’apparition glorieuse de notre grand Dieu » (Ép.). — Elle rappelle enfin la naissance spirituelle de Jésus dans nos âmes qui se manifeste par l’exercice des vertus : « soyons zélés pour les bonnes œuvres » (Ép.), « afin de ressembler à Jésus en qui la nature humaine est unie à la nature divine ». (Secr.) — Naissons à la vie divine sur terre, en participant « au saint mystère de la Nativité de Notre-Seigneur » afin de jouir de sa vie éternelle au ciel. (Or., Post.) »
Il est temps, maintenant, d’offrir le grand Sacrifice, et d’appeler l’Emmanuel : lui seul peut acquitter dignement envers son Père la dette de reconnaissance du genre humain. Sur notre autel, comme au sein de la crèche, il intercédera pour nous ; nous l’approcherons avec amour, et il se donnera à nous.
Vous avez probablement entendu parler d’un récent document issu du Vatican occupé par les modernistes, plus précisément du (prétendu?) Dicastère pour la doctrine de la foi, qui préconise de ne plus employer le titre de « corédemptrice » à propos de la sainte Vierge.
Voici une brève et, nous semble-t-il, pertinente analyse, par l’abbé François Delmotte :
« On ne peut dissocier la Vierge du Rédempteur sans mutiler l’œuvre de Dieu.
C’est l’amour de la vérité, où est la fidélité au Calvaire ? C’est avec une profonde affliction, d’une sainte indignation, que nous lisons le document Mater Populi Fidelis du Dicastère pour la doctrine de la foi (DDF). Ce texte, qui se prétend un éclaircissement, s’attaque en réalité à la Très Sainte Vierge, à notre Mère, en lui refusant des titres qui lui ont été décernés par la Foi, par toute la Tradition de l’Église, et sanctionnés par l’enseignement constant de plusieurs papes. Sous couvert de « fidélité » et d”« œcuménisme », il œuvre à l’amoindrissement de la Mère de Dieu. Continuer la lecture de « A propos du titre de « corédemptrice » de la Sainte Vierge »
Une tragédie désormais banale, parmi d’autres, mais que nous relayons :
« Mercredi 17 décembre, vers 14h30, Bernard, 84 ans, vient faire ses courses au «U Express» de La Frette-sur-Seine, situé place de la gare. Habitant de Cormeilles-en-Parisis, une commune voisine, l’homme est un client régulier depuis des années, bien connu des employés.
Ce jour-là, Bernard range ses courses dans le coffre de sa voiture, garée sur un petit parking, avant de ramener son caddie pour récupérer son jeton. Il tombe alors nez à nez avec un SDF qui lui assène un violent coup de poing. En chutant, la tête de l’octogénaire tape la bordure du trottoir. Son agresseur lui met un coup de pied dans le ventre alors qu’il est au sol. Une agression sauvage, soudaine, sans mobile. En arrêt cardio-respiratoire, Bernard est transporté à l’hôpital. Il décédera le lendemain des suites de son agression. […] (source)
Le meurtrier est un Africain de 30 ans, SDF et « bien connu de la justice »…
Comme toujours quand il s’agit d’un meurtre « au hasard » par un Africain ou un Oriental, la victime est un Français, un Blanc. Ca n’a pas l’air, donc, d’être totalement « au hasard ».
Il est bien sûr loisible de penser que tous ces déséquilibrés n’ont pas oublié l’existence des races, et sont imprégnés d’une certaine hostilité envers celle qui les accueille aussi généreusement que follement.
« La population est sidérée », explique le maire. « Le choc est également immense du côté de la supérette, où le visage de Bernard était devenu familier » relate le journaliste. Sans parler de la famille.
Mais les Français doivent comprendre que, s’il n’y a pas de remigration massive, ils ne seront plus jamais en sécurité, nulle part.
• 1800: attentat de la rue Saint Nicaise contre Bonaparte. Trois chouans acharnés ont fait sauter un baril de poudre à son passage dans cette rue parisienne. Il y aura des victimes mais le consul s’en sortira indemne.
• 1892: le duel entre le sinistre Clemenceau et le leader nationaliste Paul Déroulède – épisode du scandale de Panama – se déroule sur le champ de course de Saint Ouen, en présence de 300 personnes. Six balles sont échangées, sans résultat. Six mois plus tard, le funeste politicien Clemenceau – super-républicain et anticlérical farouche – perd son siège de député du Var.
• 1894: le socialiste Jean Jaurès est expulsé de la Chambre des députés pour antisémitisme. On lui reproche d’avoir dénoncé à la tribune « la bande cosmopolite » et d’avoir raillé « les foudres de Jéhovah maniées par M. Joseph Reinach ».
• 1923: à Paris, l’anarchiste Germaine Berton est acquittée pour l’assassinat de Marius Plateau, chef des Camelots du roi, alors même qu’elle a avoué et reconnu qu’elle l’avait abattu dans son bureau.
• 1942: à Alger, assassinat de l’amiral Darlan – jusqu’à peu avant le dauphin du Maréchal Pétain – qui était alors Haut-commissaire pour la France en Afrique (« au nom du Maréchal empêché » disait-il), du côté des Alliés, par le jeune Fernand Bonnier de La Chapelle (20 ans), dont le bras avait été armé par un groupe d’activistes partisans du comte de Paris et de De Gaulle. On suspecta les services secrets britanniques d’être mêlés à ce crime, Darlan étant un sérieux rival pour leur homme, De Gaulle. Continuer la lecture de « C’était un 24 décembre… »
L’Assassinat du duc de Guise, par Paul Delaroche, musée Condé (1834). (luminosité modifiée)
• 1588: Henri III fait assassiner le duc de Guise, chef de la Ligue catholique et qui l’avait pratiquement renversé le 12 mai 1588, lors de la Journée des Barricades.
Percé de plusieurs coups de poignards, sans pouvoir mettre la main à l’épée, le duc de Guise, que le roi avait pourtant nommé, le 4 août, lieutenant-général du Royaume, expira en disant : « Mon Dieu, ayez pitié de moi ! »
Dès qu’il fut mort, le roi descendit dans la chambre de la reine-mère et lui dit ce qui venait d’être fait.
« Je ne sais, lui dit-elle, si vous en avez bien prévu les suites ».
D’un courage extrême, ce grand catholique avait sauvé Paris des mercenaires protestants allemands, en les battant à Dormans, en octobre 1575. C’est là, que blessé d’un coup d’épée, il avait reçu le surnom de Balafré. Continuer la lecture de « C’était un 23 décembre… »
« Ils avaient tous été interpellés le 9 décembre dernier à l’aube dans le cadre d’une opération coordonnée par les enquêteurs du commissariat d’Albi : quatre hommes ont été présentés devant la juge d’instruction du tribunal judiciaire d’Albi à l’issue de leurs gardes à vue et mis en examen pour viols sur personne vulnérable.
Selon nos informations, la plaignante est une femme fragile psychologiquement, hébergée dans un logement thérapeutique. Elle dénonce plusieurs faits de viols et d’agressions sexuelles qui auraient eu lieu chez elle en octobre dernier lors de soirées mêlant sexe et consommation massive de cocaïne.
L’un d’entre eux a un profil particulièrement inquiétant. Samir T., 47 ans, avait déjà défrayé la chronique il y a quelques années à Toulouse pour un crime barbare. […] » (source)
Effectivement, ce brave Samir a supplicié pendant des heures une femme chez elle, finissant par la poignarder à… 468 reprises.
Cet homme participant paraît-il à l’enrichissement de la France avait été rapidement interpellé, avait reconnu les faits et aurait dû être jugé par une cour d’assises pour homicide volontaire et extorsion de fonds accompagnée d’actes de barbarie et de torture. Mais il a été déclaré irresponsable pour cause de trouble psychiatrique, et a été interné quelques années avant d’être lâché dans la nature. Le résultat ne s’est pas fait attendre. Et encore, on ne sait pas tout.
Une belle illustration de l’aberration du système français, qui parallèlement réprime de plus en plus sévère l’expression du patriotisme ou même du bon sens.
• 1522: les Turc de Soliman « le Magnifique » enlèvent l’île de Rhodes (la plus grande du Dodécanèse) aux chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem (dit « Ordre des Hospitaliers »), après 6 mois de siège (avec 180 000 hommes face à 7000 chevaliers, dont la plupart moururent). Continuer la lecture de « C’était un… 22 décembre »
• 1873: au Tonkin, Francis Garnier est tué par les « Pavillons noirs » (de même que l’enseigne de vaisseau Balny d’Avricourt, son principal lieutenant). Cet officier de marine a tout d’abord participé aux campagnes d’Annam et de Chine, était entré dans Pékin (grâce aux cannonières construites sous sa direction), a exploré le Mékong, visité Angkor, approché le Tibet, revenant à Shangai par le Fleuve Rouge et le Yang-Tsé-Kiang. Après avoir participé à la défense de Paris en 1870, il fut chargé par le gouvernement d’une mission diplomatique au Tonkin, qu’il mena de façon musclée.
• 1945: mort, à 60 ans, de George Patton, général « quatre étoiles » de l’Armée de terre américaine, des suites d’un accident de voiture survenu le 9 décembre 1945 près de Mannheim, en Allemagne occupée.
On lui prête parfois cette citation, mais qui n’est pas établie : « nous avons combattu le mauvais ennemi » ; il est toutefois bien documenté qu’il était vigoureusement anticommuniste, qu’il tenait des propos peu amènes envers les Noirs et les Juifs, et qu’il aurait voulu combattre les soviétiques jusqu’à Moscou. « Berlin me donne le blues. Nous avons détruit ce qui aurait pu être une bonne race, et nous allons la remplacer par des sauvages mongols. Et toute l’Europe sera communiste. […] J’aurais pu la prendre [Berlin] si on m’en avait donné l’autorisation. » (Lettre à sa femme, du 21 juillet). Des rumeurs non étayées ont circulé sur les circonstances de sa mort.
• 1949: les 70 ans de Staline – plus grand criminel de l’histoire de l’humanité, avec Mao – sont l’occasion d’un déchaînement du culte de la personnalité dans les pays communistes et dans le mouvement communiste international.
En France le PC«F» et l’Humanité sont en transe :
En attendant toujours la « repentance » des communistes et de L’Humanité (et de leurs alliés), on peut relire avec curiosité la prose enfiévrée, et même totalement délirante, que proposait ce quotidien, ce jour-là :
« C’est aujourd’hui l’anniversaire de Staline : quelle grande fête pour les peuples du monde ! A travers la terre entière, les travailleurs se réjouissent. Quelle marée de souvenirs monte en nous au nom de Staline !
Staline, c’est l’homme le plus haï du monde — haï par les impérialistes, les exploiteurs, les fauteurs de guerre. Et c’est aussi le plus aimé — aimé par les simples gens qui savent tout ce qu’ils lui doivent […]
Staline ! L’homme qui, avec Lénine, a été le principal artisan de cette révolution russe qui a ouvert une ère nouvelle dans l’histoire du monde, qui a supprimé l’exploitation de l’homme par l’homme sur un sixième du globe ! Staline ! L’homme qui, à la tête de son peuple, est en train de construire le socialisme, qui démontre par les faits que le peuple peut prendre en main ses destinées ! Staline ! l’homme sans qui Hitler serait sans doute aujourd’hui maître du monde ! Staline ! l’homme qui est à la tête du grand combat pour empêcher nos villes de brûler, nos maisons d’être écrasées, nos êtres les plus chers réduits en bouillie sanglante ! Staline… Et quand on pense que nos ennemis, croyant nous insulter, nous, les humbles disciples de Staline, nous traitent de « staliniens » ! Ils ne savent pas, dans leur haine imbécile, que rien ne saurait nous honorer davantage, que nous ne désirons rien plus, en effet, que d’être dignes du beau nom de staliniens ! Et Staline, ce géant de l’histoire, le seul homme vivant dont le nom soif prononcé avec vénération, avec amour, dans tous les pays, sans exception, du monde, Staline est un homme simple, « ordinaire », comme il raconte lui-même que l’était Lénine. […] Et ce petit garçon qui trébuchait dans les ornières, sur le cailloutis pointu des ruelles de Gort, c’est lui qui allait devenir le grand Staline, dont le nom sera répété tant qu’il y aura des hommes! Quelle dure, quelle dangereuse vie il a menée ! Sept fois arrêté, roué de coups par la police du tsar, sept fois déporté, six fois évadé de Sibérie ! Pas un jour de sa vie il n’a cessé de travailler pour gagner la révolution, pour construire le socialisme, pour gagner la guerre, pour gagner la paix ! Pas seulement pour son peuple, mais pour tous les autres peuples. En ce grand jour, toutes nos pensées vont vers Moscou en fête, vers Staline. Longue vie au cher camarade Staline, pour la liberté, pour le bonheur, pour la paix des hommes ! »