Montpellier : le délire communiste perdure après la mort de Frêche

Frêche et ses projets pour la ville...

Près de deux ans après sa mort, le provocateur Georges Frêche, maire franc-maçon et ultra-sioniste de Montpellier, continue à faire parler de lui.

En cause, l’installation mardi de cinq nouvelles statues sur la place du XXe siècle, dite des « Grands Hommes » (sic), à Montpellier. Le projet a été initié par le président de l’agglomération avant son décès. Aux statues de De Gaulle, Churchill, Lénine, Roosevelt et Jaurès, érigées en août 2010, s’ajouteront donc désormais celles de Gandhi, Mandela, Nasser, Golda Meir et Mao.

Une cure d'amaigrissement en laogai eut probablement été bénéfique au gros Frêche

Parmi cette belle brochette, le tyran communiste chinois Mao soulève – quand même ! – du haut de ses dizaines de millions de victimes, quelques interrogations parmi les élus locaux…

Jean-Pierre Moure, président socialiste de la communauté d’agglomération, rétorque bêtement :

«Notre but n’est absolument pas de rendre hommage aux hommes en tant que tels, assure-t-il. Nous voulons simplement représenter les grands courants politiques et idéologiques du XXe siècle.»

Un élu umpiste n’a pas manqué de lui demander pourquoi il n’y aurait pas de statues de Mussolini et Hitler, qui correspondent clairement au critère évoqué ci-dessus.

Réponse délirante du socialiste :
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Le Crif rend hommage au sioniste Georges Frêche

Richard Prasquier, président national du CRIF et Hubert Allouche, président de la section Languedoc Roussillon ont assisté aux obsèques de Georges Frêche le 27 octobre à Montpellier.

A l’annonce de la disparition de l’ancien maire de Montpellier et président du conseil régional, Hubert Allouche avait déclaré : « De part sa formation d’historien, Georges Frêche s’était intéressé à la relation entre le peuple juif et la terre d’Israël à travers les âges. Mais il s’intéressait aussi à la modernité d’Israël et avait fait de nombreux voyages en Israël, dont il avait ainsi suivi l’évolution, depuis 40 ans. Pour lui, l’Etat devait être en mesure de choisir sa capitale et Jérusalem était centrale dans l’histoire juive. Georges Frêche était de tous les combats pour la coopération franco-israélienne. A l’origine du jumelage entre Montpelier et Tibériade, il avait fait connaître la production culturelle israélienne, avec par exemple la promotion, dans le cadre de festival de danse, du groupe Batshévah. En matière de développement économique, Georges Frêche avait été à l’origine de l’implantation du groupe Agrexco sur le port de Sète.
Très tôt, il avait compris et soutenu l’Etat d’Israel et sa demande de sécurité, dans le cadre de deux Etats, Israélien et Palestinien, vivant en paix côte à côte ».

A noter le commentaire de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, sur Georges Frêche : « Pas question d’idéaliser le personnage. Mais respect pour son caractère irrévérencieux, sa faconde, sa capacité à ridiculiser la bien-pensance. Georges Frêche était, d’une certaine manière, un populiste ».

Rappel sur Georges Frêche

Alors que certains ont récemment présenté sottement le président du conseil régional de Languedoc-Roussillon et de la communauté d’agglomération de Montpellier comme un antisémite, nous pensons utile de ressortir cette video, qui n’a pas eu l’écho qu’elle méritait.
A l’occasion de la “Journée de Jérusalem”, organisée sous les auspices de la mairie et de l’agglomération de Montpellier 24 juin 2007, il tient un discours hallucinant (et halluciné ?). Vous relèverez un ou deux passages savoureux concernant Sarközy.